‎GOUIN, Gaston‎
‎J'il de noir. ‎

‎Illustrations par le poète. (Montréal), Cosmos, l'Hexagone, Parti pris, (1971). 19.5 cm, 52,(3)p. Broché. Couverture illustrée.‎

Reference : 928


‎ ‎

€6.55 (€6.55 )
Bookseller's contact details

Librairie Le Chercheur de Trésors (LILA/ILAB)
Mme Hélène Piché
1339 Est Ontario
H2L 1R8 Montréal
Québec Canada

folio@ca.inter.net

Contact bookseller

Payment mode
Cheque
Others
Sale conditions

- - Les ouvrages et documents offerts dans ce catalogue sont en bon état, sauf indications contraires. Ils ne peuvent être retournés sauf s’ils ne correspondent pas à la description. Les réclamations doivent être adressées dans les dix jours qui suivent la réception. Chaque item est sujet à une vente préalable. - Les prix indiqués sont nets. Les frais de port, d'assurances et de taxes de vente applicables au Canada (5% TPS pour les livres, plus 9,975 % TVQ pour les documents) sont rajoutés à la facture. Le paiement s'effectue en dollars canadiens, il peut être réglé avec Paypal ou par transfert bancaire . Nous accordons les facilités de paiement habituelles aux institutions. <br />

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎SALA-MOLINS (Louis).‎

Reference : 89021

(1992)

ISBN : 9782130448365

‎L'Afrique aux Amériques. Le Code Noir espagnol.‎

‎ PUF, 1992 in-8°, 184 pp, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎"L'Espagne, jalouse de la prospérité des Antilles françaises, dont elle voit la cause dans l'extrême rigueur du Code Noir de 1685, fait rédiger le Código Negro carolino en 1784, dont l'auteur nous donne ici la traduction, précédée d'une ample introduction. Il signale également la double articulation du Code Carolin au Code noir, et du Code noir aux ordonnances hispaniques antérieures. Comme dans son édition du Code noir, l'auteur use d'un style misérabiliste qui ne convainc pas toujours le lecteur : « le maître et le moine labourent avec une ardeur pareille les chairs de l'esclave noir » (p. 11) ; etc. La traduction que présente L. Sala-Molins est effectuée à partir de l'édition publiée par Javier Malagón Barcelo en 1974 : le Code noir Carolin est resté à l'état de projet, n'ayant jamais été promulgué ! Peu importe d'ailleurs qu'il n'ait jamais été appliqué car il donne une idée des sentiments de l'autorité qui en a ordonné la rédaction. Son contenu, comme on peut s'y attendre, est assez proche du Code noir français, mais accorde quelques réconforts au destin du noir, réconforts signalés par Humbolt mais que Sala-Molins considère – sans doute à juste titre – comme inexistants..." (Jean Imbert, Revue historique de droit français et étranger, 1993) ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR30.00 (€30.00 )

‎VAILLÉ (Eugène).‎

Reference : 23679

(1950)

