(Montréal), Presses de l'A.G.É.U.M., (1965). Cahier no 12. 19 cm 91,(8)p. Broché. Édition originale tirée à 500 exemplaires. Très bel état. [ M. Beaulieu, « Ballades...et satires ». N. Brossard, « Aube à la saison ». M. De Jordy, « Anneaux et fêtes ».] DOLQ IV, p. 889.
Reference : 660
Librairie Le Chercheur de Trésors (LILA/ILAB)
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Edition en partie originale des «Trois siècles de la littérature française» de l’Abbé Sabatier de Castres. La Haye et Paris, chez Moutard, 1779. 4 volumes au format in-12 de: I/ cvii pp. (pt. trou p. xxi), 387 pp.; II/ (1) f., 488 pp.; III/ (1) f., 454 pp.; IV/ (1) f., 443 pp., pte. déchirure ds. la marge blanche de la dernière p. Reliures en plein veau moucheté frappées sur les plats des armes de la reine Marie-Antoinette sous couronne royale dans un triple encadrement au petit fer or, dos lisse ornés de rinceaux et de glands, pièces de titre en maroquin vert, titres en lettres d’or, portent le cachet or «C.T.» (Château de Trianon) sous couronne royale pour le Petit Trianon, toutes tranches mouchetées. Reliures royales de l’époque. 167 x 99 mm.
Edition en partie originale des «Trois siècles de la littérature française» de l’Abbé Sabatier de Castres. Sabatier a souvent attaqué durement Voltaire dans Les Trois siècles. Voltaire, bien entendu, a vivement réagi. Il l'appelait l'abbé Sabotier (M, t. X, p. 197 ; t. XXIX, p. 39). Dans sa correspondance, il n'a pas de mots assez durs contre « le plus vil des scélérats » (D19090). Dans l’Épître dédicatoire aux Lois de Minos, Sabatier est considéré comme « l'écrivain le plus misérable et le plus bas » qu'on puisse imaginer (M, t. VII, p. 172). Sabatier n'était pas seulement opposé à Voltaire, mais à tout le mouvement des Lumières. Il s'agit d'une « Philosophie tyrannique et inconséquente [...] [qui] suffoque ou corrompt le germe du talent » (T.S., t. I, p. 1-2). Bref, la littérature nouvelle se caractérise par « un ton imposant, un style dogmatique, un jargon maniéré, des phrases sentencieuses, des sentiments enthousiastes, la répétition de ces mots parasites humanité, vertu, raison, tolérance, bonheur, esprit philosophique, amour du genre humain et mille autres termes qui sont devenus la sauvegarde des inepties » (Corr. litt., p. 241). Dans Les Trois siècles, Condorcet, Diderot, Duclos, Marmontel sont traités sans ménagement ; seuls Condillac et Rousseau trouvent grâce aux yeux de Sabatier, Rousseau surtout : « on ne peut lui disputer la gloire de l'éloquence et du génie et d'être l'écrivain le plus mâle, le plus profond, le plus sublime de ce siècle » (t. IV, p. 139). Les Trois siècles de la littérature française le rendirent célèbre, mais lui firent beaucoup d'ennemis. On contesta à Sabatier la paternité des Trois siècles. L'abbé Martin, vicaire de la paroisse Saint-André-des-Arts, chez qui Sabatier « allait tous les matins se styler et s'instruire » (M.S., 7 août 1774, t. VII, p. 225), était présenté par J. Lenoir-Duparc dans ses Observations sur les Trois siècles de la littérature française (1774) comme le véritable auteur. L'abbé Beaudoin, grand maître du collège du cardinal Lemoine, soutenait cette interprétation. L'affaire traîna en longueur et commença à se plaider au Châtelet en mai 1780, alors même que l'abbé Martin était mort entre temps. Finalement, une sentence du 4 juillet 1780 trancha l'affaire : Sabatier devra reconnaître par écrit que l'abbé Beaudoin est « un homme de probité et d'honneur » ; chaque partie devra renoncer à ses prétentions quant aux dommages et intérêts ; enfin, les frais de la sentence incomberont à Sabatier. Palissot se plaint, dans les Mémoires sur la littérature, d'avoir