Grenoble, ARTHAUD, 1979; in-8, 268 pp., br. Broché très bon état - du Groenland au détroit de Béring.
Reference : 202403233
Broché très bon état - du Groenland au détroit de Béring.
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Paris, Ballard fils, 1749. 2 volumes in-12 de (2) ff., lvj-182 pp. (mal chiffré, la pagination saute de xl à xlv), (2) ff. — (2) ff., 319 pp. (mal chiffré, la pagination saute de 312 à 315) ; veau havane marbré, dos lisses ornés, pièces de titre et de tomaison de maroquin brun, coupes ornées, tranches rouges (reliure de l'époque).
Première édition française, traduite de l'anglais par Godefroy Sellius. Elle est illustrée d'une carte gravée dépliante, et de 10 planches dépliantes gravées par Jean-Jacques Flipart (histoire naturelle, paysages). Dès la découverte de l’Amérique, les explorateurs cherchèrent un passage maritime reliant l’Atlantique au Pacifique par le nord du Canada, nommé passage du Nord-Ouest, pour éviter ainsi le long voyage par le Cap Horn. En 1745, le Parlement anglais décida de l’attribution de 20.000 livres de récompense à qui découvrirait ce passage. Une compagnie d’armateurs anglais confia à Ellis la tâche de le représenter à bord de l’expédition et de recueillir les documents relatifs à l’histoire naturelle, la géographie et l’hydrographie. Après avoir découvert de larges ouvertures dans la côte à l'ouest de l'île de Marbre, relevé les îles de la Résolution, découvert le cap Fry, le passage ne fut pas trouvé et l'expédition reprit la route de l'Angleterre après 17 mois d’exploration. Le récit d’Ellis contient de nombreuses observations sur les conditions de leur hivernage, ainsi que sur le froid et ses effets. Malgrès son échec, Ellis cherchera, en vain, à monter une autre expédition, et plaidera toute sa vie pour l'existence d'un tel passage. Bon exemplaire. petite mouillure claire marginale au premier et dernier feuillet du tome 2. Boucher de La Richarderie, V, 461. — Chadenat, 568. — Leclerc, I, 505. — Sabin, 22313 (ces deux derniers n'indiquent que 7 planches en sus de la carte).
Paris Ballard fils 1749 2 volumes in-12 de (2) ff., lvj-182 pp. (mal chiffré, la pagination saute de xl à xlv), (2) ff. — (2) ff., 319 pp. (mal chiffré, la pagination saute de 312 à 315) ; veau havane marbré, dos lisses ornés, pièces de titre et de tomaison de maroquin brun, coupes ornées, tranches rouges (reliure de l'époque).
Première édition française, traduite de l'anglais par Godefroy Sellius. Elle est illustrée d'une carte gravée dépliante, et de 10 planches dépliantes gravées par Jean-Jacques Flipart (histoire naturelle, paysages). Dès la découverte de l’Amérique, les explorateurs cherchèrent un passage maritime reliant l’Atlantique au Pacifique par le nord du Canada, nommé passage du Nord-Ouest, pour éviter ainsi le long voyage par le Cap Horn. En 1745, le Parlement anglais décida de l’attribution de 20.000 livres de récompense à qui découvrirait ce passage. Une compagnie d’armateurs anglais confia à Ellis la tâche de le représenter à bord de l’expédition et de recueillir les documents relatifs à l’histoire naturelle, la géographie et l’hydrographie. Après avoir découvert de larges ouvertures dans la côte à l'ouest de l'île de Marbre, relevé les îles de la Résolution, découvert le cap Fry, le passage ne fut pas trouvé et l'expédition reprit la route de l'Angleterre après 17 mois d’exploration. Le récit d’Ellis contient de nombreuses observations sur les conditions de leur hivernage, ainsi que sur le froid et ses effets. Malgrès son échec, Ellis cherchera, en vain, à monter une autre expédition, et plaidera toute sa vie pour l'existence d'un tel passage. Bon exemplaire. petite mouillure claire marginale au premier et dernier feuillet du tome 2. Boucher de La Richarderie, V, 461. — Chadenat, 568. — Leclerc, I, 505. — Sabin, 22313 (ces deux derniers n'indiquent que 7 planches en sus de la carte).