‎Le Cabinet Noir.‎

‎ PUF, 1950, in-8°, 411 pp, broché, couv. illustrée (lég. salie), bon état‎


‎"M. Vaillé s'est laissé tenter par un aspect particulièrement obscur de l'histoire postale – et qui, par son obscurité même, a donné lieu à bien des légendes : l'activité du Cabinet Noir. Le sujet prête à l'anecdote, parfois même à l'anecdote scandaleuse, mais à y bien réfléchir, il est important : la violation systématique, à certaines époques, du secret des correspondances, a paralysé un mode d'expression de la pensée qui, sans cette quasi-censure, eût pu revêtir une importance capitale. M. Vaillé s'est contenté – et la tâche, en soi, était déjà plus que suffisante – d'écrire l'histoire « institutionnelle » du Cabinet Noir, d'analyser son fonctionnement, ses méthodes, et, pour autant qu'on puisse employer le mot, ses « attributions ». Disons immédiatement que, conçu dans cet esprit, son livre apparaît comme une véritable réussite. Travaillant un sujet pour lequel la documentation est rare, où il faut se défendre contre beaucoup de légendes et d'on-dit, M. Vaillé a réussi à tracer un tableau d'ensemble extrêmement solide, auquel les recherches ultérieures n'apporteront sans doute que des retouches. Il ne saurait être question de résumer ici le contenu très riche de l'ouvrage. Indiquons-en seulement l'économie générale. Une première partie de l'exposé nous montre « comment on violait le secret des lettres avant que l'État ne devînt maître de la poste ». Le procédé par excellence, à cet égard – celui du moyen âge et du XVIe siècle – était l'interception des courriers. L'auteur nous en fournit un grand nombre d'exemples, choisis dans toute l'Europe. Avec l'avènement de la poste royale, les coups de mains contre les courriers ne disparaîtront pas, mais ils se feront plus rares. Le Cabinet Noir, désormais, joue le rôle essentiel. M. Vaillé en étudie la naissance dans la première moitié du XVIIe siècle, l'épanouissement au siècle suivant, il en suit enfin les vicissitudes à travers les différents régimes des temps contemporains. L'auteur n'envisage plus pratiquement que le cas français. Mais il l'envisage d'une manière approfondie, avec toutes les ressources d'une érudition qui commande le respect. L'étude de M. Vaillé mérite des éloges que nous ne lui ménageons pas..." (J. Stengers, Revue belge de philologie et d'histoire, 1952) — "Le Cabinet Noir... Qu'on ne se hâte pas, à la lecture de ce titre, de classer M. Vaillé au nombre des disciples de Lenôtre. Son objet n'est pas de nous offrir de nouvelles « révélations » sur tels secrets d'État, ou d'alcôve, mais bien de combler dans la mesure du possible une lacune ancienne de notre bibliographie historique, de dire ce qu'on peut savoir sur un service ou des pratiques qui ont fait souvent l'objet de suggestives allusions, mais jamais encore d'une enquête méthodique et d'ensemble. Ce livre est rempli d'un bout à l'autre de petits faits vivants. Mais ces faits ne sont pas là seulement pour le plaisir : ce sont autant de témoignages, ceux-là même que requérait la matière. Matière bien spéciale, en effet : pas d'archives propres du Cabinet noir, bien entendu : aucun édit, aucunes lettres patentes, aucun arrêt de parlement ou du conseil ne le mentionnent et les traces écrites qu'il a laissées de lui-même sont infimes. Il fallait donc recourir à certains dossiers de procès, aux correspondances, surtout privées, aux mémoires, compléter et recouper les unes par les autres des indications sporadiques. (...) On appréciera ce qu'il écrit sur le cabinet de Napoléon, régi par Lavalette, bon pourvoyeur de renseignements militaires et diplomatiques. Exposé intéressant sur la technique des interceptions, sur les liaisons de service des Postes et de la Police, sur la surveillance exercée non seulement sur la correspondance de Pie VII et des cardinaux rebelles, mais sur celle même de la famille impériale – Lucien, Pauline, les rois satellites – et naturellement sur beaucoup d'autres, à commencer par celle de Mme de Staël... La surveillance des courriers de l'île d'Elbe par les agents de Beugnot, les scrupules de Carnot pendant les Cent-Jours, les curiosités très style Louis XV du roi Louis XVIII, les controverses sans conclusion de la Chambre des députés de la Restauration sur la légitimité du « secret », la disparition officielle du Cabinet noir sous la Monarchie de Juillet, dont la police et au moins deux ministères pratiquèrent cependant à toute occasion des inquisitions fructueuses, tout cela a inspiré d'utiles aperçus..." (Henri Drouot, Revue Historique, 1953) — Eugène Vaillé (1875-1959) fut le premier conservateur du Musée de la Poste de Paris entre 1946 et 1955. Entré dans l'administration des Postes, Télégraphes et Téléphones en 1899, docteur en droit en 1902, il fut bibliothécaire du ministère des PTT jusqu'en 1935. Au cours de cette période, il enrichit les collections postales, rassemblant archives et documentation à partir desquelles il a développé une connaissance longtemps restée unique sur les Postes depuis leurs origines. Ses plus célèbres publications, comme son “Histoire générale des Postes” en sept volumes (1947-1955), ses trois précis de la collection "Que Sais-Je", dont l'“Histoire du timbre-poste” (1947), ou enfin son impressionnant volume sur “Le Cabinet noir” (1950), furent saluées en leur temps, aussi bien par les historiens des Annales que par le grand public. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR30.00 (€30.00 )

‎SEGUIN (Alfred).‎

Reference : 1333201

‎Le Robinson noir.‎

‎P., Ducrocq, 1877, in-8, percaline violette, dos lisse entièrement orné d'un motif en long noir et or, premier plat décoré de volutes et de pointillés noir et or, nom d'auteur et titre dans un ovale sur fond violet, second plat estampé à froid, bords biseautés, tr. dorées (rel. de l'éd.), 336 pp. (GN24B) ‎


