"1927. Paris Éditions de la Nouvelle Revue Française Gallimard 1927 ex. num. sur vélin des Papeteries de Navarre - Broché 13 cm x 18 5 cm 69 pages- Texte de Gil Robin portrait de l'auteur par Jean-Louis Model gravé sur bois par G. Aubert - Bon état"
Reference : 14378
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1958 Stylo noir, signé et daté 1958, 26,5 x 16 cm.
Mette IVERS est une illustratrice française, née en 1933 à Boulogne Billancourt. Elle fait ses études à l'école d'art de Copenhague. Elle se fait rapidement connaître pour ses illustrations de livres dédiés aux enfants notamment pour Hachette jeunesse et J'aime lire. Artiste féconde elle se consacre aussi à l'illustration de contes du monde entier. Jean-Jacques SEMPE a été son mari. Belle étude pour un corps de femme nu de profile. L'artiste montre sa grande maîtrise du trait, du dessin et de l'étude anatomique.
1958 Encre de Chine, signée et datée 1958, 28 x 21 cm.
Mette IVERS est une illustratrice française, née en 1933 à Boulogne Billancourt. Elle fait ses études à l'école d'art de Copenhague. Elle se fait rapidement connaître pour ses illustrations de livres dédiés aux enfants notamment pour Hachette jeunesse et J'aime lire. Artiste féconde elle se consacre aussi à l'illustration de contes du monde entier. Jean-Jacques SEMPE a été son mari. Belle étude pour un corps de femme nu dessiné à l'encre de Chine. Mette IVERS montre sa grande maîtrise du trait, du dessin et de l'étude anatomique que cela soit au crayon, au stylo ou comme ici à l'encre.
AU BUREAU DU JOURNAL. 1937. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. paginé de 550 à 571 pages augmentées de nombreuses illustrations et photos en noir et blanc dans et hors texte. . . . Classification Dewey : 704.948-Erotisme
Sommaire : L'avalanche, par Louis Charles Royer / rumeurs / étude de nu / la dangereuse traversée, par R.G.A. Grun / Fanny Hill femme de plaisir, par Léon Treich / une nuit chez Mme Tussaud, par Jean Pierre Dorian... Classification Dewey : 704.948-Erotisme
. "Ludovic Alleaume (Angers 1859- Paris 1941) ""Autoportrait en Goliath""Huile sur carton, 78x47cm, dédicacée ""A mon ami Maurice Sailland Alias Curnonski (sic) j'offre cette vieille étude (faite, vers 1880, à l'École du Musée d'Angers) pour le portrait ci-contre, qui l'intéresse particulièrement"", Paris 1928. Ludovic Alleaume étudie d'abord la peinture à l'école régionale des Beaux-Arts d'Angers auprès d'Eugène Brunclair puis poursuit sa formation à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris dans l'atelier de Luc-Olivier Merson. Avec ses frère, Auguste et Paul, spécialistes du vitrail ayant leur atelier à Laval, il participe à de nombreux projets de décoration. Dès 1883 il participe au Salon des artistes français. Portraitiste réputé, il partagera sa vie entre l'atelier de ses frères à Laval et son atelier Parisien Boulevard Saint-Germain. Il collabore également comme illustrateur à la Revue de Bretagne, la Revue d'Anjou et au Monde illustré. Il est décoré du titre de Chevalier de la Légion d'honneur en 1927. Maurice Edmond Sailland, plus connu sous le nom de Curnonsky (Angers 1872-Paris 1956) passe sa jeunesse à Angers et s'installe à Paris pour préparer l'Ecole Normale supérieure dès ses 18 ans. Polygraphe par nécessité, il devient l'un des ""nègres"" de Willy, le premier mari de Colette. C'est à cette époque qu'il prend le pseudonyme de Curnonsky pour se conformer à la mode de la littérature russe alors en vogue. Il prête également sa plume à la publicité. Nous lui devons le nom de ""Bibendum"" du bonhomme Michelin. A partir de 1921, en collaboration avec Marcel Rouff, il commence la publication de La France Gastronomique, véritable encyclopédie des spécialités gastronomiques régionales françaises et des meilleurs restaurants. La littérature gastronomique devient alors le principal sujet de sa production. En 1927, il est élu Prince des Gastronomes devant Maurice des Ombiaux. Il meurt accidentellement en tombant de la fenêtre de son appartement parisien. Bien que tous deux angevins de naissance, Alleaume et Curnonsky se sont vraisemblablement connus à Paris autour d'un bon dîner comme le suggère ce poème de Marguerite Milon dédié au peintre, publié en 1932. : « le Maître est Angevin / Et ne dédaigne pas la table. / Qu'on lui serve un pot de bon vin, / Il trouve le vin délectable. / Les petites femmes qu'il peint / Ont souvent retiré leurs voiles. / Je le crois un peu libertin / Si j'en juge par quelques toiles. / Il déjeune un jour chez les Gueux, / Comme à l'Elysée, en bon Maître, / Les yeux brillants, le cœur fougueux... / Mais la Beauté sait le soumettre ! / ENVOI : / Prince des Arts, que ma chanson / Toute simplette et bien modeste / Dise aussi que vous êtes bon / Bonté vaut mieux que tout le reste."" La tête coupée qui semble bien un autoportrait de Alleaume autour de 1928 au-dessus d'une bouteille a donc été ajoutée par le peintre bien après la réalisation de l'étude vers 1880. Cette bouteille dont l'étiquette est bordée d'un liseré rouge est sans doute un flacon de Cointreau Cursky, la famille Cointreau étant également originaire d'Angers. En 1921, Ludovic Alleaume présidait le dîner du ""Vin d'Anjou"" au restaurant parisien Le Ronceray auquel bien entendu, Curnonsky était présent. Document unique !"