été plagié par Sabatier. Les Mémoires, dit-il, ont été « presque toujours pillés et déshonorés dans ce qu'il [Sabatier] a dit d'un peu raisonnable » (Palissot, t. V, p. 309). Sabatier s'en défend dans ses Articles inédits de la 7ème édition des Trois siècles, (p. 14-16). D'après les M.S., c'est grâce à la « réputation » que lui ont faite ses Trois siècles dans « le parti adverse » que Sabatier dut en janvier 1776 sa nomination de précepteur des enfants de Vergennes, ministre des Affaires étrangères. Précieux et fort bel exemplaire relié spécialement pour la bibliothèque personnelle de la Reine Marie-Antoinette au Château de Trianon. Marie-Antoinette encouragea les arts, en soutenant Gluck contre la cabale et la routine, les lettres, en protégeant Chamfort et Delille, et elle se montra, dans la longue agonie des mauvais jours, la digne fille de la grande Marie-Thérèse. Sa bibliothèque était une des plus considérables du temps, et si les pièces de théâtre, les romans, et parmi ceux-là, les petits livres à la mode, dont l’esprit de parti a cherché, de nos jours, à faire une sorte de scandale, bien qu’ils fussent alors entre les mains des femmes les plus honnêtes et les plus vertueuses, y figurent en grand nombre, il serait injuste d'oublier que les chefs-d’œuvre de l'esprit humain y tiennent la première place avec Pascal, Bossuet, Fénelon, Bourdaloue, Massillon, Boileau, Jean-Baptiste Rousseau, Corneille, Molière, Racine, Regnard, Voltaire, et tant d'autres, dont on retrouvera les noms en parcourant le catalogue. Les volumes qui garnissaient les armoires du petit Trianon sont restés, en grande partie, à Versailles ; quelques-uns sont venus grossir le riche contingent de la Bibliothèque Nationale, d'autres ont été transportés, lors de la création des écoles centrales de département, c'est-à-dire en 1795, à Périgueux et à Bourges, et versés plus tard dans les bibliothèques publiques. Ils sont modestement reliés en veau porphyre, granité de points noirs sur un fond rouge sombre qui passe, quelquefois, au violet foncé. Les plats, entourés d'un triple filet, portent au centre les armes de la reine ; sur le dos, se trouvent quelques fleurons, et, au bas, les initiales couronnées C.T. (Château de Trianon) sont poussées en or. Les tranches, de couleur blonde ou fauve pâle, sont pointillées de rouge. On rencontre également un grand nombre de volumes en demi- reliure, avec le dos et les coins en veau, fauve et les armes sur le papier. M. le baron Pichon nous a révélé les noms des ouvriers qui furent chargés de ce travail. Les reliures en veau sortaient des ateliers du marchand-papetier relieur, Fournier. Cet exemplaire figure sous le n° 554 du catalogue de la bibliothèque de la Reine Marie-Antoinette au Petit Trianon (P. Lacroix, 1863).
Paris : exemplaire imprimé sur papier rouge, inconnu des bibliographes.Rome : exemplaire sur papier de Chine couleur jonquille, inconnu des bibliographes.Lourdes : exemplaire sur papier bleu, d’un tirage de cinq.Paris, 1894-1898. Paris, Bibliothèque-Charpentier, 1894-1898.-Lourdes.Paris, Bibliothèque-Charpentier, 1894.In-12 de (2) ff., 598 pp., (1) f.-Rome.Paris, Bibliothèque-Charpentier, 1896.In-12 de (2) ff., 751 pp., (1) p.-Paris.Paris, Bibliothèque-Charpentier, 1898.In-12 de (2) ff., 608 pp. Pt. papier collé en marge des pp. 147 à 157. Ensemble trois volumes in-8, maroquin lavallière, jeu de filets dorés et listel rouge, citron ou bleu en encadrement, dos ornés de même, doublure de maroquin rouge, citron ou bleu, sertie d’un filet doré, gardes de faille, tranches dorées sur témoins, couvertures jaunes imprimées et dos conservés. Piqûres à la couverture de Rome. Etuis. Semet & Plumelle.191 x 122 mm.
