Format 13,5 X 21 cm, daté 15 mai 1961. En-tête de l'Académie de Marseille.
Reference : 17238
André Bouyala d'Arnaud (1894-1967), bibliothécaire, historien et collaborateur de la presse marseillaise et parisienne, notamment au "Figaro", à "L'Illustration", à "La Provence Latine", fut également membre de l'Académie de Marseille. Il remercie dans sa lettre des félicitations de son correspondant. Il ajoute : "Merci aussi du renseignement précieux que vous me donnez sur cette pittoresque coutume de "pavaioun". Je l'ignorais et ne manquerai pas d'en tenir compte, car cela s'inscrit bien dans notre folklore".
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S.n., Paris 1er août 1926, 14x21,5cm, une feuille.
Lettre autographe datée du 1er Août 1926 et signée d'une page et demie de Pierre Jean Jouve s'excusant auprès de son correspondant après que ce dernier eut frappé à sa porte et que Pierre Jean Jouve, alors alité et souffrant, n'a pu lui ouvrir. Embarrassé et éreinté, il souhaite revoir son interlocuteur à son retour à Paris qu'il quitte dans la journée et qu'il ne lui tiendra pas rigueur pour l'incident décrit précédemmment. "Cher monsieur, je suis très confus de ce qui est arrivé l'autre jour et vous prie de m'excuser. Quand vous avez sonné à ma porte j'étais bien chez moi, mais souffrant, et dans un malaise tel que je ne pouvais ni vous ouvrir ni vous faire un signe quelconque. J'ai essayé de vous joindre samedi et de vous expliquer les circonstances par téléphone, sans réussir à vous trouver. Je quitte Paris cet après-midi, très fatigué. J'espère que nous pourrons nous voir cet automne, et surtout que vous ne garderez aucun ressentiment contre moi, et je vous prie de croire à mes sentiments cordiaux." - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., s.l. 27 Décembre 1963, 13,5x21cm, une feuille.
Lettre autographe datée et signée de 20 lignes à l'encre bleue remerciant son correspondant (le photographie spécialiste incontournable des Indiens Jean-Louis Nou) pour ses voeux et lui présentant les siens. Elle s'excuse pour sa tardive réponse à son courrier et lui propose un rendez-vous en bienveillante protectrice de ses travaux : "... que vous me racontiez où vous en êtes..." Enfin, elle le félicite : "... la photo de P. Casals est fort belle..." - Photos sur www.Edition-originale.com -
LORRAINE (Charles IV duc de) fils de François de Lorraine, comte de Vaudémont, passa son enfance à la Cour de France, compagnon de jeu du futur Louis XIII. Il Succéda à son oncle Henri II en 1624 et devint duc de Lorraine et de Bar de 1625 à 1675 avec plusieurs interruptions, pendant cette période du fait d’une vie très agitée, se mêlant aux intrigues de la Fronde, à la guerre de Trente ans et ayant une vie conjugale tumultueuse (1604-1675). Il accueillit Gaston d’Orléans fugitif et donna en mariage, sa sœur Marguerite, qui lui attira les colères de Richelieu et Louis XIII, lui prit Nancy et d’autres places. Son second mariage avec Béatrix de Cusance, fut toutefois cassé par le Pape Urbain VIII en 1639.
Reference : 95C21
Le prince demande l’admission des Pères Carmes des chaussés (probablement le couvent des Carmes déchaussés de Liège, au Prince et Abbé de Stavelot afin de fonder un couvent pour le salut de leur âmes, « estant grandement désirés du peuple de Stavelot ayant heu aussi Considération quils y peuvent vivre sans leur estre a charge ; et comme ils ont beaucoup d’attendre que vous voudrez bien seconder ce bon et pieux dessein en leur accordant ceste permission. Ils ont cru quils lobtiendroient plus facilement si Je Joignois comme je fais, ma prière a celle quils vous en font… ».