Paris, Les editions braun, 1970; in-4, 201 pp., cartonnage de l'éditeur. Avec jaquette avec 141 planches en héliogravure 10 planches en couleur exemplaire sans carte.
Reference : 201206544
Avec jaquette avec 141 planches en héliogravure 10 planches en couleur exemplaire sans carte.
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Édition originale de la plus grande rareté de cette relation de la mission entreprise en Perse par le Père Alexandre de Rhodes. Paris, Jean Henault, 1659.In-8 de (1) f.bl., (6) ff., 115 pp., (1) p., (1) f.bl. Relié en plein vélin souple de l’époque, dos lisse avec le titre manuscrit en tête. Reliure de l’époque. 162 x 116 mm.
Rarissime édition originale de cette relation rédigée à partir des notes du Père Alexandre de Rhodes, de la mission jésuite établie en Perse au milieu du XVIIe siècle. Sommervogel, Bibliothèque de la Compagnie de Jésus, V, p. 255; Carayon, Bibliographie historique de la Compagnie de Jésus, 987. Inconnu de Chadenat, Brunet, … Le missionnaire français Alexandre de Rhodes (Avignon, 1591- Perse, 1660) fut admis chez les Jésuites en 1612. Il prêcha l’Evangile dans de nombreux pays tels Goa, Macao, la Cochinchine, le Tonquin… «En 1648, il traversa tout le royaume de Perse, rencontra chemin faisant Le Gouz de La Boullaye, et se rendit par l’Anatolie et l’Arménie à Smyrne, où il mit la voile pour Gênes. Trois années d’un paisible séjour à Rome ne le guérirent pas de la passion des voyages; il alla faire à Paris les préparatifs de sa dernière entreprise, et partir pour la Perse à la tête d’une nouvelle mission. On s’accorde à dire qu’il a donné sur les pays qu’il a parcourus des détails généralement exacts.» (Biographie générale, 41, 104). «La permission du Provincial, Jacques Renault, dit que cette Relation du P. de Rhodes a été dressée par le P. Jacques de Machault». (Sommervogel) Le Père Jacques de Machault (1600–1680) est un littérateur français qui entra chez les Jésuites à 18 ans. Il professait les humanités et la philosophie dans divers collèges jésuites. Il devint recteur à Alençon, à Orléans et à Caen. C’est lui qui composa le présent ouvrage sur les notes prises par Alexandre de Rhodes lors de son séjour en Perse. Séduisant exemplaire conservé dans sa première reliure en vélin de l’époque. Nous n’avons pu localiser aucun exemplaire sur le marché public depuis le début des relevés.
Édition la plus estimée, en grande partie originale, de la description de la Perse de Chardin. Ravissant exemplaire en veau écaille de l'époque aux dos ornés de la toile d'araignée dorée. Paris, Denys Horthemels, 1723 (tome 1), Amsterdam, Jean-Louis de Lorme, 1711 (les 9 autres tomes).10 tomes reliés en 11 volumes in-12 de :I/ (15) ff. avec le privilège, 254 pp., 1 portrait de l’auteur, 1 carte dépliante, 1 planche hors texte ;II/ 334 pp., 9 planches dépliantes;III/ 285 pp., 7 pl. dépl.;IV/ 280 pp., 6 pl. dépl.;V/ 312 pp., 4 pl. dépl. et 6 tableaux dépliants ;VI/ 328 pp., 5 pl. dépl.;VII/ 448 pp. ;VIII/ 255 pp., 16 pl. dépl.;IX/ (Volume de texte) 308 pp. / (Volume de planches) 29 pl. dépl. ;X/ 220 pp., (41) ff. de table.Seul le 1er volume est daté de 1723, les autres sont à la date de 1711. Très légère mouillure en tête du vol. 2, légère mouillure en marge int. du tome 3. Plein veau fauve écaille, triple filet doré autour des plats, dos à nerfs ornés de fleurons dorés à la toile d’araignée, pièces de titre et de tomaison de maroquin rouge et citron, filet doré sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches rouges. Reliure de l’époque.161 x 93 mm.
