"1911. Paris Librairie Plon 1911 - Broché 16 cm x 24 5 cm XV+ 448 pages - Texte de Albert Vandal index alphabétique - Petit manque au bas de la couv. sinon bon état"
Reference : 15538
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Plon 1903 in8. 1903. Relié.
Bon état d'ensemble couverture frottée coins émoussés tranche ternie étiquette collées sur le dos intérieur propre annotations et tampons sur le faux titre et la page titr
1882 Paris E. Plon et Cie 1882 Un volume in°4 reliure demi chagrin rouge, dos à nerfs et titres dorés 446 pp
Très bon état mais rousseurs sur les tranches Envoi en Mondial Relay pour la France Métropolitaine, l'Allemagne, l'Autriche, Belgique, Espagne, Italie, Luxembourg, Pays-Bas et PortugalPour l'étranger, envoi en tarif "livres et brochures" pour les commandes inférieures à 50 , au dessus en colissimo international.
Plon, 1896, in-8°, xv-(1)-448 pp, index, reliure demi-chagrin vert, dos à 5 faux-nerfs, titres et caissons dorés, tranches dorées (rel. de l'époque), bon état
"Le livre s’ouvre à la mort du Grand Roi. Louis XIV, en disparaissant, laissait la politique extérieure de la France dans une passe difficile : nos alliées coutumières, la Suède, la Turquie, la Pologne, étaient lasses de combattre ou penchaient vers la décadence, tandis qu'une jeune puissance, la nation moscovite, grandissait auprès d'elles et s’accroissait à leurs dépens. Pour retrouver notre équilibre et faire contrepoids à l'Allemagne, fallait-il nous tourner résolument vers la Russie, sacrifier les vieilles amitiés aux ambitions de la nouvelle venue, ou bien resserrer, au contraire, les liens traditionnels, refouler la Russie du côté de l’Asie et « lui fermer l'accès du monde civilisé ? » La France, pendant tout le XVIIIe siècle, eut à choisir entre ces systèmes opposés. La Russie, disons-le, nous fit toutes les avances, Pierre le Grand le premier, et après lui sa fille Élisabeth, arrivée au pouvoir suprême grâce aux conseils, à la direction avisée de l’envoyé français, le marquis de la Chétardie, éprise d'ailleurs, sur la foi d'un portrait, de Louis le Bien-Aimé, et poussée vers l'alliance française par des raisons sentimentales. Louis XV, comme le prouve Vandal, ne comprit pas clairement l’importance de l’atout qui tombait ainsi dans son jeu. Il ne sut point prendre parti franchement, et chaque pas qu'il fit en avant fut suivi d’un pas en arrière. Sa politique, du début à la fin, n’est qu’une longue suite d'oscillations, rapprochemens passagers auxquels succèdent des refroidissements sans rupture..." (Marquis de Ségur, Revue des Deux Mondes)