Paris La Table Ronde 1971 Un volume in-12 broché, couverture illustrée, 135 pages. Discrète pliure au dernier plat, néanmoins bon état.
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Gauthier-Villars, éditeur à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1926 Book condition, Etat : Bon relié, pleine toile ordinaire moderne bleue, pièce de titre au dos, plats conservés bien qu'un peu endommagés grand In-8 2 vol. - 900 pages
Tome 1, (1923, 1ere édition) - Tome 2, (1926, 1ere éditon) Contents, Chapitres : Tome 1. Préface, vi, Texte, 440 pages - Tome 2. Texte, 454 pages - Tome 1. Les problèmes généraux de la mécanique céleste - Etude pratique du mouvement képlerien et de ses perturbations - Théorie des planètes - Tome 2. Théorie des planètes (suite) - Théorie de la Lune - Théorie du mouvement de rotation de la Terre et de la Lune autour de leurs centres de gravité - Théorie des anciens satellites de Jupiter - Marie Henri Andoyer (1er octobre 1862, Paris 12 juin 1929) est un astronome et mathématicien français. - Selon Jean-Claude Pecker : « Entré à lÉcole normale supérieure en 1881, reçu à lagrégation de mathématiques en 1884, il fut nommé aide astronome à lObservatoire de Toulouse, et chargé de conférences à la Faculté. Il y prit une part active aux observations méridiennes et équatoriales. Il soutint en 1886 à Paris sa thèse Contribution à la théorie des orbites intermédiaires et devint maître de conférences de mathématiques à la Faculté des sciences de Toulouse. En 1889, il fut chargé, à l'Observatoire de Toulouse, du service nouvellement créé de la Carte du Ciel. En 1892, il fut nommé maître de conférences de mécanique céleste à la Faculté des sciences de Paris. En 1912, il succéda à Poincaré comme professeur dastronomie générale et de mécanique céleste. Andoyer se rendit à El-Arrouch (Algérie) pour observer léclipse totale de Soleil du 30 août 1905. Il consacra une importante part de ses travaux à la révision de la théorie de la Lune de Delaunay, montrant quau-delà du 7e ordre, tous les termes de Delaunay sont inexacts. À la mort de Radau, en 1911, Andoyer prit en main la rédaction de la Connaissance des temps. Ses ouvrages contiennent le développement de ses leçons de mécanique céleste et d'astronomie. Il publia en outre des Tables trigonométriques fondamentales, des Tables des valeurs naturelles et des Tables logarithmiques des nombres de 100 000 à 200 000. » (source : Wikipedia) "Bon exemplaire, complet en 2 tomes homogènes du ""Cours de mécanique céleste"" d'Henri Andoyer, le 1er volume est paru en, 1923, le second volume en 1926 (1ere édition des deux tomes), belles reliures en très bon état, reliures modernes postérieures à l'ouvrage, sinon frais et propre, papier un peu jauni et assez fragile, les plats originaux de l'édition brochée ont été conservés mais ils sont un peu défraichis et consolidés très proprement ainsi que les 5 premières pages du tome 2 (renforcé élégamment avec des collants avant le texte), cela reste un bon exemplaire, le tome 2 est en grande partie non coupé, cela reste un texte important dans les cours de mécanique céleste, rappelons qu'Andoyer fut le successeur d'Henri Poincaré comme professeur d'astronomiue générale et de mécanique céleste à la Faculté des Sciences de Paris, avec un tampon ""hommage de l'auteur et des éditeurs"" sur les deux tomes - Near fine set, complete in 2 homogeneous volumes of Andoyer'work on celestial mechanics, 1st French edition, 1923-1926, binding are ordinary and modern but in fine condition (full blue clothes, not editor), inside is clean, no markings except a stamp ""hommage of the author and editor"". The origina wrappers were preserved but in rather poor condition, with reparation on the title page, text remains cleans and unmarked, the paper is yellowing, Andoyer was the successor of Poincaré at the French Faculté des Sciences in celestial mechanics, an interesting copy, with long chapters on the Keplerian movement, on the theory of the Moon, and on Jupiter's former satellites"
Le très rare atlas céleste de Corbinianus Thomas qui comporte un traité d’astronomie et une explication sur l’usage des globes en astronomie. Leipzig & Nuremberg, 1730.Petit in-4 oblong de (1) f. de titre, 212 pp. et 83 planches hors texte. Manquent probablement le frontispice gravé et/ou un table dép. Feuillet de titre monté avec manque de papier et d’un peu de texte dans la partie supérieure. Cachet sur le feuillet de titre et dans la marge. Qq. ff. abîmés dans les marges. Qq. Tâches et mouillures. 20 planches avec dessins ajoutés dans l’image à l’encre ou au crayon. Demi-vélin souple postérieur à coins, plats de papier cartonné bleu, titre au dos.195 x 156 mm.
