Paris, E plon et cie , 1883; in-12, 308 pp., cartonnage de l'éditeur. Demi cuir a caissons.
Reference : 201205677
Demi cuir a caissons.
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JC Lattès, 1980, in-8°, 424 pp, traduit de l'anglais, notes, broché, bon état
"La plus incroyable affaire d'espionnage des temps modernes – McLean, Burgess, Philby, Blunt : 50 ans de manipulations des services secrets britanniques par le KGB – Le livre qui a révélé l'espion de la Reine." — "En mars 1934, les agents du Komintern recrutent un jeune homosexuel à l'intelligence brillante, adulé par ses condisciples : Guy Burgess. C'est dans un des plus prestigieux sanctuaires de l'élite intellectuelle britannique qu'ils sont allés le chercher : l'université de Cambridge. Ainsi débute l'affaire d'espionnage la plus importante du siècle. Un climat de trahison, du journaliste et biographe anglais Andrew Boyle, est le récit minutieux, remarquablement documenté, de cet épisode secret de la guerre froide. Véritable enquête policière, la première édition de l'ouvrage a obligé le gouvernement conservateur de Margaret Thatcher à démasquer officiellement le plus ancien complice de Guy Burgess, Sir Anthony Blunt, membre de l'entourage de la famille royale et critique d'art réputé : après la défection de Philby au début des années 60, il avait préféré passer aux aveux plutôt que de s'exiler en URSS, et les services secrets anglais lui accordèrent l'immunité pour éviter le scandale. Mais Andrew Boyle est mieux qu'un nouveau Sherlock Holmes : c'est tout le climat d'une époque qu'il fait transparaître, celui du fragile Occident démocratique des années trente, confronté aux deux monstres issus de la première guerre mondiale et de la grande crise : le fascisme et le stalinisme..." (Alexis Lecaye, Le Monde, 11 juillet 1980) — La conspiration de Cambridge ou la trahison de quatre mousquetaires, purs produits de l'enseignement haut de gamme britannique: Philby, Mac Lean, Burgess et Blunt. L'ouvrage est dense, il révéle la trahison de Blunt, longtemps gardée secrète. Comment ce dernier, fils de pasteur anobli, conseiller artistique de la reine, spécialiste éminent de Poussin et du baroque italien, a-t-il pu lier partie avec les services secrets de Staline et faire office de recruteur d'agents doubles au service du KGB. La grande force de cet ouvrage, c'est de nous restituer toute cette ambiance passée, ces réseaux estudiantins et mondains, joyeusement décadents et gangrénés, ce qu'Arthur Boyle dénomme un climat de trahison. (liberliger) — L'« affaire Blunt » éclate officiellement en novembre 1979, quand la presse britannique révèle que Sir Anthony Blunt (1907-1983), l'un des plus grands historiens d'art de son temps, "redécouvreur" de Poussin et inspecteur des tableaux de la collection royale, a servi les intérêts de l'Union soviétique. Les Français connaissaient les célèbres espions Burgess, MacLean et Philby, mais il manquait à ce trio un chaînon sans lequel la trahison au profit de l'Est de ces trois gentlemen issus de Cambridge aurait gardé son mystère. En 1939, Blunt est déjà une autorité en matière de peinture. Promis au plus bel avenir au sein de l'élite britannique, il va cependant devenir espion au profit de l'URSS durant les années de guerre, tandis qu'il travaillera pour le MI5 (Military Intelligence), le contre-espionnage britannique. Outre livrer des informations aux Soviétiques, il s'emploiera à couvrir d'autres agents sur lesquels pèse le soupçon. Après la victoire des Alliés, il est chargé par Georges VI de récupérer en Allemagne un dossier compromettant sur le "philonazisme" du duc de Windsor, ex-Edouard VIII, et devient inspecteur des tableaux de la collection royale puis directeur de l'illustre Institut Courtauld. La carrière prestigieuse de ce membre à part entière de l'establishment ne sera pas brisée lorsque, en 1964, il acceptera de passer aux aveux sur ses activités d'espion et celles de ses "complices" en échange d'une immunité totale. Ce sera le secret le mieux gardé d'Angleterre jusqu'en 1979, quand le journaliste Andrew Boyle révélera tout dans son livre « Un climat de trahison ».