Exceptionnelle réunion de ces trois titres en éditions originales et en tirage de tête sur papiers de couleurs, tirage non répertorié par les bibliographes.Carteret, II, 492-493 ; Rahir, La Bibliothèque de l’amateur, 686 ; Dictionnaire des Œuvres, VI, 550.Lourdes est l’un des 5 exemplaires imprimés sur papier bleu.Le tirage fut limité à 393 exemplaires : 348 sur papier de Hollande, 40 sur japon et 5 sur papier bleu.Rome : exemplaire imprimé sur papier de chine couleur jonquille, inconnu des bibliographes.Le tirage répertorié par les bibliographes fut limité à 330 exemplaires, dont 300 sur papier de Hollande et 30 sur japon. Aucun bibliographe ne mentionne cet exemplaire sur papier de chine couleur jonquille.Paris : exemplaire imprimé sur papier rouge, inconnu des bibliographes.Le tirage répertorié par les bibliographes fut limité à 330 exemplaires, dont 300 sur Hollande et 30 sur japon. Aucun bibliographe n’a connaissance de cet exemplaire sur papier rouge.« Les Trois Villes » sont la trilogie d’Emile Zola (1840-1902) comprenant « Lourdes » (1894), « Rome » (1896), « Paris » (1898). Les Rougon-Macquart ne sont pas achevés que le romancier, qui a effectué un bref séjour à Lourdes en septembre 1891, a l’idée de se battre sur le terrain de ses détracteurs : le renouveau de la foi. Il veut « établir le bilan religieux, philosophique et social du siècle ». La crise que traverse l’abbé Pierre Froment sert de fil conducteur aux trois œuvres.Pierre est devenu prêtre pour obéir à la volonté de sa mère à la suite de la mort de son père, chimiste célèbre, au cours d’une expérience de laboratoire. Mais il se met à douter. Il part donc à Lourdes avec le pèlerinage annuel, pour retrouver la foi. Il accompagne la jeune Marie de Guersaint, qu’il a aimée des années plus tôt, mais qui a été condamnée à l’immobilité par un mal mystérieux. Marie est miraculeusement guérie. Son mal, en fait, était dû à l’hystérie. Pierre ne retrouve pas la foi. Il ne peut pas non plus retrouver Marie, qui a fait vœu de virginité si elle était guérie. Il doit donc rester prêtre, mais il imagine une religion nouvelle, plus proche des hommes, « faisant à la terre une part plus large, s’accommodant des vérités conquises ». Œuvre de pitié et d’émotion, divisée en cinq journées, les cinq journées que le pèlerinage national consacre à son voyage annuel. « Lourdes » peint les pèlerins, leur foi, le « besoin de surnaturel persistant chez l’homme » malgré les conquêtes de la science, la figure de Bernadette, mais aussi les escroqueries à la guérison, les marchands du temps. C’est l’œuvre d’un homme sincère, s’interrogeant à travers son personnage sur la crise que traverse son époque.Pierre a écrit un livre, La Rome nouvelle, où il défend cette religion dont il avait eu l’idée dans le train qui le ramenait de Lourdes à Paris, une religion qui retrouverait les vertus du christianisme primitif. Mais son œuvre est frappée d’interdiction par la Congrégation de l’Index. Il vient donc à Rome plaider sa cause devant le Saint-Père, mais il n’est jamais reçu, il se heurte à une Eglise rétrograde et peureuse, il se perd dans les labyrinthes de l’administration et de la hiérarchie.Revenu à Paris, il retrouve son frère aîné, Guillaume, qu’il avait perdu de vue. Grâce à son aide morale et matérielle, il abandonne l’habit sacerdotal, se marie, a des enfants, retrouve confiance en la vie et en l’avenir, croit en la possibilité d’une nouvelle société fondée sur les progrès de la science. En attendant cet avènement, « Paris » fait un bilan très noir, montre l’homme écrasé par les rouages d’une société énorme, impersonnelle, injuste, prête à exploser. Œuvre touffue, angoissée, c’est une protestation hardie « contre toutes les puissances de mensonge et de servitude » (Jaurès).Exceptionnel exemplaire réunissant ces trois romans en tirages de tête sur papiers de couleurs, conservés dans de luxueuses reliures uniformes de Semet et Plumelle chacune ornée d’un listel de maroquin assorti à la couleur du papier de l’exemplaire qu’elle renferme.
