Paris, C.L.D. normand & cie, 1975; in 16 carré, 40 pp., cartonnage de l'éditeur. Très bon état - texte choisi par Marie Hélène Richard.
Reference : 201006488
Très bon état - texte choisi par Marie Hélène Richard.
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Paris, Editions Contrepoint, 1982. 315 g In-8 broché, xii-259 pp.. Préface d'Edmond Pognon. Ouvrage tiré à 1000 exemplaires. . (Catégories : Bibliographie, )
Les Presses Francaises , Etudes romantiques Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1925 Book condition, Etat : Très Bon broché, sous couverture imprimée éditeur grise In-8 1 vol. - 127 pages
1ere édition, 1925 Contents, Chapitres : Les expériences de Saint-Simon - Les écrits de Saint-Simon : De la science à l'amour - L'intuition de Saint-Simon - Claude-Henri de Rouvroy, comte de Saint-Simon, né à Paris le 17 octobre 1760 et mort le 19 mai 1825, est un militaire, économiste et philosophe français, fondateur du saint-simonisme. Ses idées ont eu une postérité et une influence sur la plupart des philosophes du XIXe siècle. Il est le penseur de la société industrielle française, qui était en train de supplanter la société d'Ancien Régime. L'historien André Piettre le décrit par la formule : « le dernier des gentilhommes et le premier des socialistes ». Il est le cousin éloigné du duc de Saint-Simon, célèbre mémorialiste de la cour de Louis XIV et de la Régence. - La doctrine s'appuie sur la notion de réseau et de capacité. La relation entre les êtres humains dépend de la capacité du réseau à établir le lien. Elle procède par métaphore avec les réseaux organiques des êtres humains (réseau sanguin, système nerveux...), selon les idées en vogue en physiologie à cette époque. C'est Saint-Simon qui est à l'origine de la philosophie des réseaux selon Pierre Musso. Dès les années 1820, Saint-Simon voit dans le début de l'industrialisation le moteur du progrès social. Pragmatique, il prône un mode de gouvernement contrôlé par un conseil formé de savants, dartistes, dartisans et de chefs dentreprise et dominé par le secteur primaire qu'il convient de planifier pour créer des richesses et améliorer le niveau de vie de la classe ouvrière. Il est du devoir des industriels et des philanthropes d'uvrer à l'élévation matérielle et morale des prolétaires, au nom de la morale et des sentiments. L'appellation de Nouveau Christianisme repose sur des considérations morales, le culte et le dogme n'étant là que pour fixer l'attention des fidèles sur la morale qui est axée sur la fraternité et sur le progrès matériel et spirituel de l'espèce humaine. Le Nouveau Christianisme a pour but l'accroissement du bien-être général de la société et de participer à l'avènement du paradis sur terre. C'est pourquoi on peut parler de religiosité, à l'instar d'Olivier Pétré Grenouilleau. (source : Wikipedia) bel exemplaire, frais et propre, couverture impeccable, intérieur frais et propre, exemplaire non coupé
Berger-Levrault, 1973, gr. in-8°, 447 pp, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bandes conservées ("avec de nombreux inédits", "Prix Malherbe 1975"), bon état
"Il s'agit bien, précisons-le, d'une biographie, et non d'une analyse littéraire des Mémoires. Tout au contraire, – et c'est peut-être là un des aspects les plus originaux et les plus nouveaux du livre – , M. Poisson insiste tout au long sur ce fait, évident mais souvent négligé ou perdu de vue, que les Mémoires ont été écrits très longtemps après les événements qu'ils relatent : quarante-cinq ans pour le début des Mémoires, vingt-cinq ou vingt-six ans pour la fin. Prendre pour argent comptant le récit des Mémoires et rebâtir d'après lui la vie de l'auteur serait donc, non seulement inutile (pourquoi récrire après Saint-Simon ce qu'il a écrit mieux que personne ?) mais illusoire. M. Poisson s'est fixé pour règle de ne recourir aux Mémoires, pour relater la vie de Saint-Simon, qu'à titre d'appoint, et toutes vérifications faites à l'extérieur : ce qui l'amène à citer, dans ses notes, une impressionnante quantité de documents d'archives. Un des éléments neufs et originaux du livre de M. Poisson