P., Editions Inter-Nationales, 1949, gr. in-8°, 225 pp, préface de l'amiral Decoux, 24 photographies hors texte, broché, couv. illustrée, bon état. Peu courant
Par l'ancien Commissaire général aux Sports et à la Jeunesse en Indochine vichyssoise. — "L’auteur, Maurice Ducoroy, capitaine de vaisseau dans la marine de guerre française, est appelé en mai 1940 auprès de l’amiral Decoux, alors gouverneur général de l’Indochine, pour devenir le directeur sportif de la jeunesse indochinoise. A compter du mois de septembre 1940, les troupes japonaises envahissent l'Indochine. Une difficile cohabitation s'instaure désormais avec les autorités françaises en place. Dans son ouvrage, il relate la manière dont il a rempli sa mission, jusqu’à occuper le poste de Commissaire Général aux Sports et à la Jeunesse de ce vaste territoire d’Asie du Sud-Est. Selon lui, toutes les décisions, tous les actes pris dans le cadre ses fonctions ont été dictés par l’intérêt supérieur de la France. Plus concrètement, il s’agissait alors d’empêcher les manoeuvres japonaises visant à retourner les populations autochtones contre les Français en vue de déstabiliser la puissance coloniale. Sa seule ambition se serait donc résumée à servir l’Empire en le préservant des ambitions expansionnistes nippones. Aussi le titre apparaît-il trompeur, puisqu’il ne constitue aucunement un aveu aux accusations de trahison dont il fait l’objet dans l’immédiat après-guerre, accusations alléguant une collaboration avec ces mêmes Japonais. En considérant les motivations qui furent les siennes, Ducoroy revendique le fait que nulle trahison ne peut lui être reprochée, au contraire... Son livre s’apparente donc à un plaidoyer. Dans cette optique, il axe sa défense sur la démonstration des larges vertus du sport, multipliant les exemples de ses "grandes réalisations" (p. 145) ayant, sous son impulsion, cimenté "l'oeuvre de rapprochement franco-indochinois" (p. 22). Or, malgré l’éventuel enthousiasme qu’auraient rencontré ces manifestations sportives dans les cinq pays de la Fédération, il ne convainc pas vraiment de l’efficience de cette politique quelque peu naïve. D’abord parce que le système qui régit alors l’Indochine est celui du colonialisme, ensuite parce que ce gouvernement général ne représente rien d’autre qu’une ramification de celui de Vichy. On y retrouve d’ailleurs les valeurs qui, dès son commencement, ont gangréné le régime pétainiste. Quant à l’adhésion des populations à des pratiques sportives européennes, comme le cyclisme, on n'y croit pas davantage. Nul soulèvement populaire ne vient d'ailleurs sauver les civils et militaires français lors du coup de force japonais du 9 mars 1945. Que l’auteur soit sincère dans ses propos, cela peut paraître plausible, surtout en tenant compte du contexte et des mentalités de l’époque. A bien des égards, ce récit nous révèle les illusions de cette administration coloniale française à l’heure de son déclin." (Stéphane Lamache, « Ecrits de Guerre et d’Occupation » EGO 1939-1945)
Gallimard, 1971, in-12, 196 pp, traduit de l'allemand, broché, couv. rempliée, bon état (Coll. Les Essais). On joint un article d'une page sur le livre par Philippe Nemo (Le Nouvel Observateur, 9 août 1971)
"Cet essai reproduit l'introduction et la conclusion du vaste ouvrage en quatre volumes publié en 1956 par M. B. et qui se composait de deux parties : Trahison et nation, Trahison et idéologie. Chaque volume constitue une étude de cas, à la fois psychologique et socio-culturelle ; les cas sont choisis tant en Europe occidentale, qu'aux Etats-Unis et dans le monde communiste. On trouvera notamment dans cet ouvrage quelques pages très incisives sur le rôle et les limites de la résistance allemande pendant la guerre. Eliminer le Führer, c'était sauver la patrie, mais par ailleurs c'était mettre la patrie en danger, « de sorte que le plan de sauvetage ne pouvait être mis à exécution si l'anéantissement Hitler risquait d'entraîner celui de l'Allemagne »." (Revue française de science politique, 1972)
Librairie illustrée.. 9 septembre 1906. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Déchirures. Paginé de 241 à 256. Quelques gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages
Sommaire : La chasse aux pirates par Henry Niellé, La trahison du maure, XXV par E. Salgari, La trahison du maure, XXV par E. Salgari, La disparition des abeilles, Rotisseurs de marrons et marchands de patetes a Shanghai, La tunisie et ses splendeurs, L'appel de la foret, VIII par Jack London, Moeurs des gauchos par Christian Borel, La tour des andes, XII par H.M. de Mathuisieulx Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages
État : Bon état - Année : 2004 - Format : in 8° - Pages : 286pp - Editeur : Grancher - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Divers : Plats de couv très légèrement frottés aux franges. Intérieur bien propre. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/roger-delpey/8585-dien-bien-phu-histoire-d-une-trahison?lrb
Il existe la trahison contre l'intelligence, la trahison contre cette monnaie devenue si rare: le bon sens. A partir de l'exploitation d'un rapport secret, l'auteur montre que le désastre de Diên Biên Phu, qui se traduisit par l'abandon de l'Indochine française, aurait pu être évité. Ce rapport, aujourd'hui dévoilé, a été soigneusement dissimulé après le drame par les responsables de l'époque. La bataille de Diên Biên Phu appartient aujourd'hui à l'Histoire. Mais l'étude du passé est une grande leçon pour décider au présent et préparer l'avenir. L'Histoire exige la vérité pour pouvoir être méditée sur des bases solides. Ce livre participe indiscutablement à la recherche de la vérité même s'il est impossible de revenir sur des événements passés.
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