‎Édition originale ornée de 72 dessins in-texte et à pleine page, gravés sur bois par M. MÉAULLE d'après les compositions de MM. H. SCOTT, MEYER, FERDINANDUS, etc. Publié en feuilleton dans le Journal des Voyages n ° 70-94, 10 novembre 1878 au 27 avril 1879, avec de nouvelles illustrations de Castelli et Gerlier (voir Le Rocambole n° 6, pp. 20, 22, 24 et n8, p. 95), ce roman s'est fait remarquer pour la variante originale qu'il introduit dans le mythe de Robinson : "La mode de la littérature "noire" exigeait même un Robinson noir, et les aventures du petit Robinson nègre (racontées par A. Séguin) dans les forêts d'Afrique [sic] sont très attachantes", dit E. Lucas (La Littérature anti-esclavagiste au dix-neuvième siècle, 1930). "Cet ouvrage n'est pas une banale imitation de Daniel de Foë. L'aventure traditionnelle sert de cadre à une action vive, intéressante, à laquelle participent des personnages heureusement imaginés. Le point de départ est l'injustice, la cruauté d'un jeune créole envers son frère de lait. Cela seul présage des scènes aussi attendrissantes que dramatiques. Le Robinson Noir ne s'annonce pas uniquement comme une lecture attachante. L'auteur sait avec quelle ardeur le goût actuel se prononce pour les livres utiles. Des notions géographiques, botaniques, zoologiques prennent autant de place que les occasions le permettent ; aussi, ne manquera-t-on pas d'assimiler son ouvrage aux publications qui obtiennent à peu près dans le même genre de si légitimes succès, depuis quelques années." (Revue du monde catholique, 1876). De son côté, la Revue britannique (1876) ajoute : "Nous nous figurions que tout avait été dit sur les Robinsons de tous les pays et de tous les âges, nous nous trompions ; M. A. Séguin vient de nous le prouver de la manière la plus heureuse avec son héros nègre, Le Robinson noir, que publie l'éditeur Ducrocq. Les aventures de cet enfant de l'Afrique ne sont pas moins attachantes que celles de son prototype blanc Robinson Crusoé. Soixante-douze belles compositions, gravées par Méaulle, illustrent ce beau volume, qui a sa place marquée au premier rang des livres de la saison à l'usage de la jeunesse, et dont profite aussi l'âge mûr." L'ouvrage a paru assez original pour être aussi tôt traduit dans de nombreuses langues, italien, danois, suédois, allemand. L'édition anglaise (The Black Crusoe, 1879) a même été rééditée en fac-similé aux États-Unis en 1972, dans une collection patrimoniale de textes sur la négritude (The Black Heritage Library Collection). Publisher's Weekly en propose le résumé suivant : "Au cours de leur lutte pour leur survie sur une île du Pacifique où ils ont fait naufrage, un Noir ayant fui le Pérou opère une transformation positive du caractère cruel de son ancien maître." A. Buisine, "A propos de la robinsonnade vernienne", Jules Verne 2 : L'Écriture vernienne (Revue des lettres modernes, 1978, bibliographie des robinsonnades, p. 135). Xavier Ricou, Trésors de l'iconographie du Sénégal colonial (2007). Rousseurs, cernes d'humidité, dos passé et plats défraîchis. ‎

Librairie HURET - Paris
Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 33 01 40 50 15 40

EUR100.00 (€100.00 )

‎BRUANT (Aristide)‎

Reference : 18079

(1924)

‎Cabaret Chat noir‎

‎ Paris, Agence générale de copies H. Compère, s.d. [1924] 1 vol. (225 x 275 mm) de [25] ff., entièrement manuscrit, avec rajouts des feuillets manuscrits ou ronéotypés et partitions, certaines annotées, couverture canson glacé avec tampon de l'agence Compère, répété au titre. Conducteur original du spectacle « Cabaret Chat Noir » d'Aristide Bruant. Son exemplaire personnel, portant son ex-libris et copieusement annoté et corrigé par Bruant. On trouve également, sur cinq petits feuillets (110 x 135 mm) tenant dans la poche, un conducteur miniaturisé de quelques répliques et agencement de scène.‎


