Paris, Les classiques du peuple , 1968; in-12, 190 pp., br.
Reference : 201313670
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UPM. 1998. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 80 pages. Illustré de nombreuses photos en couleur.. . . . Classification Dewey : 270-Histoire et géographie de l'Eglise
"Sommaire: Vivre de l'Esprit Saint. L'Esprit Saint, guide de la mission dans les Actes des Apôtres, Claude Tassin. La vie dans l'Esprit selon la tradition orthodoxe, Sophie Deïcha. Confirmés par l'Esprit, Michel Dujarier. Le charisme monastique, Paulinus Vadakepattany. Petite bibliographie sur l'Esprit Saint. DOSSIER. Toute l'Eglise est charismatique. I. Les charismes dans le Nouveau Testament, Jean Camus. II. Les charismes dans la vie ecclésiale, Étienne Garin. III. Le souffle de l'Esprit dans l'histoire, Abel Pasquier. IV. Lire le travail de l'Esprit. A. L'Esprit en Afrique du Sud, Emmanuel Lafont. B. Le cri de la terre au Brésil, Marie-Jo Hazard. C. En Algérie, l'Esprit Saint au-delà des frontières, Pierre Claverie. Lire les signes de l'Esprit. Le Cardinal Malula ""Père de l'Eglise de Kinshasa"", Maurice Cheza. Quand l'Esprit nous entraîne. L'Esprit souffle et désinstalle, Marie Luz Alvaredo. L'Esprit fait naître une Communauté, Geneviève Constant. Quand l'Esprit soutient ses témoins. Saisi par la parole de Dieu, Une communauté mexicaine. Père Alexandre Men, Anastasia Douroff. Classification Dewey : 270-Histoire et géographie de l'Eglise"
S.l.n.d., (Paris, Jamet Mettayer ?, [1579 - 1580], , (34) ff. (sign. A4 a2 B-H4 le dernier blanc) maroquin brun, dos fleurdelisé à nerfs, plats recouverts d'un semé de fleurs de lys dorées dans un double encadrement de deux filets dorés, filet doré sur les coupes, dentelle dorée intérieure, tranches dorées (E. Thomas).
Recueil officiel des quatre-vingt-quinze articles qui régissent l’ordre le plus prestigieux de la monarchie, dont les deux premiers tirages furent imprimés sans lieu ni date à la suite de sa promulgation le 31 décembre 1578, parfois attribués à Frédéric Morel (30 feuillets) et Jamet Mettayer (34 feuillets, notre exemplaire).« L’ordre et milice du benoist Saint-Esprit est fondé par le roi Henri III le 31 décembre 1578, à une époque où le pouvoir royal est contesté dans le cadre des guerres de religion opposant protestants et catholiques depuis le début du XVIe siècle. Ces dernières constituent de véritables conflits civils, particulièrement violents et récurrents en France à partir des années 1560. (…) L’accession au trône de l’ambitieux duc d’Anjou, sous le nom d’Henri III, entretemps élu roi de Pologne un jour de Pentecôte, se produit en 1574 dans ce contexte pour le moins difficile. Rapidement, le jeune roi éprouve le besoin de rassembler les catholiques autour de sa personne, et va, pour ce faire, créer un certain nombre de sociétés, au premier rang desquelles l’ordre de chevalerie du Saint-Esprit. (…) Henri III s’implique dans la rédaction des 95 articles qui régissent le fonctionnement de l’ordre, placé sous le vocable du Saint-Esprit. Son élection au trône de Pologne en 1572 comme le décès de son frère Charles IX en 1574 (ce qui lui a permis d’accéder au trône de France) ayant eu lieu un jour de Pentecôte, il voit dans le fait qu’il ait été désigné deux fois roi un tel jour un appel divin à mettre fin aux guerres qui ravagent alors la France. Après son décès, l’ordre continue son existence d’une manière relativement conforme aux décisions de son fondateur jusqu’à la Révolution. Ses membres, qui ne peuvent être plus de cent, sont choisis par le roi parmi les aristocrates possédant au moins quatre degrés de noblesse et qui ont été préalablement reçus dans l’ordre de Saint-Michel. Catholiques et Français (quelques étrangers seront admis toutefois à partir du XVIIe siècle), ils sont fait chevaliers de l’ordre du Saint-Esprit au cours d’une cérémonie dont le faste se perpétue au cours des siècles suivants (Fig. 3), et doivent satisfaire aux devoirs qui leur sont imposés de ce fait (œuvres de charité, prières répétitives, participations régulières à la messe ou port systématique de la croix de l’ordre conférée par le roi). » (Anne Labourdette, Arts & Sociétés, n°124 Les textiles de l’ordre du Saint-Esprit).Titre orné des armes d'Henri III (armes de France et de Pologne accolées) répétées à la fin de la table (verso feuillet a2), bandeaux, fleurons et culs-de-lampe le tout gravé sur bois.Bel exemplaire grand de marges réglé à l’encre brune parfaitement