Édition en grande partie originale, la première complète, de la meilleure description de la Perse du XVIIe siècle. Cette célèbre relation fut la première à fournir une connaissance exacte de l’état de cette région particulièrement à la mode au XVIIIe siècle.Brunet, I, 1802 ; Chadenat 547 ; Atabey 219. Pas dans Blackmer.« Ce voyage est un des plus intéressants que l’on ait publiés dans le siècle dernier. L’édition que nous citons est assez belle, et les exemplaires bien conditionnés en sont peu communs. » (Brunet)« Édition recherchée, ornée d’un portrait, d’une carte et de nombreuses figures repliées ». (Chadenat)Fils d’un bijoutier protestant de la place Dauphine à Paris, Jean Chardin (1643-1713) montra rapidement un goût prononcé pour les voyages, où se mêlaient curiosité des ailleurs et l’espoir d’y faire un fructueux commerce. Il fit deux longs séjours au Moyen-Orient. Le premier, de 1664 à 1670, le vit séjourner longtemps à Ispahan, et nommer « marchand du shah ». A son retour, il publia une relation du Couronnement de Soliman III (1671). Son second séjour au Moyen-Orient se déroula de 1671 à 1677. En 1686, il publia à Londres le journal de son second voyage à Ispahan (dont Bayle fit un éloge appuyé), puis, en 1711, une édition beaucoup plus complète qui comprend, outre le même journal, une présentation très fouillée de la Perse, avec des chapitres sur sa littérature, sur son histoire, sa religion et sa vie politique, une description particulière d’Ispahan et le récit d’un voyage à Ormuz.« Sa position officielle, ses relations avec les principaux personnages, la connaissance qu’il s’empressa d’acquérir des idiomes du pays, lui permirent de recueillir une multitude de renseignements sur le gouvernement, les mœurs, les antiquités, les monuments et l’histoire de la Perse. Un dessinateur habile, qu’il avait amené, l’accompagnait dans toutes ses explorations, et il put rapporter ainsi des reproductions exactes des monuments, des costumes, des ruines de Persépolis, des armes, des ustensiles…On a prétendu que l’académicien Charpentier avait aidé Chardin dans la rédaction de son livre. Quoi qu’il en soit, ce qui appartient incontestablement à l’illustre voyageur, ce sont ces matériaux précieux recueillis avec tant d’intelligence et de courage, ces recherches profondes, ces observations, ces renseignements curieux et authentiques sur l’histoire, l’administration, la législation, les mœurs, les sciences, les arts, les usages d’un pays pour ainsi dire inconnu jusqu’alors ».« Le témoignage unanime des voyageurs, dit Langlès, qui, depuis Chardin, ont visité et décrit les mêmes contrées, n’a servi qu’à constater la justesse, la profondeur de ses observations, la variété de ses connaissances et sa véracité ».L’abondante illustration gravée sur cuivre comprend 1 portrait de l’auteur, 1 grande carte et 77 grandes planches, la plupart dépliantes : vues, monuments, costumes, antiquités, … ainsi que des bandeaux gravés en tête des chapitres. Certaines planches mesurent plus de 1 m sur 165 mm. Chardin était accompagné par un dessinateur, Grelot : toutes les vues, scènes et portraits ont été réalisés d’après nature et les estampes sont d’un intérêt manifeste pour l’étude des coutumes et des mœurs et la représentation des costumes des Perses et Indiens.Séduisant exemplaire de cette intéressante relation de voyages très illustrée, dans une fine et jolie condition, en veau écaille de l’époque aux dos particulièrement décoratifs ornés à la large toile d’araignée dorée.
Amsterdam et Paris, Daniel Horthemels, 1686. In-12 relié en plein veau d'époque, dos à nerfs, pièce de titre, 3 ff. avec déchirures marginales sans perte, 12 ff., 432 pp., 4 ff., illustré d'un titre frontispice, du portrait de Chardin, de 3 vignettes de chapitres, d'une carte dépl. du Pont-Euxin, et de 15 pll. (dont 13 dépl.). Les plans suivants sont incomplets (Téflis, Festin de Téflis, Kachan, Caravansérail de Kachan, Kom), trace d'adhésif sur une planche, mors fendu, épidermures, coiffe de tête arasée, cachet.