‎Le manuscrit de départ est l'oeuvre de la fameuse Agence Générale de Copies Dramatiques et Littéraires H. COMPERE, qui rédigeait, pour les acteurs du spectacle, plusieurs copies des scripts. Celui-ci correspond à la dernière apparition sur scène de Bruant, lors de la reprise du Cabaret Chat noir : une ultime tournée pour une série de concerts au théâtre de l'Empire, du 21 novembre au 4 décembre 1924. Sa santé se détériore rapidement ensuite et il décède deux mois plus tard, le 10 février 1925, à Paris d'une angine de poitrine, sans avoir le temps de regagner Courtenay, dans le Loiret. Il a 74 ans. C'est au 84 boulevard de Rochechouart que l'histoire, plus de quarante ans plus tôt, avait commencé. En 1881 Rodolphe Salis ouvrit un cabaret dans le local désafffecté d'un ancien bureau de poste. C'est à lui que revient de l'avoir baptisé Le Chat Noir : un chat efflanqué qu'il adopta et qui lui porta bonheur quand il eut l'inspiration d'engager Aristide Bruant. En 1885, le cabaret est transféré 12 rue de Laval (aujourd'hui Victor Massé) et Bruant, qui l'a racheté, le baptise : Le Mirliton. C'est le début de la réussite pour celui qui cherchait « fortune à Montmartre le soir » : les huit années pendant lesquelles Bruant anime le Mirliton sont fécondes et elles assurent le renom du poète insolent, dans un décor tout à la gloire du célèbre félin. Outre la Vierge au chat de Willette, on pouvait admirer une ahurissante cheminée de Grasset, dont les colonnes byzantines supportaient deux chats, flanqués de la devise « Montjoye Montmartre » : il s'agissait de moquer le public bourgeois, effaré par l'esprit montmartrois. Dans les différentes salles, Salis fit réaliser des décors pseudo-historiques, sous l'égide d'illustrateurs tels que Henri Rivière et Caran d'Ache. Une partie du succès de Bruant est due également à Lautrec, qui dessine pour lui plusieurs affiches qui l'immortalisent dans sa tenue de scène du Mirliton, pantalon et veste de garde-chasse, cape noire, large chapeau de feutre, écharpe rouge. Devenu riche, Bruant peut acheter en 1900 une ferme et des terres pour vivre en gentleman chasseur, à Courtenay. Le Cabaret Bruant lui survit, qu'il a laissé en gérance, en gardant 50% des bénéfices ! Le décor, les chansons et les costumes sont immuables, tout comme la fameuse Complainte du Chat noir (ouverture de la pièce) : « Je cherche fortune Au-autour du Chat Noir Au-au clair de la lune A Montma-a-rtre ! Je cherche fortune Au-autour du Chat Noir Au-au clair de la lune À Montmartre le soir ! »Bruant y jouait Gueule d'empeigne, un personnage repris en 1912, par Jean-Charles Barrez pour le journal Comoedia, pour promouvoir les revues du Ba-ta-clan, un nouveau cabaret. Il acceptera, en 1924, de sortir de sa retraite pour remonter sur scène et donner une reprise du Cabaret Bruant, à l'identique. C'est pour cette dernière de représentations que ce conducteur a été réalisé. L'exemplaire personnel d'Aristide Bruant, portant son ex-libris, copieusement annoté et corrigé par lui. On trouve également, sur cinq petits feuillets (110 x 135 mm) tenant dans la poche, un conducteur miniaturisé de quelques répliques et agencement de scène. ‎

Librairie Walden - Orléans
Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 09 54 22 34 75

EUR1,200.00 (€1,200.00 )

‎[REVUE]. FRONT NOIR.‎

Reference : 9973

‎FRONT NOIR. N° 7-8. (Février 1965).‎

‎N° 7-8. (Février 1965). Georges Grumann, Monique Janover, Louis Janover, Gaëtan Langlais, Serge Rundt, Karl Kraus, Paul Mattick, Anton Pannekoek Illustrations de G. M. Langlais et Le Maréchal. Très bon état.‎


‎FRONT NOIR. Paris. Directeur : Louis Janover. In-4° agrafé. 9 numéros (dont 2 doubles, les n° 4-5 et 7-8) ont paru en 7 livraisons (+ un n° spécial en novembre 1967). " Front Noir " fut fondé par Louis Janover après son départ du mouvement surréaliste et la dissolution du groupe Spartacus. Par sa volonté d'associer théorie politique et avant-garde artistique, " Front Noir " implique une comparaison avec l'I.S. (dont Louis Janover fut un adversaire déclaré). La collection complète de " Front Noir " a été rééditée en un volume aux éditions Non Lieu (2019).‎

Phone number : 06.10.17.78.84

EUR50.00 (€50.00 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !