Paris, Libretto, 2011; in-12, 122 pp., br. Broché comme neuf.
Reference : 201804974
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Paris, 9 juillet 1897, , 171 feuillets, soit : 1 titre-dédicace, 1 portrait photographique de l'auteur, 169 ff. des pages d'un livre contrecollées en vis-à-vis (VII-320-VIII pp.) et 82 photographies (soit 20 épreuves sur papier albuminé et 62 contretypes d'époque, Album in-4 oblong, maroquin rouge, dos à faux-nerfs et fileté, titre au dos et au premier plat à froid et en noir, riche dentelle intérieure dorée [Ch. Maillet], Exemplaire unique composé et mis en page par Gustave Macé (1835-1904), commissaire de police et ancien chef du service de la sûreté de la préfecture de police, offert à son éditeur Eugène Fasquelle. Cet album, agréablement relié par Charles Maillet, offre une plongée vertigineuse et fascinante dans les affaires criminelles de la seconde moitié du XIXe siècle, qui ont jalonné la carrière de l'auteur : "38 assassinats qui ont amené la découverte de 40 cadavres, soit 12 hommes et 28 femmes" (Préface). Macé souligne dans son texte la supériorité en nombre des cadavres de femmes, issues pour la plupart du milieu de la prostitution et dénonce les conditions de vie dangereuses de ces femmes. À quelques exceptions près, ce sont principalement des affaires qui ont eu lieu à partir de l'année 1871 dans le département de la Seine. L'ouvrage s'ouvre sur une page de titre imprimée avec une dédicace de l'auteur à son éditeur et les mentions imprimées : "Offert à mon aimable éditeur, M. E. Fasquelle" et "Exemplaire unique". Cette première page est revêtue de la signature autographe de l'auteur à l'encre violette. L'album se compose d'un livre, sous la forme d'une épreuve collée : les Crimes impunis, de la collection de "La police parisienne", publié en avril 1897 à Paris, par la Bibliothèque Charpentier - Eugène Fasquelle éditeur. Ce texte de 320 pages, comporte une seule illustration sous la forme d'un croquis (annoté à l'encre p. 311), il est précédé d'une préface de l'auteur (VII p.) et suivi d'un index (VIII p.). En conclusion de sa préface, Macé énonce : "Je m'estimerai heureux si les renseignements que contient ce livre peuvent faciliter l'arrestation des malfaiteurs que j'ai désignés et qui ne sont pas encore couverts par le délai de la prescription légales. Champigny (Seine), avril 1897." L'exemplaire, daté de juillet 1897, est enrichi d'une très vaste documentation iconographique : une galerie de portraits pour le moins morbide ponctuée de cadavres en décomposition. Ces portraits photographiques ont été pris par les services de la préfecture de police et proviennent des archives de Gustave Macé qui documente sont texte publié quelques mois auparavant (avril) ; il alterne ainsi des planches de photographies en regard de son texte et fait imprimer, au titre-dédicace, la mention : "Avec portraits". Ces portraits sont tous légendés à l'encre par l'auteur qui indique précisément les dates, les noms et sobriquets des protagonistes ainsi que les circonstances des crimes. Cette édifiante galerie comporte ainsi 82 portraits contrecollés sur papier fort, dont celui de l'auteur qui précède le texte, soit 38 planches, dont 3 à double pages, avec 1 à 5 épreuves par planche. Les formats et les procédés sont mixtes : nous comptons 20 épreuves originales sur papier albuminé dont certaines avec cachets à sec de la préfecture de Police, et 62 épreuves contretypes, d'époque, sur papier gélatino-bromure d'argent. Ces portraits présentent les victimes et leurs assassins présumés (condamnés ou non) ainsi que les représentants judiciaires de l'époque : préfets de police, commissaires, gardiens de la paix, chefs de la sûreté, etc. En 1890, Gustave Macé avait fait paraître, chez le même éditeur et dans la même collection, un ouvrage de 255 pages intitulé Mon musée criminel : celui-ci comportait alors 34 planches réunissant des épreuves photographiques reproduites par le "procédé Sylvestre & Cie" (procédé Couverture rigide