Le très rare atlas céleste de Corbinianus Thomas qui comporte un traité d’astronomie et une explication sur l’usage des globes en astronomie.Poggend. II, 1096 u. ; Honeyman 2975; Not in Houzeau/L. Une autre version de cet ouvrage parut simultanément sous le titre de Mercurii Philosophici firmamentum firmianum descriptionem et usum globi artificialis coelestis.On connaît peu de choses à propos de Corbinianus Thomas, moine bénédictin et professeur de mathématique à Salzbourg, mais son atlas fait partie des trésors méconnus de la cartographie céleste. Il est composé de gravures représentant individuellement les constellations, aussi charmantes les unes que les autres. La planche d’Andromède est la plus réussie, grâce à son drap baroque répondant aux différentes teintes du rocher composant le décor. Certaines autres figures des constellations sont aussi peu communes. Thomas fut l’un des premiers cartographes célèstes à dédier une planche séparée à Camelopardalis, une constellation qui apparut pour la première fois sur les globes vers 1600, mais qui habituellement apparaissait aux côtés de Cepheus ou Cassiopeia. Il fut également le premier cartographe à offrir une planche individuelle à certaines des constellations du ud, tells que Indus et Pavo qui étaient habituellement représentées en tant que petites parties des planches dédiées au planisphère centré sur le pole sud célèste.Comme on peut le voir sur la planche d’Andromède à droite, Thomas a utilize un système de nomenclature intéressant : les lettres grecques de Bayer, la numération romaine pour la magnitude, et la numération arabe en référence à un catalogue d’étoiles. Ce système provient des larges globes de Coronelli, tout comme de nombreuses figures de Thomas. Thomas inventa une constellation, la constellation de Corona Firminia en honneur à son mécène, l’archevêque de Salzbourg. Elle ne figure ainsi que dans l’atlas du moine bénédictin Thomas Corbinianus où elle remplace tout bonnement la Couronne boréale.Le présent ouvrage est illustré de 83 gravures sur cuivre à pleine page présentant les constellations, les hémisphères, ou des figures plus techniques consacrées à l’usage des globes en astronomie.Précieux exemplaire de ce rare atlas céleste, dont l’ensemble des 83 planches a été entièrement colorié à la main à l’époque dans des tons particulièrement vifs.Nos recherches ne nous ont permis de localiser que 2 exemplaires de ce très rare atlas céleste dans l’ensemble des Institutions mondiales : Bibliothèque d’Etat de Berlin et Bibliothèque de l’Université d’Eichstätt.
Paris, J.B.M. Duprat; Bachelier, 1798-1805. 4 volumes relié en deux tomes in-4 demi-vélin, dos lisses, étiquette de titre brune. Reliure XIXe.
Bien complet de la planche dépliante au tome IV. Édition originale de l'un des ouvrages scientifiques parus les plus importants depuis les "Principia" de Newton. Durant plus d'un siècle il a été la bible de tous les astronomes, et encore aujourd'hui, en dehors des corrections relativistes, les astronomes contemporains utilisent des méthodes qui pour la plupart figurent dans l'ouvrage de Laplace. "Les deux premiers volumes - publiés en 1798 - du "Traité de mécanique céleste" divisé en cinq livres, exposent des rappels de mécanique rationnelle, la loi de la gravitation universelle, la figure des corps célestes, la théorie des marées, les mouvements des corps autours de leur centre de gravité (ainsi que la précession et la nutation). Le troisième volume - 1802 - est divisé en deux livres, le livre VI sur la théorie des mouvements planétaires et le livre VII sur la théorie de la Lune. Le quatrième - 1805 - volume est divisée en trois livres, le livre VIII sur la théorie des satellites de Jupiter, Saturne et Uranus, le livre IX sur les comètes, et le livre X qui traite de la réfraction astronomique et d'autres questions annexes." En Français dans le texte 201. Bien complet des "Supplément au traité de mécanique céleste présenté au Bureau des Longitudes, le 17 août 1808", du "Supplément au dixième livre du traité de mécanique céleste. Sur l'action capillaire" et du "Supplément à la théorie de l'action capillaire" avec son propre titre et son faux-titre (1807). Sans le volume 5 qui parut en 1825 et qui est essentiellement consacrés à des notices historiques sur des sujets traités dans les quatre premiers volumes. Les volumes I et II sont imprimés sur un papier portant, en filigrane, "MECANIQUE CELESTE". Quelques rousseurs. Noms de propriétaires en page de garde : "Th. Nielhammer 1899" et "H. Nielhammer 1947". Dibner, Heralds of Science, 14. D.S.B., XV, pp. 273-403. Horblit 63. Roberts & Trent, Bibliotheca Mechanica, pp. 197-98. Sparrow, Milestones of Science, 125.
