‎[Nouveau testament protestant/ Bible 1658}]‎
‎Le nouveau testament, c’est à dire la nouvelle Alliance de notre Seigneur Jésus Christ. Le tout revu et conféré sur les textes grecs, par les pasteurs et professeurs de l’Eglise de Genève. ‎

‎Se vend à Charenton, par Antoine Cellier, demeurant à Pris, rue de la Harpe, à l’imprimerie des Roziers. M. DC. LVIII [1658]. Deux ouvrages en un volume, in-8, reliure pleine veau de l’époque, à deux fermoirs métalliques ciselés, dont un manquant, montés sur charnières, la reliure du dos est manquante, trace d’épidermures et de vers sur les plats supérieur et inférieurs, coins émoussés. L’Ex-libris est une inscription à la plume à l’encre noire, avec le nom d l’ancien possesseur la date 1750 sur la page de garde, gravure en la page de titre, une page contenant les noms des livres du Nouveau Testament, non chiffrée, un feuillet contenant l’Argument sur l’Evangile sur deux page complètes non-chiffrées. 720 pages. Suivi de : Les pseaumes de David mis en rime française par Clement Marot & Théodore de Beze. Se vendent à Charenton, par Antoine Cellier, demeurant à Paris, rue de la Harpe, à l’imprimerie des Roziers, M. DC. LVIII [1658], 302 pages non chiffrées, Suive de : Les commandemens de Dieu, le cantique de Simon, tables des pseaumes selon l’ordre de l’alphabet, 4 pages non chiffrées, Suivie de : La forme des prières ecclésiastiques, la forme d’administrer le Baptesme, la manière de célébrer la saincte Cène, la manière de célébrer le mariage, de la visite des malades. Avertissement aux lecteurs touchant le catéchisme, le catéchisme : des articles de la foi, des dix commandemens, , de la prière, de la parole de Dieu, des sacremens, confession de foi faite d’un commun accord par les églises réformés du Royaume de France, oraison pour dire en visitation d’un malade, prière du matin, prière du soir, 92 pages non chiffrées. ‎

Reference : ALB-196

‎Edition réalisée dans les presses protestantes à Charenton, suite à l'interdiction faite aux réformés de pratiquer leur culte dans Paris. Le temple protestant de Charenton, dont la construction avait été autorisée par Henri IV, fut détruit au moment de la révocation de l'Edit de Nantes. ‎