‎[ROMAN] - DELACOURT (Gregoire ) - ‎
‎Mon père. ‎

‎Paris, Jc lattes, 2019; in-8, 219 pp., br. Avec jaquette.‎

Reference : 201903241


‎Avec jaquette.‎

€13.00 (€13.00 )
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‎PREYSSAC DE NOGARET‎

Reference : 64747

(1838)

‎Courrier privé adressé par M. Preyssac de Nogaret, Commissaire de Police de la ville d'Embrun, à M. Dubreuil à propos d'un De Nogaret surnommé Pantalion Armand, et daté du 24 juin 1838. Il ne le connaît pas et évoque ses propres origines dans la commune de Granges (Lot-et-Garonne). Mais sur le nom de Pantalion Armand, il peut préciser que "M. Dupleix, autrefois Gouverneur de St Domaingue avant le massacre des blancs & cousin à mon grand-père vint en France, n'ayant point d'enfant, emmena à son retour à St Domingue le frère cadet à mon père, se chargeant auprès de mon grand père de faire la fortune de son fils & de plus s'en occuper. Depuis cette époque, la famille n'en a jamais eu de nouvelles & nous avons tous pensé qu'il avait été du nombre des victimes qui succombèrent lors de la révolution des nègres, dans cette partie de l'amérique. Mon oncle pourrait avoir à présent e 85 à 90 ans & il pourrait être agé de 17 à 18 ans lorsque M. Dupleix l'emmena [... ]"‎

‎1 lettre affranchie de 2 ff., 24 juin 1838‎


‎1 lettre affranchie de 2 ff., 24 juin 1838 : Courrier privé adressé par M. Preyssac de Nogaret, Commissaire de Police de la ville d'Embrun, à M. Dubreuil à propos d'un De Nogaret surnommé Pantalion Armand, et daté du 24 juin 1838. Il ne le connaît pas et évoque ses propres origines dans la commune de Granges (Lot-et-Garonne). Mais sur le nom de Pantalion Armand, il peut préciser que "M. Dupleix, autrefois Gouverneur de St Domaingue avant le massacre des blancs & cousin à mon grand-père vint en France, n'ayant point d'enfant, emmena à son retour à St Domingue le frère cadet à mon père, se chargeant auprès de mon grand père de faire la fortune de son fils & de plus s'en occuper. Depuis cette époque, la famille n'en a jamais eu de nouvelles & nous avons tous pensé qu'il avait été du nombre des victimes qui succombèrent lors de la révolution des nègres, dans cette partie de l'amérique. Mon oncle pourrait avoir à présent e 85 à 90 ans & il pourrait être agé de 17 à 18 ans lorsque M. Dupleix l'emmena [... ]"‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR290.00 (€290.00 )

‎Collectif‎

Reference : 67430

(1872)

‎3 Albums photos anciens, provenance bordelaise, vers 1872-1920 : Album in-12 : daté de 1872 - Album in-8 daté 1890-1920 : grand-père John Williams ; père John Williams ; Sarah Rouquayrol née Williams ; son fils serge Rouqayrol ; Rachel Fournié [ née en 1878, épouse Charles Kronheimer ; Comte et Comtesse d'Alincourt ; Anna Smith ; Cousin Paul Rouquayrol ] ; Cousin Samy Smith ; Mme Chaulard ; Charles Villepastour ; M. Dillon, grand-ami de mon père, cliché H.N. Rudd, San José, Costa Rica ; 2 photos signées Par M. et Mme Marie Roux à leur excellent ami J. R. Williams ; Vue de Berne par P. Does ; M et Mme Couderc ; Mon oncle Damase Rouquayrol ; Mme Salland et ses deux enfants ; le professeur Hobbs ; nos cousins Rouquayrol au Brésil ; mon cousin Jules Blech ; sa femme Béatrice Blech - Album grand in-4 : daté de 1885 [ Avec 3 gravures de Jacques Callot, copies d'époques reprises de "Le combat à la barrière : entrée de Mgr. Henry de Lorraine" contrecollées en garde ]‎