Bon 171 feuillets, soit : 1
2 placards format 25,5 x 21, De l'Imprimerie de Cherche, A Amiens, et format 26 x 20 cm, s.d. [ 1815 ]. Rappel du titre complet : [Lot de 2 placards : ] Déclaration de la Garde Nationale d'Amiens, affichée à Amiens, Beauvais et autres villes de Picardie "Buonaparte dit que les Bourbons amènent les étrangers en France. Eh ! s'il n'étoit venu venu souiller notre sol, nous serions en paix avec l'Europe. Sébastiani est venu pour nous faire prendre les armes. Nous jurons tous que, si ce vil satellite de Buonaparte vient dans nos murs avec l'intention et les pouvois proconsulaires [ ... ] il y trouvera le châtiment de ses crimes [... ] [On joint : ] Lettre des sous-officiers et soldats en congés limité et illimité de la ville d'Amiens, à son Excellence le Ministre de la Guerre. " Monseigneur, La fausse interprétation de nos sentimens dans l'appel que vous venez de nous faire, exige de nous une réponse qui confonde notre imposture. Quel délire a pu vos faire dire que nous avons désiré le retour de Napoléon, lorsque, rentrés dans nos foyers par la clémence d'un bon Roi, nous n'avions d'autre but que d'y rester ? Nous sommes tous au milieude ce que nous avons de plus cher ; nous ne nous en séparerons que pour frapper, terrasser les traîtres, qui ont osé favoriser le retour du tyran usurpateur. Malheur aux vils satellites, qui oseroient porter les mains sur nous ou sur nos parens, pour les priver de la liberté ! Nous ne voulons point obéir à l'appel qui nous est fait : nous ne reconnoissons que celui du Roi, en date du 9 mars dernier ; et c'est pour sa défense que nous prendrons les armes. Dans quel avilissement les autorités sont tombées ! Naguère les premiers magistrats de cette ville nous engagoient à repousser et à anéantir le Corse, qui vient encore désoler nos familles, et apporter parmi nous tous les fléaux [... ] Braves camarades, gardons-nous de méconnoitre notre Roi légitime ; rallions-nous, et ne souffrons pas que qui que ce soit porte une main téméraire sur un seul d'entre nous, pour nous forcer de servir une cause que nous abhorrons ! (Copié sur un exemplaire envoyé par un des officiers d'Amiens à sa famille, à Paris,...... dans une lettre par la Poste) "
Rare réunion de 2 placards royalistes publiés à Amiens pendant les Cent Jours, et s'opposant au retour de Napoléon revenu de l'île d'Elbe.
P., Pedone-Lauriel, 1885, un volume in 8 relié en demi-soie grise, couvertures conservées (reliure postérieure), 179pp.
---- EDITION ORIGINALE ---- BON EXEMPLAIRE ---- "Charles-Jean-Marie LUCAS, avocat, fut inspecteur général des prisons et membre de l'Académie des sciences morales et politique" (Coquelin & Guillaumin II) ---- Introduction sur le mouvement progressif de la codification pénale et son développement par l'alliance des deux réformes relatives à l'abolition de la peine de mort et à la théorie de l'emprisonnement préventif, répressif et pénitentiaire - De l'état anormal en France de la répression en matière de crimes capitaux et des moyens d'y remédier**33970/3397/Q1
Atelier Artisanal d'arts graphiques de Sarlat. 1966. In-8. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 134 pages. Sous emboîtage et emboîtage cartonnés, corrects. Jaquette correcte, à trois rabats. Signature au crayon à papier de Xavier St Justh en fin d'ouvrage. Exemplaire n°287/990, sur Vélin de Lana pur chiffon. Quelques rousseurs. Quelques litographies en couleurs, hors texte.. Avec Jaquette. Sous Emboitage. . Classification Dewey : 94.4-Editions numérotées
Litographies originales par Xavier Saint Justh. Exemplaire n°287/990, sur Vélin de Lana pur chiffon. Classification Dewey : 94.4-Editions numérotées
Presses de la renaissance 1968 in8. 1968. Reliure plein skivertex sous rhodoid. 446 pages. Bon Etat