est le développement consacré au sort posthume des Mémoires et des autres écrits de Saint-Simon, ainsi qu'à l'évolution et à l'épanouissement du saint-simonisme aux XIXe siècle et XXe siècle. On a l'impression, quand on referme l'ouvrage, de mieux connaître la curieuse, irritante et, finalement, malgré tout, attachante personnalité du coléreux duc et pair. « Nous avons essayé moins de le juger que de le comprendre », écrit M. Poisson dans son avant-propos. Il y a pleinement réussi, et au-delà. On se sent l'envie, après lui, de relire aussitôt les Mémoires ; c'est le plus beau compliment, je pense, qu'on puisse faire à l'auteur de ce livre." (Michel Duchein, La Gazette des archives, 1974) — "Cette biographie est à la fois sérieuse et palpitante. Exploitant son fichier avec un sens très sûr du vivant, du coloré et du caractéristique, Georges Poisson révèle d'emblée des qualités d'écrivain et d'historien. L'honnête homme désireux de mieux connaître l'existence de l'un des plus extraordinaires écrivains de langue française qui furent jamais, pourra revivre le curieux destin de Louis de Rouvroy, deuxième duc de Saint-Simon et premier mémorialiste de France ; il constatera en tournant les pages l'intérêt constant porté par le biographe aux mentalités, aux manières de vivre, de sentir et de penser d'une époque qui coïncide avec les règnes de Louis XIII et Louis XIV, et la Régence. Le lecteur des Mémoires sera ravi de découvrir que le dernier quart du livre se penche avec un luxe de détails sur Saint-Simon après 1723 (c'est-à-dire après la mort du Régent qui clôt les Mémoires), et sur « Saint-Simon après Saint-Simon »." (Dirk Van Der Cruysse, Cahiers Saint-Simon) — "Cet ouvrage constitue une biographie minutieuse et admirablement documentée de Saint-Simon. On y suit le personnage depuis l'enfance jusqu'aux dernières années dans ses multiples aspects de courtisan, de politique et de mémorialiste. Ce livre se recommande par sa très riche information, sa clarté et, ce qui ne gâte rien, l'agrément de la lecture." (Raymond Trousson, Dix-Huitième Siècle)
P., A. Quantin, Imprimeur-Editeur, 1880, gr. in-8°, (4)-411 pp, pièces justificatives, broché, couv. lég. abîmée, dos factice, rousseurs éparses, état correct (Vicaire VII, 106)
"Après une séquestration de cent vingt ans contre laquelle tous les lettrés ont protesté en vain, les papiers divers et les manuscrits du duc de Saint-Simon, déposés, en 1760, aux Archives du ministère des Affaires étrangères, voient enfin la lumière. Sous ce titre les “Papiers inédits du duc de Saint-Simon”, la librairie Quantin met en vente un volume qui est destiné à produire une vive sensation. Ce volume contient les Lettres et les dépêches adressées par Saint-Simon, pendant son ambassade en Espagne, au duc d'Orléans, au cardinal Dubois, au roi, au comte de Belle-Isle. Ces documents, publiés pour la première fois, révèlent sous un jour tout nouveau le caractère de Saint Simon et la nature de ses rapports avec Dubois. Le tableau de la cour d'Espagne, fait à la fin de 1721 et au commencement de 1722, très intéressant à comparer avec le texte des Mémoires dont il différe notablement, montre l'écrivain à côté de l'homme politique. Enfin, dans une longue introduction qui ne sera pas un des moindres attraits de ce volume, M. Édouard Drumont, après avoir raconté en détails les circonstances presque incroyables de cette longue et incompréhensible séquestration d'une partie de l'œuvre du grand historien français, indique et analyse les innombrables manuscrits et mémoires de Saint-Simon qui se trouvent aux Archives du ministère des affaires étrangères." (Revue du monde catholique, 20e année, tome 62, 1880)
Henri-Jean-Victor de Rouvroy de Saint-Simon (1782 - 1865), vicomte de Saint-Simon, puis grand d'Espagne, marquis de Saint-Simon et "pair de France", est un général et homme politique français. A partir de 1842, il se fait appeler "duc de Saint-Simon". Il est à l'origine, en 1829 et 1830, de la première édition complète des Mémores de son lointain parent, Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon (1675 - 1755). (cité d'après Wikipédia).