Paris, Ballard fils, 1749. 2 volumes in-12 de [4]-LVI-182-[4]p. ; [4]-319-[1]p., plein veau marbré de l'époque, dos à nerfs richement ornés, pièces de titre et tomaison rouge et marron, triple filet doré encadrant les plats, simple sur les coupes, tranches dorées. Très bel exemplaire.
Illustré d'une belle carte "nouvelle et très exacte de la Baie d'Hudson" dépliante, et de 10 gravures dépliantes. Première édition française. Un des mérites de cet ouvrage est de mettre fin à l'idée que le passage du nord-ouest passait par la baie d'Hudson. Les moeurs des Esquimaux sont le sujet de plusieurs observations (esquimaux qui étaient relativement peu connus à cette époque-là). Bel exemplaire. Brunet, VI, 20958 ; Chadenat, I, 568 ; Sabin 22313.
Paris, Antoine Boudet, 1749, in-12, 2 vol. : front. dépl, [4]-LVI-182 pp, 3 pl. dépl. + [4]-319-[4] pp, 7 pl. dépl, Basane marbrée de l'époque, dos lisses et fleuronnés, pièces de titre et de tomaison grenat, tranches marbrées bleues, Première édition française de l'ouvrage paru l'année précédente à Londres (A Voyage to Hudson's-Bay, by the Dobbs Galley and California... Londres, H. Whitridge, 1748). La traduction est de Gottfried Sellius. Le tome I ouvre sur le frontispice gravé par Lattré, offrant une "nouvelle carte des parties où l'on a cherché le passage de Nord-Ouest" et sur laquelle est figuré le tracé de la route de l'expédition d'Ellis. L'illustration comporte en outre dix planches dépliantes sur cuivre, représentant des vues, des animaux, des habitants avec leurs accessoires de chasse et leurs canots. Cette expédition, à bord de laquelle Henry Ellis (1721-1806) occupait les fonctions d'hydrographe, géomètre et minéralogiste, mit fin à l'hypothèse d'un passage du Nord-Ouest par la baie d'Hudson. L'auteur deviendra gouverneur de la colonie de Géorgie de 1757 à 1760. Carte rognée un peu court. Coiffes arasées, coins usés, petites rousseurs éparses. Couverture rigide
Bon 2 vol. : front. dépl.,
Arthaud, 1982, in/8 broché, 267 pages. 13 illustrations en couleurs 9 cartes.
"P.D.G. et aventurier des mers, Willy De Roos a mené une double carrière d'homme d'affaires et de navigateur. Le besoin de créativité et d'indépendance, le goût du dépassement l'ont conduit très tôt à la pratique des sports mais aussi à celle des arts et l'on verra le rôle qu'a tenu la musique au cours de sa difficile traversée de l'Arctique. Il est venu tard à la mer, au seuil de la quarantaine, après s'être passionnément voué avec sa femme à l'éducation de ses quatre filles. Parti de Thuin en Belgique, à bord d'un ketch de 13 mètres en acier, le "Williwaw", au début de juin 1977, Willy de Roos franchit le cercle arctique le 16 de ce même mois, longe la côte ouest du Groenland, se faufile de chenal en chenal à travers le dédale des îles du nord canadien et passe le 18 septembre le détroit de Bering. Il réalisait ainsi un exploit jamais renouvelé depuis Amundsen : joindre l'Atlantique au Pacifique par le passage du Nord-Ouest. Parti en solitaire, il accepte au Groenland de s'adjoindre un équipier mais celui-ci le quittera à mi-parcours. Et c'est seul, au prix d'efforts inouïs, dormant à peine, surveillant constamment les masses formidables des glaces qui tantôt se disloquent, tantôt se ressoudent autour du petit navire, qu'il parviendra après trois mois dans les eaux libres du Pacifique. Le récit qu'il a rapporté de cette étonnante croisière témoigne non seulement des énormes difficultés surmontées, de l'extraordinaire spectacle de ces terres et de ces mers glaciales mais des qualités exceptionnelles du marin ou pour mieux dire de l'homme. Car tout se passe au cours des dernières semaines de cette navigation à la limite des possibilités humaines."