Rare réédition des trois principaux ouvrages théoriques d'architecture d'Abraham Bosse, entièrement dessinés et gravés en taille-douce par lui-même, et imprimés d'un seul côté. Paris, Pierre Aubouin, Pierre Emery et Charles Clousier, s.d. [1688]. In-folio de 1 titre, 1 frontispice, 44 planches. - [Suivi de] : Des Ordres de colones en l’Architecture… [Paris, 1688]. 1 frontispice, 1 planche sur double-page, (20) feuillets gravés. - [Et de] : Représentations Géométrales De plusieurs parties de Bastiments faites par les Reigles de l’Architecture antique Et de qui les mesures sont reduites en Piedz poulces & lignes, Afin de saccomoder a la manière de mesurer la plus en usage parmy le commun des Ouvriers. Paris, 1688. 1 frontispice et 22 feuillets gravés. Soit 3 ouvrages en 1 volume in-folio, veau moucheté, encadrement de filets à la Duseuil sur les plats, dos à nerfs orné de fleurons dorés, roulette dorée sur les coupes, tranches mouchetées rouges, qq. usures aux mors sans gravité. Reliure du XVIIIe siècle. 420 x 263 mm.
Rare réédition des trois principaux ouvrages théoriques d'architecture d'Abraham Bosse, entièrement dessinés et gravés en taille-douce par lui-même, et imprimés d'un seul côté. Brunet, I, 1127. La première édition de ces traités parut en 1664 pour les deux premiers et en 1659 pour le dernier. Le premier ouvrage comprend 45 planches, le second 21 planches et le dernier traité, 23 planches. « Le Traité des manieres de dessiner les ordres est le premier volet du diptyque sur les ordres publié par Abraham Bosse en 1664-65. À ce diptyque Bosse a intégré, comme il l’avait prévu à l’origine, ses Représentations géométrales, retirées avec la page de titre de 1659. L’ouvrage sur les ordres a été divisé artificiellement, de l’aveu de l’auteur, en deux recueils distincts pour « la commodité de beaucoup d’ouvriers ». Le Traité des manières de dessiner les ordres est constitué d’un texte liminaire gravé de deux pages, intitulé « Ordre et Methode des figures representées dedans ce volume », et de quarante planches en taille douce avec des illustrations pleine page. Bosse veut proposer aux praticiens « les plus belles proportions » à partir de la lecture des meilleurs auteurs qui ont écrit sur le sujet. Il y ajoute quelques pratiques des Anciens qui n’ont jamais été jusque-là mises en usage et des pratiques nouvelles (Dédicace). Le recueil est conçu en quatre parties : la première traite des entablements et des « menus » membres (piédestal, base, chapiteau et détail des entablements), la seconde des ornements (socles, appuis et balustres des escaliers). La troisième est consacrée à la représentation de l’architecture, projet et modello, selon les règles de la perspective. La dernière partie, technique, concerne la place des ombres sur les corps ou objets géométraux… Bosse cite les meilleurs auteurs, Palladio, Vignole et Scamozzi dont il livre une synthèse personnelle ; il nomme aussi son contemporain, Fréart de Chambray dont il connaît manifestement le Parallèle... Le mathématicien expose aussi dans le détail les différentes méthodes pour tracer une belle volute. Il propose un instrument de dessin, le compas cartésien, qui permet de réaliser la courbure des colonnes selon la conchoïde de Nicomède et renvoie aux travaux de François Blondel. Bosse est conscient d’innover en traitant de questions jamais ou rarement abordées avec autant de détails par ses prédécesseurs : les escaliers et les voûtes. Il se montre