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Sagnac (Philippe), Halphen (Louis) ss la dir. de
La Fin de l'Ancien Régime et la Révolution américaine (1763-1789).
1952 In Peuples et Civilisations, XII, Paris, Presses Universitaires de France, 1952. Un volume in-8 broché, couverture beige imprimée, 622 pages. Rares rousseurs, bon état.
Reference : 8928
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La Fin de l'Ancien Régime et la Révolution américaine (1763-1789).
1947 In Peuples et Civilisations, XII, Paris, Presses Universitaires de France, 1947. Un volume in-8 broché, couverture beige imprimée, 622 pages. Dos réparé, néanmoins bon état.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
La Fin de l'Ancien Régime et la Révolution américaine (1763-1789)
1941 Paris, PUF, 1941. Fort in-8, 614 pp., broché.
Papier bruni mais un bel exemplaire.
La Fin de l'Ancien Régime et la Révolution américaine (1763-1789).
PUF, 1952, fort in-8°, 622 pp, 3e édition revue et augmentée, biblio, index, broché, bon état (Coll. Peuples et Civilisations)
"L'ensemble du livre révèle une érudition magnifique, l'universalité d'esprit et le sens de l'exposition d'un historien de grande classe. Ce livre, vraiment très beau, ajoute un fleuron à l'œuvre déjà si remarquable de M. Sagnac. (...) A juste titre, M. Sagnac considère la fin du XVIIIe s. avant tout comme une période de profonde crise morale et intellectuelle. Il y constate, parmi les facteurs généraux, les progrès de la natalité, le maintien d'une puissante aristocratie foncière conservatrice, l'élan du capitalisme industriel et bancaire, l'ascension et l'enrichissement des classes moyennes, un ardent épanouissement artistique et scientifique..." (Frans van Kalken, Revue belge de philologie et d'histoire)
La Fin de l'Ancien Régime et la Révolution américaine (1763-1789).
PUF, 1941, fort in-8°, 614 pp, biblio, index, broché, bon état (Coll. Peuples et Civilisations)
"L'ensemble du livre révèle une érudition magnifique, l'universalité d'esprit et le sens de l'exposition d'un historien de grande classe. Ce livre, vraiment très beau, ajoute un fleuron à l'oeuvre déjà si remarquable de M. Sagnac. (...) A juste titre, M. Sagnac considère la fin du XVIIIe s. avant tout comme une période de profonde crise morale et intellectuelle. Il y constate, parmi les facteurs généraux, les progrès de la natalité, le maintien d'une puissante aristocratie foncière conservatrice, l'élan du capitalisme industriel et bancaire, l'ascension et l'enrichissement des classes moyennes, un ardent épanouissement artistique et scientifique. Les grands conflits ne trouvent pas leur place sur les champs de bataille. Ils figurent au sein de la vie religieuse, mystique et cérébrale. La passion romantique commence à se dégager des rigueurs du classicisme, l'individualisme libéral se heurte aux progrès de l'Etat administratif, centralisé, et autoritaire. Le cosmopolitisme goethien, la mode des échanges intellectuels internationaux coexistent avec l'esprit « national », des élites comme en France, des rois, des fonctionnaires et des officiers comme en Prusse..." (Frans van Kalken, Revue belge de philologie et d'histoire, 1944)
La Fin de l'Ancien Régime et la Révolution américaine (1763-1789).
PUF, 1947, fort in-8°, 614 pp, biblio, index, broché, dos scotché, état correct (Coll. Peuples et Civilisations)
"L'ensemble du livre révèle une érudition magnifique, l'universalité d'esprit et le sens de l'exposition d'un historien de grande classe. Ce livre, vraiment très beau, ajoute un fleuron à l'œuvre déjà si remarquable de M. Sagnac. (...) A juste titre, M. Sagnac considère la fin du XVIIIe s. avant tout comme une période de profonde crise morale et intellectuelle. Il y constate, parmi les facteurs généraux, les progrès de la natalité, le maintien d'une puissante aristocratie foncière conservatrice, l'élan du capitalisme industriel et bancaire, l'ascension et l'enrichissement des classes moyennes, un ardent épanouissement artistique et scientifique. Les grands conflits ne trouvent pas leur place sur les champs de bataille. Ils figurent au sein de la vie religieuse, mystique et cérébrale. La passion romantique commence à se dégager des rigueurs du classicisme, l'individualisme libéral se heurte aux progrès de l'Etat administratif, centralisé, et autoritaire. Le cosmopolitisme goethien, la mode des échanges intellectuels internationaux coexistent avec l'esprit « national », des élites comme en France, des rois, des fonctionnaires et des officiers comme en Prusse..." (Frans van Kalken, Revue belge de philologie et d'histoire)