établi par Thomas en maroquin havane semé de fleurs de lys.Provenance : Joseph Renard (Catalogue 1881, n°1531) et Xavier de Roche du Teilloy, avec ex-libris. Notice bibliographique à l’encre rose sur une garde. Une note au crayon assure également que la mention ancienne, quasi effacée, figurant sur le titre du volume serait « la signature du Roy ». Quelques pâles rousseurs.Brunet, III, 1126 ; Saffroy, I, 4932 ; Rothschild, III, 2489.Recueil officiel des quatre-vingt-quinze articles qui régissent l’ordre le plus prestigieux de la monarchie, dont les deux premiers tirages furent imprimés sans lieu ni date à la suite de sa promulgation le 31 décembre 1578, parfois attribués à Frédéric Morel (30 feuillets) et Jamet Mettayer (34 feuillets, notre exemplaire).« L’ordre et milice du benoist Saint-Esprit est fondé par le roi Henri III le 31 décembre 1578, à une époque où le pouvoir royal est contesté dans le cadre des guerres de religion opposant protestants et catholiques depuis le début du XVIe siècle. Ces dernières constituent de véritables conflits civils, particulièrement violents et récurrents en France à partir des années 1560. (…) L’accession au trône de l’ambitieux duc d’Anjou, sous le nom d’Henri III, entretemps élu roi de Pologne un jour de Pentecôte, se produit en 1574 dans ce contexte pour le moins difficile. Rapidement, le jeune roi éprouve le besoin de rassembler les catholiques autour de sa personne, et va, pour ce faire, créer un certain nombre de sociétés, au premier rang desquelles l’ordre de chevalerie du Saint-Esprit. (…) Henri III s’implique dans la rédaction des 95 articles qui régissent le fonctionnement de l’ordre, placé sous le vocable du Saint-Esprit. Son élection au trône de Pologne en 1572 comme le décès de son frère Charles IX en 1574 (ce qui lui a permis d’accéder au trône de France) ayant eu lieu un jour de Pentecôte, il voit dans le fait qu’il ait été désigné deux fois roi un tel jour un appel divin à mettre fin aux guerres qui ravagent alors la France. Après son décès, l’ordre continue son existence d’une manière relativement conforme aux décisions de son fondateur jusqu’à la Révolution. Ses membres, qui ne peuvent être plus de cent, sont choisis par le roi parmi les aristocrates possédant au moins quatre degrés de noblesse et qui ont été préalablement reçus dans l’ordre de Saint-Michel. Catholiques et Français (quelques étrangers seront admis toutefois à partir du XVIIe siècle), ils sont fait chevaliers de l’ordre du Saint-Esprit au cours d’une cérémonie dont le faste se perpétue au cours des siècles suivants (Fig. 3), et doivent satisfaire aux devoirs qui leur sont imposés de ce fait (œuvres de charité, prières répétitives, participations régulières à la messe ou port systématique de la croix de l’ordre conférée par le roi). » (Anne Labourdette, Arts & Sociétés, n°124 Les textiles de l’ordre du Saint-Esprit).Titre orné des armes d'Henri III (armes de France et de Pologne accolées) répétées à la fin de la table (verso feuillet a2), bandeaux, fleurons et culs-de-lampe le tout gravé sur bois.Bel exemplaire grand de marges réglé à l’encre brune parfaitement établi par Thomas en maroquin havane semé de fleurs de lys.Provenance : Joseph Renard (Catalogue 1881, n°1531) et Xavier de Roche du Teilloy, avec ex-libris. Notice bibliographique à l’encre rose sur une garde. Une note au crayon assure également que la mention ancienne, quasi effacée, figurant sur le titre du volume serait « la signature du Roy ». Quelques pâles rousseurs.Brunet, III, 1126 ; Saffroy, I, 4932 ; Rothschild, III, 2489. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Flammarion , Bibliothèque de Philosophie Scientifique Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1954 Book condition, Etat : Très Bon broché, sous couverture imprimée éditeur orange In-8 1 vol. - 282 pages
