Paris, Collection supersociété nouvelle des editions gp, 1958; in-8, 255 pp., cartonnage de l'éditeur.
Reference : 201709206
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Editions Presses de la Cité 1974. In-8 cartonnage éditeur plein basane rouge de 122 pages au format 13,5 x 20,5 cm. Couverture et dos rond avec titre et signature gravés et dorés. Tête dorée. Un des 50 exemplaires, hors commerce sur vélin pur fil Lafuma, noté H.C, du tirage de tête. Maquette réalisée par Georges Simenon lui-même avec portrait en pied de sa mère en frontispice. Rare édition originale en tirage de tête et en superbe état de fraicheur de ce texte émouvant, dicté en quelques jours, trois ans après le décès d'Henriette Brüll, la mère de l'auteur. Emouvant exemplaire accompagné d'une magnifique dédicace de Georges Simenon à sa secrétaire Joyce Aitken : A la fidèle Aitken qui régnera encore sur mes livres et sur les diables d'éditeurs longtemps après que cela ne m'atteindra plus, avec toute ma confiance et mon affection. Novembre 1974. Le livre est accompagnée d'une photo originale en retirage argentique de l'auteur avec sa mère, au format 17,5 x 12,5 cm.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Fontaine / Collection " L'âge d'or " n° 32 de 1946. In-12 broché de 36 pages au format 11,2 x 14 cm sous couverture de Mario Prassinos. Dos carré. Plats et intérieur frais, malgré de minuscules frottis aux mors et aux coins. Un des 25 exemplaires n° hors commerce, sur vélin vert, en sus des 25 sur arches du tirage de tête et 300 sur vélin. Superbe état. Edition originale. Rarissime et précieux exemplaire orné d'une émouvant dédicace, autographe, signée, pleine page de Luc Decaunes à sa mère.
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( Théâtre ) - Tom Stoppard - Jean-Claude Carrière - Andréas Voutsinas
Reference : 8637
L'Avant-Scène Théâtre, bimensuel, n° 838 du 15 novembre 1988. In-8 broché de 64 pages, au format 25 x 17 cm. Couverture illustrée par une photographie. Dos carré avec titre et petits frottis. Plats et intérieur frais, malgré d'infimes frottis aux coins. Découpage de la pièce avec photographies de la représentation, en noir, in texte. Présentation de l'auteur, Tom Stoppard, avec photo. Texte adapté par Jean-Claude Carrière. Entretiens avec l'adaptateur, les comédiens et le metteur en scène, avec ohotos, situés à la suite de la pièce : Jean-Claude Carrière, Pierre Arditi, Evelyne Bouix, Catherine Rich, Yves Beneyton, Nathalie Dauchez, Christophe Brault, Jean-Luc Bernard. Bel état général. Edition originale. Rare et précieux exemplaire, enrichi de 4 belles dédicaces autographes, signées, de Catherine Rich, Christophe Brault, Yves Beneyton et Pierre Arditi, destinées à Myrtille Dauchez, mère de la la comédienne Nathalie Dauchez, qui joue le rôle de Debbie dans la pièce.
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René Van den Berg & Louis Enlart, éditeurs. 1926. Grand in-8° broché. Couverture rempliée. XXXIX + 209 pages. Portraits photographiques hors texte de Laurent Tailhade et de sa mère. Une lettre en fac-simile. E.O. 1/900 sur alfa.
Très propre.
16/02/1869 TRÈS BEAU SONNET EMPREINT DE TENDRESSE FILIALE EN HOMMAGE À SA MÈRE ÉLISABETH-ZÉLIE DE BANVILLE :...Ma mère, pour fêter sous les cieux rajeunis, Le jour où tu naissais, je veux avec tendresse Faire parler encore la lyre enchanteresse Dans le triste silence où nos cœurs sont unis. Voici venir le temps des lilas et des nids : Déjà, comme une haleine errante et charmeresse, La brise du printemps suave nous caresse, Ma mère, et ce nest pas moi seul qui te bénis ! Car, du séjour lointain caché sous tant de voiles, Sitôt quavec la nuit seffacent les étoiles, Ceux qui sont dans les cieux nous regardent pleurer...Théodore de Banville qui vouait à sa mère une véritable adoration, lui rendit souvent hommage dans ses poésies. Le tout premier recueil de Banville, Les Cariatides, salué par Charles Baudelaire, souvre sur un poème dédié à sa mère : « Oh ma mère, ce sont nos mères dont les sourires triomphants, bercent nos premières chimères, dans nos premiers berceaux denfants... ». Dans son avant-propos à Roses de Noël (recueil entièrement consacré à sa mère et publié en 1878), Banville déclarait : « Les quelques poëmes qui suivent ne sont pas des œuvres d'art. Ces pages intimes, tant que ma si faible santé et les agitations de ma vie me l'ont permis, je les écrivais régulièrement pour mon adorée mère, lorsque revenaient le 16 février, jour anniversaire de sa naissance, et le 19 novembre, jour de sa fête, sainte Elisabeth. Parmi ces vers, destinés à elle seule, j'avais choisi déjà quelques odes qui ont trouvé place dans mes recueils. Les autres ne me paraissaient pas devoir être publiés, et je sais bien ce qui leur manque. Presque jamais on ne se montre bon ouvrier, lorsqu'on écrit sous l'impression d'un sentiment vrai, au moment même où on l'éprouve. Mais, en les donnant aujourd'hui au public, j'obéis à la volonté formellement exprimée de Celle qui ne sera jamais absente de moi et dont les yeux me voient. D'ailleurs, en y réfléchissant, j'ai pensé qu'elle a raison, comme toujours ; car le poëte qui veut souffrir, vivre avec la foule et partager avec elle les suprêmes espérances, n'a rien de caché pour elle, et doit toujours être prêt à montrer toute son âme. Paris, le 19 novembre 1878. Roses de Noël, A ma mère...). CE PRÉSENT POÈME SEMBLE INÉDIT.