Paris, Librairie academique perrin, 1964; in-8, 266 pp., cartonnage de l'éditeur. Sans jaquette.
Reference : 200906173
Sans jaquette.
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GEO SOLAR. 2003. In-Folio. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Environ 200 pages augmentées de nombreuses illustrations en couleur dans et hors texte -. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 904-Recueils de récits d'événements
SOMMAIRE : LES FEMMES ET L AMOUR / LES FEMMES ET LE TRAVAIL / LES FEMMES ET LA MATERNITE / LES FEMMES DANS TOURMENTE / LES FEMMES ET LA PARURE / LES FEMMES DANS L ACTION Classification Dewey : 904-Recueils de récits d'événements
1816 Paris. Delaunay. 1816. 1 volume in-12 broché.
Encyclopédie de pensées, de maximes et de réflexions axés sur Paris, les femmes, l’amour mais aussi sur la littérature, le journalisme et divers autres sujets :«Rien de plus ingénu qu’une jeune vierge, et de plus franc qu’une courtisane…Aussi bon en soi que malheureux dans ses conséquences, le mariage compte sous son empire plus d’esclaves que de sujets…Plus vaines et plus coquettes que sensibles et tendres, les Parisiennes préfèrent à l’amour senti, celui qu’elles font naitre…Le caractère du vrai Parisien est doux, humain, bon, honnête, affable et officieux ; mais lorsqu’il donne dans la dépravation et les travers, aucun peuple peut-être ne les porte plus loin que lui… »Exemplaire non rogné, certaine pages roussie ou jaunies.
Paris, René Debresse, 1940 ; in-8 (144 x 192 mm), 74 pp., broché. Bibliothèque de l’Artistocratie. – N° CXIX-CXX. Cahiers mensuels de Littérature et d’Art, publiés sous la direction de Gérard de LACAZE-DUTHIERS. Passages censurés: 2) p. 9, 1) p. 17, 1) p. 19, 1) p. 35, 1) p. 37, 1) p. 53, à était décollé, 1) p. 54, 1) p. 57, 1) p. 61, 1) p. 62, 1) p. 64, les pp. 65-66, 1) p. 67. - Série chamois. Extrait de la censure exercée sur le texte Pattes d’Oie (des femmes, de l’amour et de quelques autres objets). Gérard de LACAZE-DUTHIERS. SOUS LE SCEPTRE D’ANASTASIE. Mes démêlés avec la censure, ou quatre ans de léthargie intellectuelle (Juin 1940-Juin 1944). (p.17)…En même temps, Mr L. me donnait des nouvelles de l'ouvrage de Marius RIOLLET et du fameux prospectus: «Au lieu de m'accorder le visa pour les Notices et pour Pattes d'Oie, la Censure m'informe que le Service Central du Contrôle à Clermont-Ferrand a estimé qu'il convenait de «différer la publication de ces documents jusqu'au lendemain du jour où la paix sera signée». Et comme on ne savait au juste quand cette paix serait signée —bien malin qui aurait pu le dire —cela équivalait à un arrêt de mort. Il joignait à sa missive la note du Chef de la Censure pour l'Ariège (1) lui signifiant la décision du Service Central: ÉTAT FRANÇAIS ARIÈGEContrôle des Informations de Presse Non daté (2)«Le service central de la Censure auquel avait été soumis les épreuves de Pattes d'Oie et le prospectus relatif au livre de la Bibliothèque de l'Aristocratie (3) a estimé qu'il convenait de différer la publication de ces documents jusqu'au lendemain du jour où la paix sera signée. M. L. (ici le nom de l'imprimeur) devra être informé de cette décision.Le chef de la censure pour l'Ariège,Signé V. B. (4) (1) Qui était à cette époque chef de division à la préfecture de l'Ariège.(2) Parvenu à son destinataire le 15 décembre 1940.(3) Aïe! Encore une coquille! Cette fois, ce n'est pas le lampiste —le typo —qu'il faut accuser.(4) C'est moi qui abrège. A quoi bon citer des noms!(p.18)Sans autre explication. C'était ajourner indéfiniment la publication de Pattes d'Oie, recueil d'égratignures concernant le sexe faible (il est vrai qu'à ce moment le slogan de «la femme au foyer» étant plus que jamais à l'honneur, c'était faire injure à cette dernière que de l'égratigner). D'autre part, pourquoi le «livre» au singulier, alors qu'il s'agissait de tous les livres édités par la B. A.? Tout cela manquait de clarté.Quant au prospectus en question, en quoi était-il subversif, je vous le demande? De quel droit la censure centrale se permettait-elle d'en différer la publication? Il était rédigé sagement et ne causait de tort à personne. Qu'avait-il de si dangereux? Il devait être tiré à 200 exemplaires et adressé aux seuls abonnés de la B. A. Que craignait-on? Pourquoi l'avoir interdit? Cela faisait-il obstacle aux opérations militaires? Divulguions-nous quelque secret intéressant la Défense Nationale? Aucun motif sérieux ne s'opposait à son impression. II exprimait des idées qui étaient plutôt à l'ordre du jour. Il était bien dans la note des thuriféraires de la Révolution dite Nationale qui singeait l'Artistocratie en proclamant, comme cette dernière l'avait fait bien avant elle, la supériorité? des valeurs spirituelles sur les autres. Quel