Bruxelles, Dupuis reperages, 1995; in-4, 48 pp., cartonnage de l'éditeur.
Reference : 200704999
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Buvard "Lot de 4 buvards publicitaires pour des marques d'eau et de sirop : ""Vitelloise, l'eau qui chante et qui danse"" - ""Grande source Vittel : La santé en bouteille"" - ""Bassin de Vichy : Pour être en forme, adoptez les eaux et pastilles marquées de la vasque bleue"" et ""Une crème de cassis à l'eau : l'Héritier Guyot, le plus agréable des rafraîchissements"" ; quelques rousseurs éparses sur les buvards, par ailleurs bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."
Buvard "Lot de 5 buvards publicitaires sur le thème de l'alcool : ""Buvez le cassis L'Héritier-Guyot"" // ""Bouvet-Ladubay, grand vin d'excellence"" // ""Bénédictine, la grande liqueur française"" // ""Cointreau"" // ""Comas frères"", vendeur de fruits, légumes et alcools ; quelques rousseurs sur les bords du buvard Bénédictine, nombreuses rousseurs sur le buvard Cointreau, par ailleurs bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."
Buvard "Lot de 4 buvards publicitaires sur le thème de l'alcool : ""Bénédictine, la grande liqueur française"" // ""Buvez le cassis L'Héritier-Guyot"" // ""Courvoisier cognac, the brandy of Napoleon"" // ""Chauvet, le rhum de grande classe"" ; coin corné et quelques rousseurs éparses sur le buvard ""Bénédictine"", pliures et petites déchirures sur les bords du buvard ""Chauvet"", par ailleurs assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."
Paris Éditions René Kieffer 1926 In-8° (240 x 190 mm), [2] ff. bl. - [1] pl. - 96 pp. - [2] ff. - [97] pl. - [2] ff. bl., veau rouge estampé, dos lisse orné, décor doré à la plaque sur les plats, contregardes et gardes de papier marbré, tête dorée, couvertures et dos conservés (Reliure de René Kieffer, étiquette estampée sur la première garde blanche).
L'héritier a-t-il le diable aux trousses ? Un des 50 exemplaires de tête sur Japon (n° 48) comprenant 2 aquarelles originales inédites (soit une de plus qu'annoncé à la justification) et une suite en noir. Suivent 50 sur vélin de cuve avec 1 suite et 500 sur vélin pur fil, pour un tirage limité à 600 exemplaires numérotés. L'ouvrage est truffé de 2 lettres autographes signées et d'une carte postale autographe signée de Paul Quint, illustrateur de l'ouvrage. L'une porte sur la remise des illustrations de L'Héritier du diable, l'autre, datée de 1929, sur l'avancée de l'aquarelle originale destinée à Kieffer et sur sa vie à Strasbourg. La carte postale représente la kermesse de la ville de Hrdt. L'ouvrage est habillé d'une reliure éditeur dont la surface est entièrement estampée d'un motif imitant une peau de reptile et dont le décor à la plaque est ici frappé à l'or. Il met en scène dans une arcade une tête de diable de profil, tenant un sac rempli de monnaie sur lequel est inscrit « 100 000 ». L'exemplaire est décrit par Sanjuan. Cette édition présente un texte entièrement calligraphié par l'illustrateur. Les dessins ne furent pas au goût de tout le monde comme en témoigne cette citation de Bertrand Guégan, critique littéraire : « Sur la couverture en papier marbré, une hideuse main, d'un rouge hideux, jette des pièces d'or à travers un guichet. Cela est d'une vulgarité lamentable ; le reste du volume l'est d'avantage encore et veut imiter Joseph Hémard. » Guégan (Bertrand), « L'il du bibliophile », dans Arts et métiers graphiques, Paris, 15 juillet 1929 (n° 12) (Sanjuan p. 748). Collaborateur de plusieurs journaux humoristiques (Sourire, Rire, Fantasia, Mode illustrée, etc.), Paul Boiraud, dit Quint (Paris : 1884 - Strasbourg : 1953), fait ses armes en tant qu'illustrateur chez Georges Crès avec Le Rouge et le Noir (1922). Pour Kieffer, il illustre 3 ouvrages de Balzac : Le Moyne Amador, dans un premier temps, puis Le Père Goriot (1922) dans un style moins truculent, et enfin L'hériter du diable. Chez Messein, Quint orne d'aquarelles les Chansons pour Elle de Verlaine (1923) ; Kieffer, qui souscrit le tirage de tête, a vraisemblablement contribué à la conception de cette dernière édition. Quint s'installera à Strasbourg, où une exposition lui sera consacrée en 1954. L'Héritier du diable est un très court roman de Balzac, inspiré du langage rabelaisien, qui s'inscrit dans Les Contes drolatiques. Monod 840 ; Sanjuan 82 (planches XXII et LXXII) Mors légèrement frottés
Nouvelle édition, revue, corrigée et augmenté de quantité de pièces omises dans les éditions précédentes. Tome VI, complet en lui-même, qui contient; Les comédies : Le marquis ridicule, l’écolier de Salamanque, l'Héritier ridicule, Jodelet Duelliste Paul Scarron, un écrivain et dramaturge français du XVIIe siècle, est connu pour ses comédies qui parodient les mœurs et les types sociaux de son temps. Voici un résumé des quatre comédies mentionnées : "Le Marquis Ridicule" est une satire de la noblesse provinciale. La pièce met en scène un marquis vaniteux et prétentieux, obsédé par sa noblesse et ses privilèges, mais qui manque de véritable distinction personnelle. À travers des situations comiques, Scarron se moque de l'arrogance et de l'ignorance des petits nobles, tout en soulignant le contraste entre l'apparence et la réalité. "L’Écolier de Salamanque" est une comédie inspirée du genre espagnol "la comedia de capa y espada" (comédie de cape et d'épée), qui mélange l'intrigue amoureuse et les éléments de farce. L'histoire suit les mésaventures d'un étudiant de Salamanque, un personnage typique de l’époque, souvent décrits comme des jeunes hommes fripons, rusés et dévergondés. La pièce explore les thèmes de l'amour, du déguisement et des malentendus, caractéristiques du théâtre comique de l'époque. "L’Héritier Ridicule" se concentre sur un personnage qui, tout en étant l'héritier d'une grande fortune, manque de qualités personnelles et de bon sens. Cette comédie met en lumière les abus de pouvoir et l'absurdité des héritiers oisifs, souvent plus intéressés par les apparences que par les valeurs morales ou le travail. Scarron critique ici la société où l'argent et le statut social priment sur le mérite personnel. Dans "Jodelet Duelliste", le personnage principal, Jodelet, est un valet de comédie traditionnel, rusé et astucieux. La pièce tourne autour des duels, une pratique courante parmi les nobles de l'époque, et utilise le personnage de Jodelet pour tourner en dérision la prétention et l'honneur exagéré des duellistes. Scarron se sert de Jodelet pour montrer que la bravoure affichée et les codes d'honneur peuvent être ridicules, surtout lorsqu'ils sont suivis sans réflexion. Ces comédies sont caractérisées par leur humour satirique, leur critique sociale et leur style burlesque, qui plaisaient beaucoup au public de l'époque. Scarron utilisait souvent des personnages stéréotypés pour caricaturer les défauts de la société de son temps. vol in-12, 14x8 cm, relié pleine basane époque, petit accroc, 382pp, bel état intérieur, Amsterdam, Chez J.Wetstein & Smith, 1737 ref/28