4 volumes in-8, demi-chagrin prune de l'époque, dos à 5 nerfs rehaussés de filets dorés, titre doré, tête dorée. Paris, Librairie Nouvelle, 1858.
Seconde édition en partie originale, augmentée des chapitres XXXVII à LVI qui manquaient à l'édition précédente de 1854. Elle est également enrichie des pièces des procédures qu'elle intenta afin de récupérer la propriété du château dit "Ermitage de la Maison Rouge" dans l'Indre.Née à Paris en 1824 dune mère blanchisseuse et dun père inconnu Céleste Veinard dite "Mogador" subit un beau-père violent avant de quitter le domicile familial. Fille de bordel à 15 ans, lorette à 20 et courtisane à 25, elle devint écuyère à l'Hippodrome, actrice aux Délassements comiques, à Beaumarchais, aux Folies dramatiques et au théâtre des Variétés, puis connut la gloire à la fin des années 1840 au célèbre Bal Mabille. Reine de Paris, courtisée, Céleste Mogador entretiendra une relation houleuse avec le Comte de Chabrillan, diplomate et aristocrate désargenté avec lequel elle se maria en 1854 et quelle accompagna dans ses missions.Elle poursuivit sa carrière tout en composant des romans et surtout ces sulfureux "Mémoires" qui furent condamnés pour outrage aux bonnes murs et engendrèrent des conflits sans fin avec ses éditeurs. Veuve, malade et alcoolique, elle mourut en 1909 rue des Martyrs à la maison de retraite "l'Asile de la Providence" qui existe toujours.Petits frottements et qqs épidermures à la reliure. Quelques rousseurs et auréoles. Ex-libris armorié gravé par Stern.Bon exemplaire, bien relié à l'époque.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
Paris, Gauthier-Villars, 1905-1910, in-8, 3 volumes, VI-365-[2], [4]-136-[2], [4]-472 pp, 2 pl. depl, Toile grise, pièces de titre rouges, Première édition de ce travail fondamental sur la mécanique céleste, qui constitue le développement des cours de Poincaré à la Sorbonne, rédigé par lui-même pour les deux premiers volumes (Théorie générale des perturbations planétaires - Développement de la fonction perturbatrice et Théorie de la lune). Le troisième volume, sur la théorie des marées, a été rédigé par Fichot, ingénieur hydrographe de la Marine; il comprend deux planches dépliantes représentant les lignes cotidales et systèmes de la marée semi-diurne d'après l'océanographe Rollin Arthur Harris (1863-1918). Henri Poincaré (1854-1912) "fit en mathématiques pure, en mécanique céleste, en physique mathématique et en philosophie des sciences une oeuvre prodigieuse, dont le renom est immense" (En français dans le texte, n° 329). Avec ses travaux sur la mécanique céleste, il se démarque de ses prédécesseurs, notamment de Lagrange. Il introduit un traitement rigoureux du sujet, par opposition aux calculs semi-empiriques qui prévalaient jusque-là, et se rapproche du point de vue qui convient à l'astronome praticien, ou au physicien pour ce qui concerne la théorie des marées. Dos insolés, tache d'encre sur une gouttière. DSB XI, pp. 57-58. Gaston Darboux, "Éloge historique d'Henri Poincaré". Mémoires de l'Académie des sciences, 52 (1914). Couverture rigide
Bon 3 volumes, VI-365-[2],