ainsi en phase avec son époque où grâce aux prouesses stéréotomiques se multiplient, à Paris notamment, de vertigineux escaliers suspendus. Mais il critique les erreurs d’escaliers aussi prestigieux que ceux du Luxembourg, du Palais Cardinal et d’autres grandes demeures parisiennes dont les mains courantes ne s’ajustent pas correctement aux retours… Comme Fréart de Chambray, il pense que l’imitation de l’Antiquité doit être mesurée et réfléchie, car toutes les réalisations des Anciens ne sont pas bonnes à imiter. Bosse a une réelle culture architecturale : il a lu le traité de Vitruve (pl. XI) et les théoriciens de la Renaissance (Lemerle 2011, p. 419)… Bosse ne prétend pas imposer une vision moderne et définitive des ordres, comme Perrault, mais il n’en est pas moins ambitieux. Son traité d’architecture en trois volets est le fruit d’une longue réflexion. De la maquette à la réalisation et à l’ornementation, il appréhende l’architecture dans sa globalité. L’ouvrage est à ce titre une somme qui intègre toutes les avancées théoriques et techniques, et notamment la science de la perspective. Attractif dans sa présentation par ses gravures en taille-douce, art dans lequel il est passé maître, il se situe dans la lignée de la Regola de Vignole où l’image prime sur le texte. Destiné aux praticiens ennuyés par les longs discours le livre d’architecture de Bosse est didactique. Le pédagogue va à l’essentiel, construisant son discours du simple au plus complexe en fournissant d’emblée au lecteur les données essentielles, les illustrations se suffisant à elles-mêmes. Le livre d’architecture de Bosse en trois volets dont le Traité des manières de dessiner les ordres constitue la plus importante partie est une étape importante, quoique méconnue, pour la théorie architecturale au milieu du XVIIe siècle. Contemporain de Fréart de Chambray dont il partage les convictions et sur l’œuvre duquel il s’appuie, l’auteur anticipe les publications des frères ennemis François Blondel, avec lequel il fut en relation, et le puissant Claude Perrault. Au terme de sa carrière Bosse a atteint son but : il est parvenu à élever l’art de la gravure au niveau de la peinture, mais par le biais de la perspective il s’est initié à l’architecture représentée comme la « Reine des Arts » dans le frontispice de son recueil sur les ordres de colonnes. La fortune éditoriale de l’ouvrage atteste sa réussite. Il connut encore deux autres tirages posthumes, en 1684, 1688 puis un dernier au début du XVIIIe siècle ». (Frédérique Lemerle (Cnrs, Cesr, Tours) - 2014). Précieux exemplaire très grand de marges conservé dans sa reliure du XVIIIe siècle.
Paris, J. Hetzel / Bibliothèque d'Education et de Récréation/ Imp. Gauthier-Villars, sd (ca 1890), 180x280mm, demi-basane rouge, dos à 4 nerfs, titre à l'or, plats papier marbré, 267p., 211p., 202p. Reliures présentant des frottements sur les plats. Rousseurs éparses. Bon et solide exemplaire. "Cinq semaines en ballon" est le premier roman de J. Verne édité par Hetzel en 1863. Ce titre ne sera illustré qu'à partir de 1892 par Riou et Montaut. Photos sur notre site librairiechaboud.be
Montpellier, Fata Morgana, 1978. In-8 de 53-[11] pages en feuilles, couverture rempliée, étui.
Orné de trois gravures à la manière noire de Pierre Albuisson, toutes signées à la mine de plomb par l'artiste. Édition originale, tirée à 1000 exemplaires, celui-ci un des 35 sur Rives comportant trois gravures originales signées (28).