‎3 Albums photos anciens, provenance bordelaise, vers 1872-1920 : Album in-12 (16 x 12 cm) plein cuir avec fermoirs (manquants) : daté de 1872, 19 ff. avec 32 photos format CDV - Album in-8 (24 x 18 cm) plein cuir à fermoir (frotté), daté 1890-1920, 24 ff. avec 67 photos format divers : grand-père John Williams ; père John Williams ; Sarah Rouquayrol née Williams ; son fils serge Rouqayrol ; Rachel Fournié née en 1878, épouse Charles Kronheimer ; Comte et Comtesse d'Alincourt ; Anna Smith ; Cousin Paul Rouquayrol ; Cousin Samy Smith ; Mme Chaulard ; M. Dillon, grand-ami de mon père, cliché H.N. Rudd, San José, Costa Rica ; 2 photos signées Par M. et Mme Marie Roux à leur excellent ami J. R. Williams ; Vue de Berne par P. Does ; M et Mme Couderc ; Mon oncle Damase Rouquayrol ; Mme Salland et ses deux enfants ; le professeur Hobbs ; nos cousins Rouquayrol au Brésil ; mon cousin Jules Blech ; sa femme Béatrice Blech - Album grand in-4 (37 x 29 cm) plein cuir richement estampé à froid (sans les fermoirs, reliure frottée), 15 ff. avec 70 photos formats divers : daté de 1885 [ Avec 3 gravures de Jacques Callot, copies d'époques reprises de "Le combat à la barrière : entrée de Mgr. Henry de Lorraine" contrecollées en garde ]‎


‎Cet ensemble d'albums photographiques, de provenance familiale bordelaise (probable famille de négociants), réunit des clichés d'origines diverses : Bordeaux, Allemagne, Brésil, Costa-Rica. Prix du lot, non séparable. On sait qu'un Charles Villepastour, pionnier de l'aviation, avait fondé un prix destiné au premier pilote bordelais atterrissant dans l'Indre, et il fut président d'honneur de l'aéro-club du sud-ouest.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR550.00 (€550.00 )

‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

Reference : 55717

(1978)

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎


‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR750.00 (€750.00 )

‎ASTAIX OGIER de Manzat, Joseph Emile‎

Reference : 67004

(1845)

‎[ Manuscrit : ] Essais Poétiques, offerts en hommage à Leurs Altesses Royales Messeigneurs les Ducs de Nemours et d'Aumale, dignes fils de Sa Majesté Louis-Philippe 1er, Roi des Français ; à l'occasion de leur honorable séjour à Bordeaux en 1845 : Par un humble citoyen de cette ville [ Contient notamment :] Joseph en Egypte, de Bitaubé, mis en vers presque littéralement, par Joseph Emile Astaix Ogier [ Suivi de : ] Poésies diverses. Fragment de l'Essai sur l'Homme de Pope [ Suivi de : ] Couplet sur ce dicton : Il faut prendre l'argent pour ce qu'il vaut et les hommes pour ce qu'ils sont [ ... ] Chanson sur le Choix d'une épouse [ ... ] La Liberté ou la parfaite indifférence. Traduction de Métastase [ ... ] Sonnet acrostiche sur le pont de Bordeaux [ ... ] Acrostiche à Melle Rachel Félix, Tragédienne distinguée, A la dernière représentation de son passage à Bordeaux en 1841 [ ... ] Acrostiche. Hommage de vénération sur la tombe de Monseigneur Daviau du Bois de Sanzay Archevêque de Bordeaux [ ... ] Envoi du 18 Janvier 1844 à mon frère aîné, Receveur principal à Lyon, père de Jules Astaix, ex-condisciple de son Alt. Royale Monsg. le duc de Nemours, au Collège Royal de Henry IV [ ... ] Couplet à M. Gabriel-Pierre Astaix, mon père, Ancien Maire et juge de paix à Manzat, et notaire à Clermont-Ferrand, le jour de sa fête [ ... ] Couplet sur le séjour à Bordeaux de LL. AA. RR. Messeigneurs les ducs de Nemours et d'Aumale, et de Madame la Duchesse de Nemours, en 1845‎

