Paris, Paroles vives - albin michel, 1990; in-8, 160 pp., br. Très bon état - dédicacé de l'auteur.
Reference : 201903448
Très bon état - dédicacé de l'auteur.
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Paris, Charles de Sercy et Jean Guignard, 1661. In-12 de (12)-308-(4) pp., veau fauve, dos lisse orné de filets dorés en long de la coiffe au pied, pièce de titre en maroquin noir entouré de fleurons dorés, triple filet doré d'encadrement sur les plats, tranches jaspées (reliure du XVIIIe siècle).
Rare édition originale longtemps attribuée à Robert Arnauld d’Andilly « l’auteur du Jardinier royal paru en l’année 1661, recueil très rare, très estimé et duquel trois éditions furent publiées en dix-sept ans » selon André Leroy dans son Dictionnaire de pomologie publié en 1879 (p. 180).Ce remarquable traité d'arboriculture est l’oeuvre de l'abbé Gobelin connu pour ce seul titre publié anonymement par Charles de Sercy et Jean Guignard - éditeurs de quelques pièces de Molière - qui signent la dédicace à «Monseigneur le Procureur General, Ministre d'Estat, & Sur-Intendant des Finances" soit Nicolas Fouquet en 1661, l’année de son triomphe et de sa disgrâce après avoir reçu Louis XIV au Château de Vaux-le-Vicomte. Chapitres : Qu’il faut des murailles pour faire des Espalliers, la Manière de bien dresser les allées, le Temps de la retaille, Première taille des poiriers, Remèdes contre les limaçons, guêpes et fourmis, Temps et la manière de cueillir les fruits, Différence des Coigniers et Coignassiers, Du plan des arbres de haute tige etc.« Les données biographiques et chronologiques dont nous disposons, ainsi que les correspondances du temps décrivent en effet Arnauld d’Andilly comme l’un des précurseurs de la discipline horticole moderne, et à coup sûr son premier promoteur et diffuseur parmi les élites catholiques du premier XVIIe siècle. (…) le cas de La Manière de cultiver (d'Antoine Legendre attribué faussement à Arnauld d'Andilly ndlr) n’est pas le seul du genre, puisqu’un autre titre d’arboriculture a également été attribué à Arnauld d’Andilly au détriment de son auteur affiché, mais de manière encore plus tardive, soit au début du XIXe siècle. Il s’agit du fameux Jardinier royal paru pour la première fois en 1661, sous le nom de l’abbé Gobelin, souvent considéré comme un pseudonyme. L'abbé Gobelin, tout comme Legendre, a pourtant bel et bien existé. François Gobelin était un lointain descendant de la grande famille de teinturiers qui fondèrent les fameuses manufactures dites « des Gobelins » au faubourg Saint-Marcel. Contrairement à Antoine Legendre, l’abbé Gobelin n’avait aucune pratique ni accointante horticole connue en son temps. Il s’avère de plus que les extraits relatant le détail des ventes fruitières citées rendent l’attribution à Arnauld d’Andilly difficilement recevable. Cet exemple comparatif apporte des éléments supplémentaires concernant les problématiques d’attribution autour de la personnalit charismatique d’Arnauld d’Andilly. Il amène plus largement à d’autres considérations sur les pratiques collaboratives et d’écritures collectives dans le monde de l’édition horticole naissante en ce début du XVIIe siècle. Ces éléments confirment la possibilit d’une tradition dont Legendre et Gobelin auraient fait les frais. Tous deux ont en commun d’être les auteurs d’un seul livre (…) » (Rémi Mathis et Sylvain Hilaire).Charmant exemplaire dans une reliure dont le dos orné imite l'espalier des jardins. Un coin frotté, infime trou de ver sur le mors inférieur.Rémi Mathis et Sylvain Hilaire, Pourquoi La Manière de cultiver les arbres fruitiers n'est pas l'oeuvre d'Arnauld d'Andilly, Dix-septième siècle, vol. 263, no. 2, 2014, pp. 345-360 ; Sylvain Hilaire, Le Jardin de Port-Royal. Étude des jardins et des paysages culturels, Sources et bibliographie, pp. 693-742. Inconnu à Nissen et Pritzel.
1940 Paris, Librairie agricole de la Maison Rustique, sasnadte ( vres 1940); fort in-8°, demi-basane fauve marbrée, dos à nerfs, titre et auteur dorés; 1036pp. illustré de 480 figures dans le texte et 6 planches en couleurs hors texte. Fac-similé de s149 premières éditions du Bon Jardinier en frontispice. Ka fin de l' ouvrage est occupé par le texte de René Edouard-André sur "L'Art des Jardins" (pp. 998- 1026) et de la Mosaiculture et des Gazons par Mottet (pp. 1026-1033), avec quelques illustrations.
Les 2 derniers feuillets sont jaunis, la dernière page blanche est couvert de notes diverses, petit papier jaune collé sur le frontispice sans gêne; quelques rousseurs, reliure frottée aux coins et coupes. (GrMD)
1940 Paris, Librairie agricole de la Maison rustique, sans date (c. 1940); fort volume in-8°, demi-basane bleue, dos à nerfs muet, tête rouge ; 1036pp. (texte sur 2 colonnes). Très nombreuses figures dans le texte en noir et 6 planches hors texte en couleurs. En frontispice fac-similé de la couverture des 149 premières éditions du Bon Jardinier.
Reliure frottée sut les nerfs, dos muet, très rares rousseurs. (GrTab)
Paris, Dunod, 1943 ; in-12, broché. 203pp. Figures in-texte. couverture légèrement défraîchie avec un petit manque de papier à un angle.
Pièce in-4 de 20 pages, extraite d'un receuil de mémoires judiciaires. Vers 1800.
Pierre Côte part de Pontarlier en germinal de l'an II pour aller vendre des montres à Paris. A son retour, riche d'une belle somme, il se voit empêché de déposer son argent chez lui à cause des ébénements révolutionnaires. Il remet son argent à un parent contre une reconnaissance de dettes. Lorsqu'il veut récupérer son bien, ce dernier refuse de le lui donner et nie avoir reçu quoiuque ce soit.