Première édition in-12 paru en même temps que l’édition de Londres. Jean Chardin, diamantaire français, connu pour sa relation de ses séjours en Perse et en Orient à la fin du XVIIe , Fils d’un bijoutier protestant, il se rend en Perse et en Inde en 1665 pour y faire le commerce des diamants. Il plaît au roi de Perse, Shah Abbas II, qui le nomme son marchand. De retour en France en 1670, il publie "Le couronnement de Soleïmaan troisième, roy de Perse". Puis il repart pour la Perse en août 1671, en faisant cette fois-ci un long périple qui le mène à Smyrne, à Constantinople, en Crimée, dans le Caucase et en Géorgie. Il arrive à Isfahan en juin 1673, reste quatre ans en Perse et retourne en Inde avant de revenir en Europe en 1680 en passant par le Cap de Bonne-Espérance. Constatant à son retour que les Protestants sont persécutés en France, il se rend en 1681 en Angleterre, où Charles II le fait chevalier et le nomme bijoutier de la cour. Il s’y marie et devient membre de la Royal Society en 1682. Chardin se rend ensuite en Hollande en tant que représentant de la Compagnie anglaise des Indes orientales et c’est à Amsterdam qu’il publie en 1686 la première partie des "Voyages de monsieur le chevalier Chardin en Perse et autres lieux de l’Orient". Cet ouvrage, qu’il ne complète qu’en 1711, peut-être avec l’aide de François Charpentier, est salué par les philosophes et reçoit les éloges de Montesquieu, Rousseau, Voltaire et Gibbon. La majorité a été dessinée par Guillaume-Joseph Grelot, un artiste peintre qui accompagnait Chardin lors de ses voyages en Perse. M3-Et4
LIBRAIRIE HACHETTE & Cie. 1884. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 139 à 316. Nombreuses gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 910-Géographie générale. Voyages
Sommaire : Chapitre IV : La Perse - Perse et persans, Voies historiques de la Perse, Montagnes des Turkmènes, Atrek, Ala Dagh, Elbourz, Chah Kouh, Chamcherbour, Tchesmeh-I-Ali, Elbourz, Demavend, Caspienne, Savalan, Sehend, Montagnes bordières de la Perse, Déserts de la Perse, Climat de la Perse, Lac d'Ourmiah, Lac Niris, Flore de la Perse Classification Dewey : 910-Géographie générale. Voyages
Lyon, Thomas Amaulry, 1687, 2 tomes en 2 vols in-12 , Reliure époque plein veau, dos à nerfs ornés avec titre et tomaison , de (24)-438pp (tome 1) et 439pp-(9) pp) illustrés de 15 planches dont 1 portrait-frontispice, 1 titre gravé 13 planches , la plupart dépliantes .Petite galerie de vers au début du tome 2 , 4 feuillets amputés (pp.89 à 96) de l’angle supérieur droit (avec manque de texte), reliure frottée , accident à la coiffe supérieur tome 1 , coins usés
Jean Chardin , Diamantaire français , connu pour sa relation de ses séjours en Perse et en Orient à la fin du XVIIe , Fils d’un bijoutier protestant, il se rend en Perse et en Inde en 1665 pour y faire le commerce des diamants. Il plaît au roi de Perse, Shah Abbas II, qui le nomme son marchand. De retour en France en 1670, il publie "Le couronnement de Soleïmaan troisième, roy de Perse". Puis il repart pour la Perse en août 1671, en faisant cette fois-ci un long périple qui le mène à Smyrne, à Constantinople, en Crimée, dans le Caucase et en Géorgie. Il arrive à Isfahan en juin 1673, reste quatre ans en Perse et retourne en Inde avant de revenir en Europe en 1680 en passant par le Cap de Bonne-Espérance. Constatant à son retour que les Protestants sont persécutés en France, il se rend en 1681 en Angleterre, où Charles II le fait chevalier et le nomme bijoutier de la cour. Il s’y marie et devient membre de la Royal Society en 1682. Chardin se rend ensuite en Hollande en tant que représentant de la Compagnie anglaise des Indes orientales et c’est à Amsterdam qu’il publie en 1686 la première partie des "Voyages de monsieur le chevalier Chardin en Perse et autres lieux de l’Orient". Cet ouvrage, qu’il ne complète qu’en 1711, peut-être avec l’aide de François Charpentier, est salué par les philosophes et reçoit les éloges de Montesquieu, Rousseau, Voltaire et Gibbon. P1-3N