‎1 vol. in-4 reliure de l'époque demi-chagrin à coins noir, dos à 4 nerfs plats dorés, s.d., 1845, 3 ff., 460 pp. et 1 f. n. ch. Rappel du titre : [ Manuscrit : ] Essais Poétiques, offerts en hommage à Leurs Altesses Royales Messeigneurs les Ducs de Nemours et d'Aumale, dignes fils de Sa Majesté Louis-Philippe 1er, Roi des Français ; à l'occasion de leur honorable séjour à Bordeaux en 1845 : Par un humble citoyen de cette ville [ Contient notamment :] Joseph en Egypte, de Bitaubé, mis en vers presque littéralement, par Joseph Emile Astaix Ogier [ Suivi de : ] Poésies diverses. Fragment de l'Essai sur l'Homme de Pope [ Suivi de : ] Couplet sur ce dicton : Il faut prendre l'argent pour ce qu'il vaut et les hommes pour ce qu'ils sont [ ... ] Chanson sur le Choix d'une épouse [ ... ] La Liberté ou la parfaite indifférence. Traduction de Métastase [ ... ] Sonnet acrostiche sur le pont de Bordeaux [ ... ] Acrostiche à Melle Rachel Félix, Tragédienne distinguée, A la dernière représentation de son passage à Bordeaux en 1841 [ ... ] Acrostiche. Hommage de vénération sur la tombe de Monseigneur Daviau du Bois de Sanzay Archevêque de Bordeaux [ ... ] Envoi du 18 Janvier 1844 à mon frère aîné, Receveur principal à Lyon, père de Jules Astaix, ex-condisciple de son Alt. Royale Monsg. le duc de Nemours, au Collège Royal de Henry IV [ ... ] Couplet à M. Gabriel-Pierre Astaix, mon père, Ancien Maire et juge de paix à Manzat, et notaire à Clermont-Ferrand, le jour de sa fête [ ... ] Couplet sur le séjour à Bordeaux de LL. AA. RR. Messeigneurs les ducs de Nemours et d'Aumale, et de Madame la Duchesse de Nemours, en 1845‎


‎Né le 9 décembre 1791 à Manzat (Puy-de-Dôme), Joseph Astaix, auteur de cet impressionnant manuscrit, était caissier des échanges de la banque de Bordeaux, (succursale bordelaise de la Banque de France). Il obtint en 1850, par décret présidentiel, d'ajouter à son nom celui d'Ogier, et de se faire appeler Astaix-Ogier. On notera que dans son acrostiche consacré au Pont de Pierre, les initiales des vers forment les mots "Deschamps Fecit", en l'honneur de son ingénieur. Beau et curieux manuscrit bordelais en bon état (coins un peu frottés, ex-libris en garde). ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR650.00 (€650.00 )

‎LAIR, Angèle ; [ FAURE DECAMPS, Angèle fille du peintre Alexandre-Gabriel DECAMPS ; PHILIPON, Charles ]‎

Reference : 44485

(1880)

‎[ Archives familiales : Correspondance, photos, carnets de dessins et Bel album intime d'Angèle Lair-Decamps, fille du peintre Alexandre Decamps ] I : Bel album intime : copie de poésie ou de texte d'auteurs divers sur une trentaine de pages (circa 1880-1893), 35 dessins ou aquarelles contrecollés ou joints, dont : 5 esquisses de bonne facture, dont un singe et un bédouin, au crayon signées DC (attribuable à son père le peintre Alexandre Decamps ?) ; 8 belles miniatures au lavis, scènes romantiques tirées de Mme Collin d'Harleville (nom de Ch. Philipon indiqué deux fois sous deux des lavis) ; 4 belles aquarelles (scènes champêtres avec jeune fille dont une flûtiste et une joueuse de mandoline, dont une signée A DC) - II : 4 Carnets de dessins (encre et crayon, rares aquarelles) format in-12, reliure pleine toile, 1887-1888-1893 (Rouen, Avon, Fontainebleau, Mont Cenis, etc.) - III : 4 Photographies dont deux des époux Lair en leur propriété du château d'Epinay (indications manuscrites de la nièce d'Angèle Decamps, de Jeanne Dentu de La Batut, au verso) - IV : 4 L.A.S. (dont une C.P.) d'Angèle Lair-Decamps dont 3 à sa soeur Léonie (Veuve de l'éditeur Edouard Dentu) et une à sa nièce Jeanne Dentu, 1882-1914 [ dans la lettre à "Jane" elle évoque "la présence de notre cousine Gillois près de l'Impératrice Eugénie ; Madame Gillois était bien en Cour, je me suis trouvée avec mon père et ma mère au théâtre du château de Fontainebleau avec elle et sa soeur Mme Abeille" ... "Au sujet des objets que tu désirerais avoir dans l'antichambre, il y a peut-être le portrait de notre père fait par lui en caricature. Je ne sais pas si c'est une gravure ou un original". ] - V : 5 pièces manuscrites diverses, dont un billet manuscrit rédigé par son père ou sa mère (3 acrostiches formés avec les prénoms des 3 enfants : "Léonie est bonne fille, Empressée, assez gentille, On ne peut plaire avec cela, N'exigez rien au-delà, Il est certain qu'obligeance, En elle passe science" ou "Angèle ma cadette, à chacun pourrait plaire, N'était son affreux caractère, Gourmande, à 14 ans, qui ne le fut un peu, Et sans son peu de soin, la paresse et le jeu, L'étude, le travail, aidan un coeur plus ferme, En elle d'un talent ferait poindre le germe") et notes sur Angèle Lair de la main de sa nièce Jeanne Dentu‎

