Paris, Anne Carriere, s.d.; in-8, br. Broché très bon état.
Reference : 201905482
Broché très bon état.
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Anne Carrière In-8°, broché, couverture souple glacée ill ( orgiaque), 365 pages pour ce très bel exemplaire.
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N°135 (Août 1958) (texte intégral des pièces)
bon état
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 25 décembre 1834 (Planche n°451) :Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image: Hauteur: 21cmx Largeur: 27cm- Titre en bas au centre : « Caligula fit son cheval président du Sénat. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°216. », en ht à dte : « Pl. 451. »- Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, Galerie Vero-Dodat » [éditeur], « Litho. Delaunais, r. du Bouloi, 19. » [imprimeur]
La passion de l'empereur Caligula pour son cheval Incitatus est rapporté par Suetone (Vie de Caligula, LV) : "La veille des jeux du cirque, il ordonnait à des soldats d'imposer silence à tout le voisinage pour que rien ne troublât le repos de son cheval Incitatus. Il lui fit faire une écurie de marbre, une crèche d'ivoire, des housses de pourpre et des licous garnis de pierres précieuses. Il lui donna un palais, des esclaves et un mobilier, afin que les personnes invitées en son nom fussent reçues plus magnifiquement. On dit même qu'il voulait le faire consul." Bien que l'explication s'en défende ("Nous ne croyons pas que l'auteur de cette planche ait voulu faire allusion à quelque moderne présidence"), l'allusion à Louis-Philippe dans le rôle de Caligula et au maréchal Mortier dans celui d'Incitatus ne fait aucun doute. Dans une écurie, où l'on distingue en arrière-fond d'autres chevaux à visage humain, Louis-Philippe, vêtu à l'antique, désigne d'un geste de la main Mortier en cheval, tenant entre les dents la bride royale, portant autour du cou la croix de la légion d'honneur, une couverture marquée "PRESIDENCE" sur le dos. Le passé de Mortier sous l'Empire est rappelé par le "N" napoléonien sur sa croupe. Entre les le roi-Claigula et son ministre chevalin, on aperçoit, débordant d'une mangeoire, une croix de la légion d'honneur, un portefeuille et une bourse pleine d'argent. La planche donne à voir la "bêtise" du nouveau président du conseil.
L'histoire. 1984. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 118 pages - nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Billet : renouveau de la nation ? par Marcel Gauchet - les flambées du nationalisme français, Michel Winock - Caligula, l'empereur fou, Jackie Pigeaud - les premiers inventeurs de l'automobile, Patrick Fridenson - les batailles navales de la guerre de cent ans, Christopher Allmand - l'honneur perdu de la noblesse, Arlette Jouanna - les villages perchés de Provence, Paul Faure - les francs maçons et la révolution, Ran Halévi. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Paris, Gallimard, (1961). Un vol. au format in-12 (188 x 123 mm) de 227 pp., broché.
''Avec Le Malentendu, Camus ne veut proposer rien de moins qu’une variante moderne de la tragédie. Il est vrai que cette pièce en trois actes applique la règle aristotélicienne des trois unités et réunit d’autres ingrédients de la tragédie classique. En revanche, ce qui fait sa modernité tient sans doute, notamment, au sentiment d’absurde qu’elle dégage. Elle s’ajoute en effet au Mythe de Sisyphe, à L’Étranger et à Caligula pour constituer l’ensemble des quatre ouvrages parus sous le signe de l’Absurde, de 1942 à 1944. L’auteur en esquisse une ébauche en 1939 pour en terminer la première version en 1943 ; c’est donc pendant la période sombre de la Seconde Guerre mondiale qu’il la compose.'' (in Société d'études camusiennes). Dos légèrement creusé. Du reste, très belle condition.