"Paris. 14 cm x 22 5 cm. 1923. Broché. 88 pages. Paris Editions du Sagittaire août 1923. Broché 14 cm x 22 5 cm 88 pages. Directeur : Edmond Jaloux gérant : Philippe Soupault textes et poèmes de Hubert Brackanthorpe Max Jacob Jacques-Emile Blanche André Germain Marcel Jouhandeau lettre du Prince de Ligne. Bon état" "Bon état"
Reference : 100073747
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1831 demi-basane dos orné, plats papier marbré (2 dos frottés). 11 vol. in-8, P. 1831-1835
Tout ce qui a paru de cette remarquable revue de sciences sociales. Hector Berlioz figure parmi les auteurs publiés, aux côtés de Lamartine, Ozanam, E. de Cazales, J. d'Ortigue et d'autres catholiques libéraux de qualité.
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[éditions Droz] - BOUSQUET, Georges-Henri ; TOMMISSEN, Piet (introd.) ; Revue européenne des sciences sociales
Reference : 53016
(1981)
2 vol. in-8 agrafés, Revue européenne des sciences sociales, éditions Droz, Genève, 1981 et 1978, pp. 150 à 158 et pp 171 et 172
Très bon état. Dans son introduction tirée du n° 59, P. Tommissen indique qu'il s'agit d'un article inédit, retrouvé après la mort de l'auteur, par sa veuve aidée d'un ami (prof. Michel Robine). Exemplaire provenant de la bibliothèque de la veuve du professeur Georges-Henri Bousquet (1900-1978). Docteur en droit en 1923 avec une thèse sur 'L'évolution sociale en Hollande 1914-1922', G.-H. Bousquet reste surtout connu comme économiste proche de Pareto et Schumpeter (il connut personnellement ces deux auteurs), ainsi que comme un islamisant de l'école de Goldziher et Snouck-Hugronje. Il fut notamment professeur aux facultés d'Alger puis de Bordeaux.
Cahiers Vilfredo Pareto. Revue Européenne des Sciences Sociales (S. Abbruzzese, C. Atias, K. Axelos, A. Barbosa, B. Bonfils, F. Casetti, C. Castoriadis, G. Gosselin, J.-B. Grize, D. Kamper, ...)
Reference : 78748
(1987)
1987 Editions Droz, Genève - 1987 - Revue Européenne des Sciences Sociales Tome XXV / N° 75 - In-8, broché - 263 p.
Bon état
Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique."
Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).
Revue Européenne, Paris 1831, 13x21cm, relié.
Tête de collection complète des six premiers numéros de la revue reliés en deux volumes, pagination en continu à l'intérieur de chaque volume. Reliure en demi-basane brune, dos lisse ornés de filets et de fleurons dorés. Dos usés et en partie manquants. Contributions de E. de Cazalès, L. de Carné, A. de Lamartine, E. Jourdain, Chateaubriand, L. de Bonald, A. Guiraud, F. Baader... Quelques rousseurs éparses, une trace de mouillure marginale dans la partie inférieure du deuxième volume, sinon rare et bon exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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