Bruxelles, Dupuis, 1969; in-4, 48 pp., broché, couverture illustr. Reed,album offert par total, usure coiffe plus scotche de renfort.
Reference : 200805578
Reed,album offert par total, usure coiffe plus scotche de renfort.
Librairie Lire et Chiner
Mme Laetitia Gorska
36 rue Marchands
68000 Colmar
France
03 89 24 16 78
commande par internet, retrait possible au magasin. Les colis sont expédiés dès réception du règlement après entente concernant les frais de port, envoi vers la France mais aussi vers l'étranger nous contacter pour le calcul des frais d'envoi
Fleury-Mérogis 2 Décembre1976, 21x29,5m, une page recto verso.
| "Le pire que l'on puisse faire à un juge, c'est lui enlever toute autorité devant les autres et crois moi il l'a bien compris" |<br>* Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du jeudi 2 Décembre 1976, 65 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, se sent mal et démuni loin de sa compagne et de toute chaleur humaine : "Ce soir je suis très mal foutu... il est 19 heures et je me couche juste après la fin de ta lettre... de rien de grave... juste une grande fatigue (à rien faire)" En bon père, Jacques Mesrine se réjouit du bonheur de sa fille : "Je suis heureux que sa veste lui plaise... de plus c'est la mode... son Loïc chéri ne va plus la reconnaître..."et ne se montre pas plus étonné et plutôt amusé que sa fille veuille embrasser la religion juive : "Comme cela la puce veut prendre la religion juive... encore une idée à elle... oui je sais elle a fait croire à ses copains qu'elle était juive... car eux l'étaient...si cela l'amuse je la laisse libre... mais ça démontre aussi un dédoublement de personnalité..." L'ennemi public N°1 évoque avec une certaine fierté sa dernière confrontation avec son juge, farouche revanche de l'insoumis contre l'univers pénitentionnaire qui broie les hommes : "Aujourd'hui j'ai eu la visite du juge Madre. Tu aurais rigolé, car il a eu droit à tout mon vocabulaire... il en perdait la parole (j'ai pris mon pied (sic)) A un moment il me dit "mais c'est quand même moi qui commande... Réponse de ton bibi : "Ici pédé" c'est moi ton patron". Il était vert et les flics se marraient comme des perdus." et contre toute soumission à une quelconque forme de pouvoir ou de violence : "Le pire que l'on puisse faire à un juge, c'est lui enlever toute autorité devant les autres et crois moi il l'a bien compris. Il était venu avec 5 anti-commandos... L'un avait la bombe de gaz à la main... au cas où? Loin d'être impressionné... cela me rend con..." L'éternel indigné achève sa lettre par un beau témoignage de tendresse pour sa bien-aimée : "Là ma puce je vais prendre mon lit en marche...Ton vieux voyou pose ses lèvres sur le tiennes en une douce caresse d'amour. je t'adore petite fille... car nous sommes réellement le "couple" et plus encore. Bonne nuit chaton." Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine toute empreinte de révolte et d'insoumission. - Photos sur www.Edition-originale.com -
1788 plaq. in-4, 40pp., br. Toulouse Bellegarrigue Avril 1788.
Le ton du juge fait parfois penser à celui du Figaro de Beaumarchais...
Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03
Document signé John G. Thompson Judge & J. P., et portant son sceau de papier. District of Gaspé. Carleton, 7 juillet 1831. 1f. in-plano (30.6cm) (1) p. en partie imprimée. Rédigé en anglais. Très bel état. [ Mandat d'arrêt de Thomas McGuire, tavernier de Carleton, délivré par le juge de paix Thompson suite à la déposition de Fabien Allin de Carleton, Comté de Bonaventure, qui craint pour sa vie vu les menaces qu'il reçut à 2 reprises à l'effet qu'il serait abbatu par pistolet. (John Gawler Thompson (1787-1868), juge et juge de paix du District de Gaspé de 1827 à 1868, avait été le compagnon d'enfance de Philippe Aubert de Gaspé, père, où il consacre plusieurs pages à leurs escapades dans les « Mémoires ». Il était le fils du commissaire général James Thompson qui, en 1828, en sa qualité de seul survivant de la bataille des Plaines d'Abraham et en tant que grand maître adjoint des francs-maçons, eut l'honneur de la pose de la 1ère pierre du monument Wolfe/Montcalm. Le député de Bonaventure J.-F. Deblois demanda au gouverneur Gosford la destitution du juge Thompson en 1835 pour s'être immiscé dans la dernière élection « avec les ennemis déclarés des libertés du peuple ». Cette histoire prit de l'ampleur et se termina à Londres devant le comité judiciaire du Conseil privé qui décida de le garder dans l'exercise de ses fonctions à la veille des troubles politiques de 1837-38. Deblois avait donné son vote pour les 92 Résolutions et Thompson était reconnu comme ami de l'ancien gouverneur Dalhousie. cf.: DBC VIII p. 230-231.]
Paris, Imprimerie de Migneret, 1820 n-4, titre, 30 pp., déreliés. Feuillet de titre détaché.
Très rare thèse de droit de l'avocat Guillaume Routhier (1776-1854), qui postulait à la succession d'Eustache-Nicolas Pigeau (mort en décembre 1818) à la chaire de procédure civile et de législation criminelle.Aucun exemplaire au CCF. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, éd. Fayard, 2010, in-8, cartonnage souple éd., couv. ill. coul. éd., 260 pp., "carrière du juge Ti Jen-Tsie", Une nouvelle aventure du juge chinois. Très bon état