‎[ECLAIR]‎
‎Eclair n°13. ‎

‎L'est eclair VENDREDI 13 ΜΑΙ 1983 n°11483‎

‎ Sans date.‎

‎Bon état‎

‎L'Eclair Sténographique, N°13 - 1er juillet 1909‎

‎ Revue Sténographique 1909 L'Eclair Sténographique, N°13 1er juillet 1909, paginé de 98 à 104 p., broché, environ 33x25cm, feuillets désolidarisés de la couverture, sans manque, des déchirures sur le dos, une déchirure de 2cm environ en bordure des pages.‎

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‎Qui ? Détective n° 268 - A Chamoy, 13 jours après la disparition de Mme veuve Barrat, le pendule conduit l'enquête jusqu'a son cadavre et précise que l'octogénaire fut assassinée par Jacques Prézelin, A Toulouse, une enquête éclair de la brigade mobile‎

‎Bureaux du journal. 20 aout 1951. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 23 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

‎Sommaire : A Chamoy, 13 jours après la disparition de Mme veuve Barrat, le pendule conduit l'enquête jusqu'a son cadavre et précise que l'octogénaire fut assassinée par Jacques Prézelin, A Toulouse, une enquête éclair de la brigade mobile permet, en 48h d'identifier le noyé sans nom du pont du Girou et d'arrêter son meurtrier par Maurice Lemay Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

‎Eclair plus magazine n°306 numéro hors série avril 1995 - Des 13 feux à la ville prospère la cité a bien changé depuis le XIVe siècle - deux mairies et 25 maires de la chambre de chez Layot à la place de la Victoire - la générosité des bizanosiens etc.‎

‎Eclair plus magazine. 1995. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages agrafées - quelques illustrations en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine‎

‎Sommaire : Des 13 feux à la ville prospère la cité a bien changé depuis le XIVe siècle - deux mairies et 25 maires de la chambre de chez Layot à la place de la Victoire - la générosité des bizanosiens l'église a subi de nombreuses transformations - une oeuvre de 5 ans la décoration de l'église par René Marie Castaing - une histoire mouvementée depuis 1836 les écoles ont bien évolué - adiu praube carnabal ! la fête et la bataille de milhocs - que ba pla relance les fêtes les fêtes depuis la commune libre - une tonne et demis de mais en 1956 la résurrection de la bataille de milhocs - du chateau fort à l'agrement l'histoire du château de Franqueville - un fer par forme - le petit train à vapeur - Marie Louise La Lavandiere une figure inoubliable - avec les feves du Venezuela la famille Blasco et la tradition du chocolat etc. Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine‎

‎Trois numéros de L'Éclair (n°1, 9 et 10 des 12 janvier, 6 et 13 mars 1852, chacun 12 pp. gr. in-4 sous couverture) et un numéro de Paris (Paris-Mercredi, n° 57, 15 décembre 1852, double feuillet in-folio). ‎

‎ 1852 4 vol. brochés L'Éclair est lancé au début de 1852 par le comte Charles de Villedeuil, un cousin des Goncourt, qui leur propose naturellement de s'associer à l'aventure. Les premiers numéros de cette petite "revue hebdomadaire de la littérature, des théâtres et des arts" sont presque entièrement rédigés par les trois hommes sous différents pseudonymes. Tandis que le premier compose majoritairement des articles d'inspiration historique, les seconds font l'apprentissage de la critique dramatique dans le registre fantaisiste à la mode du temps. Une discipline d'écriture et de bohème qui tient les deux frères en alerte pendant toute l'année 1852 et donnera la matière à trois recueils : Salon de 1852, Mystères des théâtres et La Lorette. A noter, dans le premier numéro, une critique enthousiaste en double page de Charles de Villedeuil sur En 18..Constatant un tassement des ventes de son hebdomadaire, Villedeuil lance en complément, le 20 octobre 1852, le quotidien Paris (titre suivi du jour de la semaine), une simple feuille sur quatre pages, la dernière consacrée aux annonces publicitaires. Le numéro que nous présentons comporte un dessin de Gavarni à pleine page, un feuilleton d'Alexandre Dumas et, surtout, l'amusante chronique "Voyage du n°43 de la rue Saint-Georges au n°4 de la rue Laffitte" qui conduira les frères Goncourt au tribunal correctionnel le 12 février 1853 et les éloignera du journalisme...Ensemble rare, ex-libris manuscrit A.B.S.M.‎