1921 Paris, Perrin, 1921. Un volume in-8 demi chagrin rouge, dos à nerfs, filets dorés, titre doré, 381 pages. Bel exemplaire.
Reference : 1895
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Perrin, 1901, in-8°, xxxvi-378 pp, préface de Victorien Sardou, un portrait de la marquise de Combray en frontispice et 3 gravures hors texte (dont une double du débarquement du 16 janvier 1804 à la falaise de Biville), reliure demi-chagrin noir, dos à 5 nerfs filetés et soulignés à froid, titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), bon état
"L'ouvrage débute par le récit des aventures de Cadoudal, depuis le 1er septembre 1803 jusqu'à son exécution. Les deux premiers chapitres servent à montrer ce qu'était la chouannerie dans l'Ouest, particulièrement en Normandie, au début de l'Empire. Le véritable sujet de Tournebut ne commence qu'avec le chapitre III. Tournebut, c'était le nom d'un château situé dans la commune d'Aubevoie (Eure), aujourd'hui démoli, habité en 1804 par la marquise de Combray, royaliste ardente, fanatique, irréductible, en relations avec tous les chouans de la contrée. La plus jeune fille de la marquise, Caroline, née en 1773, s'était laissé séduire par un de ces chefs de chouans, Acquet de Férolles, qui se donnait comme « agent général de Sa Majesté », et qui n'était qu'un vulgaire aventurier. A peine eut-il épousé Caroline, en 1797, qu'il mit au pillage les domaines des Combray, maltraita et terrorisa sa malheureuse femme, qui, en 1804, s'enfuit et déposa une plainte en séparation. Pour mettre les torts du côté de sa femme, Acquet lui envoya un agent royaliste, Le Chevalier, comptant bien que les qualités physiques de celui-ci, ses manières élégantes, la séduction que lui donnaient ses malheurs passés, captiveraient la pauvre Caroline ; celle-ci, en effet, devint la maîtresse de Le Chevalier, s'associa à son existence aventureuse et, perdant toute retenue, se mêla aux déclassés qui formaient l'entourage de son amant, fréquentant avec eux les auberges et les cafés de Caen. Le Chevalier était un de ces chouans qui continuaient à l'Empire la guerre qu'ils avaient faite à la République et qui évoluaient autour de François-Robert d'Aché, ancien officier de marine et ancien compagnon de Cadoudal, dont il avait repris l'œuvre..." (P. Mautouchet, Revue d'histoire moderne et contemporaine)
P., Perrin et Cie, 1930. In-8 broché, XXXVI-381 pp.-[1] ff. (table), portrait-frontispice.
Couv. un peu défraîchie, bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Librairie académique PERRIN et Cie 1925 un volume in-8°, XXXVI 381 pp. + table. Reliure époque en demi-veau marbré, dos à nerfs soulignés d'une roulette dorée orné de pièces d'auteur et de titre en cuir de Russie, roulettes, filets et fers dorés, fers estampés, tête dorée, signet, couvertures conservées. (auréole noire au dos, feuillets légèrement brunis, rares traces de doigts). Portrait-frontispice et quelques gravures hors-texte en noir & blanc. Bel exemplaire.
Librairie académique Perrin et Cie 1913 Fort In-12. Reliure moderne demi-chagrin rouge cerise, couvertures d’origine conservées, dos à 4 nerfs, caissons ornés de cadres dorés, pièces de titre et d’auteur en maroquin noir, tête dorée, XXXVI + 381 pp., illustrations en noir et blanc hors texte. Coins légèrement frottés sinon bel exemplaire.
Émile Gaborit rendit hommage à Georges Lenôtre (1855-1935), “pape de la petite histoire”, en ces termes: “Il avait le culte du parfait détail et la foi dans une impalpable survivance du passé.” Bon état d’occasion
Couverture souple. Reliure demi-basane. 378 pages. Couverture factice. Fortes rousseurs.
Livre. Editions Perrin et Cie, 1930.