‎[PARIS PERDU 2] - VARNAUTS, RAIVES - ‎
‎Paul. ‎

‎Louvain-la-neuve, Miroir, 1986; in-4, 48 pp., cartonnage de l'éditeur. Tome 2.‎

Reference : 200805900


‎Tome 2.‎

€9.00 (€9.00 )
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‎MASSON (André)‎

Reference : 28690

(1946)

‎« Éloge de Paul Klee » .‎

‎ Manuscrit autographe S.l., mai 1946. 9 pages en 5 f. (180 x 275 mm) pliés et encartés les uns dans les autres, encre bleue et noire. Manuscrit autographe signé de l’article paru dans la revue Fontaine, n° 53 de juin 1946. Masson a titré en grandes capitales le titre et rédigé la première partie à l’encre noire et le reste du texte à l’encre bleue. ‎


‎Paul Klee (1879 - 1940) est autant un peintre de talent qu'un grand aquarelliste. Né à en Suisse, près de Berne, il s'installe en 1898 en Allemagne et entreprend des études d'art, à Munich : c'est dans cette ville que le postimpressionnisme le touche de plein fouet et qu'il découvre à l'occasion d'une exposition Vincent Van Gogh et Paul Cézanne. C'est un choc. Il fait ensuite la connaissance des membres du Blau Reiter, emmenés par Vassily Kandinsky et participe, en 1912, il participe à la deuxième exposition du groupe, exclusivement composée d'oeuvres graphiques. Grâce à son ami designer, urbaniste et architecte Walter Gropius, Paul Klee commence à enseigner en 1921 au sein du Bauhaus l'art abstrait pendant dix ans, en développant une approche singulière de la couleur. Considéré comme juif par les nazis, rangé dans la catégorie des peintres dégénérés, il doit fuir l'Allemagne et meurt au début de la Seconde Guerre mondiale. Masson découvre l'oeuvre de Klee en 1922, avant la formation du mouvement surréaliste. Il travaille alors dans l'atelier de la rue Blomet à Paris, avec Joan Miró, à qui il fait partager sa découverte : « Je suis surtout reconnaissant à André Masson de m'avoir fait découvrir la peinture de Paul Klee. Un jour qu'il me montrait des planches dans un de ses albums... J'ai été subjugué ! Je me suis précipité dans la seule galerie parisienne qui exposait ses gouaches et aquarelles. À partir de ce jour, mon travail a pris une toute autre tournure, il est devenu surréaliste, si l'on peut dire. Ma rencontre avec l'oeuvre de Klee a été l'événement le plus important de ma vie. Grâce à son influence, ma peinture s'est libérée de toutes les contraintes terrestres. Klee m'a permis de comprendre qu'une simple tache, une spirale, voire un point, pouvait constituer le sujet d'un tableau, au même titre qu'un visage, un paysage ou un monument... ». L'« Éloge de Paul Klee » répond à l'essai critique « Paul Klee, ou la passivité » de René Renne et Claude Serbanne paru l'année précédente dans les Cahiers du Sud. En faisant l'éloge de Klee, Masson projette ses idées : l'émancipation des valeurs conventionnelles et l'emploi de techniques originales tirant parti de résultats accidentels et utilise le terme « infinir », car il décèle dans l'oeuvre de Klee une conception particulière du temps et comprend que son oeuvre possède une énergie constamment dynamique en perpétuelle transformation. Le manuscrit est signé et daté « André Masson (mai 1946) » ; quelques ratures et ajouts ainsi qu'une mention au crayon de couleur vert de mise en forme du texte. Will Grohmann, Paul Klee, Paris: Cahiers d’art, 1929 ; André Masson, «Éloge de Paul Klee,» in: Fontaine, no. 53, June 1946, pp. 105-108 ; Renne-Serbanne, «Paul Klee ou la passivité,» in: Les Cahiers du Sud, no. 273, September 1945, pp. 670-676. ‎

Librairie Walden - Orléans
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EUR1,500.00 (€1,500.00 )