singulier fonctionnaire présidait à cette époque aux destinées d'Anastasie, j'ignore son nom, sa naissance et sa valeur professionnelle? Au reste, son nom importe peu, il a rejoint l'oubli. Quant à ses opinions politiques ou littéraires elles ne devaient pas être bien assises. Savait-il seulement ce qu'il voulait? Avait-il une personnalité? Quels maîtres servait-il au juste? Ce devait être un pauvre type, comme il y en a pas mal dans l'administration, tiraillé en tous sens, hésitant comme l'âne de Buridan entre un seau d'eau et un picotin d'avoine, et qui gagnait péniblement son pain à la sueur du front des autres. Celui qui nous signifiait le refus formel que nous venons de reproduire (p.19) l'amitié qui s'adresse à tous, chacun y puisera d'utiles conseils pour vivre en paix avec ses semblables» (L'homme et la Vie). «Un livre vigoureux et sympathique» (Marches de France). «Un livre qui arrive à son heure, en ce monde de haine et de violence» (Atlantis). «Un beau livre à placer à côté du Traité de la Sagesse de Pierre Charron» (A. Devaux, Orbis). «Un ouvrage de grande classe». (J. Markale. Escales). «Un ouvrage qu'on voudra posséder comme une chose rare» (Corinne, Pluralisme). «Tout le monde viendra vers ce livre les mains tendues» (Journal de l'Académie des Poètes). «Livre de foi, de courage et d'optimisme» (J. Ageorges, Revue des arts et Créations). «Chacun y puisera une conception de la vie plus heureuse» (Le papetier-libraire). «Il y a dans ce livre ce fort belles pages» (Claudine). «Gérard de Lacaze-Duthiers apporte dans ce livre des théories personnelles d'une réelle beauté où l'on peut toucher du doigt toute sa grandeur d'âme et sa connaissance profonde du cœur humain» (J. Darnay, Esope). «C'est la meilleure œuvre de Gérard de Lacaze-Duthers. Ce livre pullule d'idées. Beaucoup de ces pages sont d'un tour qu'aurait revendiqué Rémy de Gourmont» (E. Arnaud, L'unique). «Le quarantième livre de l'un de nos meilleurs auteurs contemporains. J'ai spécialement apprécié les pages consacrées aux faux amis» (R. Morche, la Revue Indépendante). «Une véritable bible de l'humanité qu'il convient de saluer d'un large coup de chapeau» (J. Teppe, La Revue Doloriste). «Un véritable réconfort. Une belle étude historique, philosophique, et sociale, bourrée de faits et de citations. Un vrai livre de chevet» (A. Lorulot, L'Idée Libre). «Les problèmes les plus obscurs deviennent lumineux, grâce à la magie d'un style dont la clarté égale la profondeur» (Berthe de Nyse, Pensée et Action, Bruxelles). «Très bon ouvrage, écrit avec le plus grand soin et qui renferme d'excellents sujets de méditations» (R. Randau, Afrique, Alger). «Noble témoignage de grand honnête homme. Des pages lucides, profondes, généreuses» (Marcel Millet, Le Petit Casablanca, Maroc). «Travail encyclopédique, somme d'une vaste étendue, véritable réhabilitation de l'amitié» (La France hebdomadaire). «Rédigé au sein des tristesses de l'heure, ce livre apportera un réconfort à certaines âmes» (Le Mercure de France). «Le plus beau livre qui ait jamais été écrit sur l'amitié» (J. Maurelle, Quo Vadis). «Un livre de chevet» (L'Alliance Nouvelle). «Véritable monument à la gloire de l'amitié» (Le Parthénon). «Ensemble d'érudition écrit dans un style énergique» (La Réplique). «Ce livre ne pouvait être écrit que par une grande âme» (Revue Palladienne). «Livre sincère et courageux» (Le Signe de l'Homme). «Une anthologie très complète» (La Tour de Feu). «L'un de ces livres où l'on revient souvent» (La femme socialiste). «l'auteur met en lumière l'amitié à travers les âges afin d'en dégager les principes pour le présent» (René Bailly, Larousse Mensuel). «Étude psychologique très fine sur les conditions de l'amitié» (La Bataille), etc. etc.Pamiers (Ariège) – Imprimerie L. Labrunie.
MON FILM - IMP. CRETE. 1956. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Agrafes rouillées, Quelques rousseurs. 14 pages a chaque numéros- nombreuses illustrations monochrome (bleu, sépia, ...) dans et hors texte. Texte sur deux colonnes. Couverture volante. Dos abîmé.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
N°469 (17-08-1955) la cage aux souris + N°470 (24-08-1955) le cri de la victroire + N°471 (31-08-1955) femmes damnees+ N°472 (07-09-1955) l'amour viendra+ N°473 (14-09-1955) a toi de jouer callagan+ N°448 (23-03-1955) mademoiselle porte bonheur. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
[Collectif] ; Ducout Françoise (présentation)
Reference : 111702
(1982)
ISBN : 2867050057
Lieu Commun 1982 In-8 broché 22 cm sur 22. 269 pages. Tranches poussiéreuses sinon bon état d’occasion.
Textes, poèmes, extraits de journaux intimes et récits d’inconnues et de femmes écrivains : Elula Perrin ; Annie Cohen ; Jeanne Hyvrard Bon état d’occasion