‎[ Correspondance, photos, carnets de dessins et Bel album intime d'Angèle Lair-Decamps, fille du peintre Alexandre Decamps ] I : Bel album intime format petit in-4 à l'italienne plein chagrin bordeaux à fermoirs, de la "Maison Giroux breveté de l'Empereur", toutes tranches dorées, copie de poésie ou de texte d'auteurs divers sur une trentaine de pages (circa 1880-1893), 35 dessins ou aquarelles contrecollés ou joints, dont : 5 esquisses de bonne facture, dont un singe et un bédouin, au crayon signées DC (attribuable à son père le peintre Alexandre Decamps ?) ; 8 belles miniatures au lavis, scènes romantiques tirées de Mme Collin d'Harleville (nom de Ch. Philipon indiqué deux fois sous deux des lavis) ; 4 belles aquarelles (scènes champêtres avec jeune fille dont une flûtiste et une joueuse de mandoline, dont une signée A DC) - II : 4 Carnets de dessins (encre et crayon, rares aquarelles) format in-12, reliure pleine toile, 1887-1888-1893 (Rouen, Avon, Fontainebleau, Mont Cenis, etc.) - III : 4 Photographies dont deux des époux Lair en leur propriété du château d'Epinay (indications manuscrites de la nièce d'Angèle Decamps, de Jeanne Dentu de La Batut, au verso) - IV : 4 L.A.S. (dont une C.P.) d'Angèle Lair-Decamps dont 3 à sa soeur Léonie (Veuve de l'éditeur Edouard Dentu) et une à sa nièce Jeanne Dentu, 1882-1914 [ dans la lettre à "Jane" elle évoque "la présence de notre cousine Gillois près de l'Impératrice Eugénie ; Madame Gillois était bien en Cour, je me suis trouvée avec mon père et ma mère au théâtre du château de Fontainebleau avec elle et sa soeur Mme Abeille" ... "Au sujet des objets que tu désirerais avoir dans l'antichambre, il y a peut-être le portrait de notre père fait par lui en caricature. Je ne sais pas si c'est une gravure ou un original". ] - V : 5 pièces manuscrites diverses, dont un billet manuscrit rédigé par son père ou sa mère (3 acrostiches formés avec les prénoms des 3 enfants : "Léonie est bonne fille, Empressée, assez gentille, On ne peut plaire avec cela, N'exigez rien au-delà, Il est certain qu'obligeance, En elle passe science" ou "Angèle ma cadette, à chacun pourrait plaire, N'était son affreux caractère, Gourmande, à 14 ans, qui ne le fut un peu, Et sans son peu de soin, la paresse et le jeu, L'étude, le travail, aidan un coeur plus ferme, En elle d'un talent ferait poindre le germe") et notes sur Angèle Lair de la main de sa nièce Jeanne Dentu‎


‎Important recueil de souvenirs d'Angèle Lair née Faure-Decamps, fille du célèbre peintre orientaliste Alexandre Decamps. L'album de dessin contient 5 notamment esquisses signées DC, 8 belles miniatures romantiques (lavis) et 4 belles aquarelles (l'album a été manipulé et plusieurs dessins décollés, accrocs à plusieurs feuillets).‎

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