‎Signé par Paul Valéry. VALERY Paul (Sète 1871 - Paris 1945).‎

Reference : 11844

(1936)

‎Les merveilles de la mer. Les coquillages. 15 planches en couleurs d'après les aquarelles de Paul A. Robert. Texte de Paul Valéry de l'Académie française.‎

‎ 1936 Paris, Librairie Plon "Collection Iris", 1936; grand in-8 agrafé de 16 pages de texte et 15 planches en couleurs. Couverture rempliée crème illustrée en couleurs au 1er plat, titre en violine et gris, dos muet. Très belle illustration d'après les aquarelles de Paul André Robert (1901-1977). Envoi autographe signé de Paul Valéry sur le faux-titre : "Ex Libris Louis Thuillier Paul Valéry".‎


‎Petites déchirures en bordure de la marge supérieure du 1er plat de la couverture, sans manque, les agrafes ont laissé de petites traces de rouille en marge interne du 1er plat. (Reu-Bur) ‎

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EUR300.00 (€300.00 )

‎BERNARDIN de SAINT-PIERRE‎

Reference : 30655

(1789)

‎Paul et Virginie.‎

‎ Reliure de présent en maroquin rouge, avec envoi autographe signé Paris, De l'Imprimerie de Monsieur, 1789. 1 vol. (75 x 130 mm) de 1 f., xxxv et 243 p. Maroquin rouge, deux filets dorés bordant une chaînette d'encadrement dorée sur les plats, dos lisse orné, pièce de titre de maroquin vert, monogramme doré « SM » au centre des plats, roulette intérieure (reliure de l'époque). Première édition séparée. Elle est ordonnée par Pierre François Didot, le jeune, avec une édition luxueuse sur un papier de choix provenant de ses papeteries d’Essonne, qu’il enrichit d’illustrations – l’édition sur papier ordinaire n’en contenant pas : 4 figures de Moreau le Jeune, la dernière en collaboration avec Joseph Vernet, gravées sur cuivre par Girardet, Halbou et Longueil. Envoi signé : « pour Mademoiselle Mesnard de Conichard, par l’auteur, De Saint-Pierre ». ‎