1ere édition, 1954 Contents, Chapitres : Préface - 1. L'esprit de la vie : Corps vivant et psyché - La circularité narcissique de la vie - La vitalisation de l'espace et du temps - Objections-germes et soma - Le rajeunissement, action de l'habitude, action des matériaux externes - 2. L'esprit automate : L'automatisme réflexe, le réflexe comme esprit, le réflexe comme matière - L'automatisme de l'habitude - L'automatisme de l'instinct - Faillite de l'automatisme - 3. Libération de l'esprit : L'esprit des mains - L'esprit des formes - L'esprit des sons - L'âme des odeurs - Le nouveau monde - 4. L'esprit pathétique : Pathétique de la douleur - Pathétique de l'émotion - Pathétique du plaisir - 5. L'art - 6. Science et puissance : De l'art à la science - La relation causale - La probabilité - L'indétermination - Les incertitudes de Heisenberg en psychologie - La raison authentique - Genèse de la raison causale - Conclusion : L'action du génie et celle du hasard - 7. La sagesse et la faute : La sagesse biologique - L'inversion morale - Epilogue et table - Maurice Pradines (Glovelier, Suisse, 1874 - Paris, 1958) est un philosophe français. Pradines, bien qu'original, s'inscrit dans la lignée des philosophes de l'esprit de l'entre-deux-guerres. Il a développé une philosophie de la connaissance à la lumière d'une problématique de la sensation. - Pradines soutient en 1909 une thèse de doctorat de philosophie sur le thème Les postulats métaphysiques de l'utilitarisme de Stuart Mill et de Spencer. Le problème de la sensation est renvoyé, chez Pradines, à celui de l'union de l'âme et du corps. Nombre d'auteurs classiques (Descartes et Malebranche) ont pensé théoriquement leur séparation. Pradines pose la thèse inverse : celle de l'immanence de l'esprit au corps. En effet, tout phénomène psychique qu'il soit primaire ou élaboré est avant tout celui d'un vivant. Comment alors le corps procède de l'esprit ? Pradines montre que pour expliquer ce rapport, il faut constituer une histoire ou une genèse de la vie de l'esprit. - La philosophie, selon Pradines, ne s'est jamais correctement interrogée sur le problème de la sensation. D'emblée, il vise les empiristes comme ceux qui ont manqué l'essentiel : ils ne tenaient la sensation que comme point de départ de la connaissance. En réalité, la philosophie s'attache presque toujours aux causes et jamais à la fonction. C'est que la sensation, en sa fonction, est justement primordiale puisque quelqu'un qui la provoque dans un corps vivant ne le fait que si cela l'intéresse et acquiert un sens pour sa vie. La sensation est ce phénomène psychique par lequel la vie se donne quelque chose à comprendre du réel auquel elle se confronte. Cependant, si elle s'avère primordiale, elle n'est pas la donnée première de l'esprit. (source : Wikipedia) bel exemplaire, couverture impeccable, intérieur propre, exemplaire non coupé, papier un peu jauni, cela reste un bel exemplaire
Broché couverture souple, 206 pages, très bon état. Ellébore . Paris.
Qu'est-ce que l'esprit ? C'est l'élément organisateur de la matière. Jeanine Solotareff reprend cette définition établie par Paul Diel tout au long de son œuvre et nous montre comment utiliser au mieux cet instrument pour résoudre les problèmes de notre vie. En évoluant, l'esprit humain, comprenant la liaison entre monde intérieur et monde extérieur, devient capable de ré-harmoniser leur relation. L'esprit se comprend limité par sa liaison avec la matière, incapable de sortir de l'espace-temps. Il ne peut pas affirmer qu'il y a un Dieu, mais simplement l'imaginer, en faire le symbole de son émerveillement devant le monde. Si l'être humain oublie la liaison esprit-matière - oubli que la psychanalyse introspective appelle vanité - l'esprit se dégrade et tombe dans l'un des deux fléaux de notre monde moderne que sont le spiritualisme et le matérialisme. Mais pour avancer, l'esprit doit tenir compte de ce possible égarement, ce qui présente une difficulté certaine due à la subtilité de la vanité. Notre psychisme est ainsi le dialogue, ou plus souvent le conflit, entre ces deux pôles, l'esprit vain et l'esprit lucide. Ce texte en deux parties est construit au fil des pages comme l'esprit lui-même. La première partie se déroule de la biogenèse de l'esprit au sens de la vie, la deuxième des erreurs de l'esprit au retour vers la lucidité à l'aide de la méthode introspective. Chemin faisant, l'auteure ne craint pas de démonter certains dogmes établis par Freud, Doito... nous permettant ainsi d'aller toujours plus loin vers la compréhension scientifique du fonctionnement psychique, qui rejoint les conclusions du neurobiologiste Antonio Damasio. En l'état.Hors frais d'envoi.
Editions du cerf. Juin 1985. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 63 pages.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION
Sommaire L'esprit saint dans la Bible, Ancien testament, Un peuple de prophètes, L'Esprit d'Elie repose sur Elisée, L'Esprit du Seigneur sur le roi, Le Serviteur et l'esprit, L'Esprit et l'onction, La révolte contre l'esprit sain, Coeur et esprit nouveaux, Les ossements desséchés Classification Dewey : 200-RELIGION