‎Paul et Virginie est une oeuvre difficile à définir, y compris pour son auteur qui y voyait un « petit ouvrage », une « fable essai » et même une « espèce de pastorale ». L'ouvrage fut d'abord écrit comme un complément à une deuxième édition à Voyage à l'île de France, puis à la troisième édition des Études de la nature, dont il devait illustrer les thèses par la fiction. Il entendait mettre en application « les lois des Études de la nature au bonheur de deux familles malheureuses » par le dénouement tragique qu'il donne à son récit, en brisant le rêve d'un idylle. Il se démarque ainsi du goût de l'époque pour la pastorale, même s'il applique les règles de simplicité du genre : deux jeunes gens grandissent ensemble dans le cadre enchanteur et paisible de l'île de France, l'île Maurice actuelle, s'aiment, sont séparés par la civilisation, avant d'en être définitivement écartés au cours du drame du Saint-Géran. Bernardin de Saint-Pierre - formé aux récits de Daniel Defoe et de son Robinson Crusoé - embarqua, à douze ans, pour la Martinique sur le bateau d'un de ses oncles : une révélation, mais aussi la découverte du gouffre séparant l'imagination de la réalité, supportant mal les ardeurs du climat, les fatigues du voyage et surtout la discipline des navires. Après cette déconvenue, ses parents le mettent au collège des jésuites de Caen, où il caresse un temps l'idée de devenir missionnaire, puis à Rouen, avant d'entrer en 1757 à l'École nationale des ponts et chaussées. Il intègre à la fin de ses études le corps des ingénieurs militaires. Dès 1773, il dénonce le crime de l'esclavage dans son Voyage à l'Île de France, à l'Île Bourbon, au cap de Bonne-Espérance : il fait partie des auteurs qui s'opposent alors sans ambiguïté à l'esclavage et au racisme au nom de l'égalité de tous les hommes, d'autant que, natif du Havre, l'un des principaux ports où transitent les esclaves, il n'a eu de cesse d'en voir les ravages. Il y reviendra dans Paul et Virginie, faisant des esclaves Marie et Domingue, qui vivent en harmonie avec leurs maîtres, des figures importantes de son récit. Ce récit inspirera nombre d'écrits postérieurs, de l'Atala de Chateaubriand au Coeur simple de Flaubert. « Comme la plupart des chefs-d'oeuvre, celui-ci apporte au genre et à la mode qu'il illustre à la fois son accomplissement et son démenti. » (Jean Favre) Paul et Virginie connut un vif succès dès sa publication et fut un des livres les plus réédités jusqu'au début du XXe siècle ; et preuve de son immense réussite, Lamartine, Balzac et Flaubert ont fait de leurs héroïnes, Graziella, Véronique et Emma Bovary, des lectrices de Paul et Virginie : « Emma cherchait à savoir ce que l'on entendait au juste dans la vie par les mots de félicité, de passion et d'ivresse, qui lui avaient paru si beaux dans les livres. Elle avait lu Paul et Virginie et elle avait rêvé la maisonnette de bambous, le nègre Domingo, le chien Fidèle, mais surtout l'amitié douce de quelque bon petit frère, qui va chercher pour vous des fruits rouges dans des grands arbres plus hauts que des clochers, ou qui court pieds nus sur le sable, vous apportant un nid d'oiseau. » (Madame Bovary, [1857], p. 36). Très bel exemplaire, de grande rareté avec envoi circonstancié et des plus pertinents : Mlle Mesnard était la fille d'un correspondant et ami proche de Bernardin de Saint-Pierre, François Mesnard de Conichard (1727-1792), premier commis des Finances. Ce dernier était intervenu en faveur de Bernardin de Saint-Pierre pour l'obtention d'une gratification annuelle à son retour de l'Île Bourbon ; la correspondance entre les deux hommes témoigne d'une longue amitié et d'une relation quasi-familiale. C'est à François de Conichard que l'auteur, à l'automne 1784, envisage et propose de dédicacer ses Études de la nature. Très élégamment, il la refusa, ayant « toujours évité par-dessus tout de faire parler de moi et je suis trop vieux pour changer ma marche à cet égard, je vous supplie donc qu'il ne soit plus question de cette dédicace [...]. N'en parlons plus je vous prie » (lettre à Bernardin de Saint-Pierre, octobre 1784). L'auteur respecta la demande et offrit la dédicace à un autre de ses amis, Hennin. Néanmoins, lors de la troisième édition, parue en 1788 et contenant au quatrième tome le roman de Paul et Virginie, Bernardin de Saint-Pierre réussit discrètement à faire imprimer sa reconnaissance envers « mes respectables amis MM. Hennin & Mesnard de Conichard » ; et à offrir, l'année suivante et pour cette première édition séparée du roman, cet exemplaire à la fille de son dédicataire. Une lettre de Mesnard à Bernardin en date du 30 avril [1773] fait mention de sa fille pour la première fois, et Bernardin de Saint-Pierre lui-même parle de « Mlle Mesnard fille d'un de mes meilleurs amis et que j'ai vu naître » dans une lettre à l'auteur du poème « Le Tombeau de Virginie » en 1789 (citée dans Rebecca Ford, « Une correspondance amicale : Bernardin et Mesnard de Conichard », Autour de Bernardin de Saint-Pierre, Mont-Saint-Aignan, P.U. de Rouen et du Havre, 2010). Cette dernière n'a, au moment de la parution du volume, que dix-sept ans : soit l'âge exact de l'héroïne de Bernardin de Saint-Pierre, puisque Virginie quitte l'île à quinze ans pour n'y revenir que deux ans et demi plus tard pour la fin tragique que l'on sait. Marie-Françoise Mesnard de Conichard épousera quelques années plus tard Jean-François Pierre Puy de Rosny, futur baron d'Empire. En 1792, Bernardin de Saint-Pierre épousera quant à lui la fille de son imprimeur Didot, avec laquelle il aura deux enfants qu'il prénommera, naturellement, Virginie (née en 1794) et Paul (né en 1798). Des bibliothèques Marie-Françoise Mesnard de Conichard ; Pierre Bergé (ex-libris ; II, n° 191). Tchemerzine V, p. 649 ; Cohen, 931. ‎

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‎Balzac, Mérimé, Stendhal, Napoléon, St. Vincent de Paul, Casanova, Edgar Poe, Paul de Molènes, Henry IV, Ch. Baudelaire.‎

Reference : 31668

‎Les Caprices de la Gina, pages retrouvées présentées .- Viccolo di madama Lucrezia - Vanina Vanini : chronique italienne - Lettres de Napoléon à Joséphine - L'Évangile selon Saint Vincent de Paul d'après les entretiens spirituels - Mon cher lettres d'amour, de Manon Balletti .- Le Corbeau, par Edgar Allan Poe ; traduit par Ch. Baudelaire .- Réflexions sur l'Imitation de N.S.J.C - Lettres d'Henry IV à Corysande - Mon coeur mis à nu : journal intime.‎

‎ Maxilien Vox, 1944/1945, Collection "Brins de Plume", In/6 broché, oblong, couverture remplié, tirage mille exemplaires sur B.F.K. Rives tiré pard Daniel-Luxe à Lille pour Union Bibliophile de France, tirage numéroté. N° 1 Les Caprices de la Gina, par H. de Balzac, texte retrouvées par Marcel Bouteron, 63 pages (tache sur la couverture) - N° 2.- Viccolo di madama Lucrezia, par Mérimée 74 pages - N° 3 Vanina Vanini : chronique italienne, par Stendhal, 80 pages - N° 4 Lettres de Napoléon à Joséphine, 56 pages - N° 5 L'Évangile selon Saint Vincent de Paul d'après les entretiens spirituels, 56 pages - N° 6 Mon cher Casanova : lettres d'amour, de Manon Balletti, 58 pages - N° 7 Le Corbeau, par Edgar Allan Poe ; traduit par Ch. Baudelaire, 58 pages - N° 8 Réflexions sur l'Imitation de N.S.J.C., par Paul de Molènes ; (préf. de Barbey d'Aurevilly et postface par le général du Barail) 56pages - N° 9 - Lettres d'Henry IV à Corysande : 1585-1597, 56 pages - N° 10 Mon coeur mis à nu : journal intime, par Ch. Baudelaire, 69 pages.‎


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EUR125.00 (€125.00 )

‎[Jarach paul] - ‎ ‎(JARACH Paul) - VARIOT Jean.‎

Reference : 11177

(1948)

‎La Vénus de Praxitèle: Roman-bouffe de Jean Variot, orné de lithographies de Paul Jarach / Madame Candaule : Roman-bouffe de Jean Variot, orné de lithographies de Paul Jarach‎

‎ 1948 Paris, Henri Lefèbvre, 1948; 2 volumes in-8° en feuilles, couvertures rempliées illustrées d'une lithophraphie en sépia, cahque volumes sous chemise cartonnée jaune avec titre en noir au dos, les 2 volumes placés dans un étui de carton vieux-rose; ex-libris orné “ Soussoune Huuyberechts “, à l'intérieur du 1er plat des chemises cartonnées. (4) - 220 - (4)pp. - (1) f. ; (4) - 97pp.- (3)pp. - (1) f. Illustré dans et hors texte de lithographies de Paul Jarach tirées en sépia. Petites rousseurs à la couverture du second volume, sinon très bon état.‎


‎Tirage total à 300 exemplaires numérotés sur papier du Marais, plus 22 exemplaires de collaborateurs. Ici 1 des 276, comportant au 1er feuillet blanc de chaque volume un long envoi autographe signé de Jean Variot à Madame Suzanne Huyberechts, daté du 10 février 1949. (Reu-Bur) ‎

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