, Grasset, 1974; in-8, 351 pp., br.
Reference : 200601556
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Paris, L. Boulanger, 1885. In-12 de 334 pp., demi-chagrin brun, dos lisse orné (reliure de l'époque).
Édition originale. « Par un rédacteur en chef du Figaro. Sont passés en revue, les membres, les soldats, les femmes, les "sectaires", le musée de la Commune. Ces survivants sont différemment traités : 10 pages pour Vallès, 120 pour Louise Michel qui a manifestement la sympathie de l'auteur ». Très bon exemplaire.Le Quillec, 973 ; Del Bo, p. 111.
Paris, L. Boulanger, 1885. In-12 de 334 pp., demi-percaline rouge Bradel, dos lisse orné (reliure de l'époque).
Édition originale. « Par un rédacteur en chef du Figaro. Sont passés en revue, les membres, les soldats, les femmes, les "sectaires", le musée de la Commune. Ces survivants sont différemment traités : 10 pages pour Vallès, 120 pour Louise Michel qui a manifestement la sympathie de l'auteur ». Dos taché, petit accident sur un mors sinon très bon exemplaire.Le Quillec, 973 ; Del Bo, p. 111.
Hachette, 1955, fort in-8°, 512 pp, 8 pl. de photos hors texte, une carte des camps sur double page, broché, bon état (ouvrage couronné par l'Académie française)
Par une des figures les plus marquantes de l’historiographie française de la Déportation et du système concentrationnaire nazi : Olga Wormser-Migot (1912-2002). Son œuvre – enquêtes, articles, ouvrages et contributions multiples à des publications collectives – fut immense à la fois par son étendue et par sa richesse. Elle fut, avec quelques autres pionniers, aux fondements d’une historiographie qui, depuis lors, n’a fait que s’amplifier, s’approfondir et se diversifier. Signalons quelques-uns de ses travaux : Tragédie de la Déportation 1940-1945. Témoignages de survivants des camps de concentration allemands (1954, en collaboration avec Henri Michel), Le retour des déportés. Quand les alliés ouvrirent les portes, (1965), Le système concentrationnaire nazi 1933-1945 (1968), L’ère concentrationnaire (1970), l’ère des camps (1973), Assez mentir ! (1979 en collaboration avec Vercors). — Olga Wormser-Migot (1912-2002) fut l'une des pionnières de la recherche sur le système concentrationnaire nazi comme sur le génocide des juifs, et ses apports restent aujourd'hui essentiels. Pour le film "Nuit et Brouillard", elle a été, avec Henri Michel, dans le cadre du Comité d'histoire de la deuxième guerre mondiale, la conseillère historique, mettant dans le désir de faire ce film "tout son enthousiasme et son lyrisme"(Alain Resnais), tout son savoir sur les déportés et sur les camps, acquis notamment dans la confection, avec Henri Michel, de l'anthologie "Tragédie de la déportation, 1940-1945. Témoignages de survivants des camps de concentration allemands" (Hachette, 1954). C'est elle qui écuma les divers dépôts d'archives dans toute l'Europe, acquérant ainsi une connaissance intime de cette documentation. Elle mena ensuite à bien "avec un exceptionnel courage" (P. Sorlin) la rédaction d'une thèse d'Etat, "Le Système concentrationnaire nazi. 1933-1945" (PUF, 1968), qui reste encore un ouvrage de référence. (Le Monde, 7 août 2002)
Toulon, Soleil, 1997; in-4, 140 pp., cartonnage de l'éditeur. REED intégrale tome 1 : BO ' CAPTAIN : qui comprend les 3 premier tome : au titre suivant : le secret de Kermadec / la route des esclaves/ l'île de la liberté : album comme neuf.
REED intégrale tome 1 : BO ' CAPTAIN : qui comprend les 3 premier tome : au titre suivant : le secret de Kermadec / la route des esclaves/ l'île de la liberté : album comme neuf.
Grasset, 1974, gr. in-8°, 351 pp, traduit de l'anglais, broché, couv. illustrée à rabats, bon état. Edition originale en français
"Le 13 octobre 1972, à la suite d'une erreur de pilotage, l'avion qui transportait une équipe uruguayenne de joueurs de rugby, leurs amis et leurs parents, s'écrasa dans les Andes, il y avait quarante-cinq personnes à bord. Vingt-sept d'entre elles survécurent à l'accident. Ils ne savaient pas où ils se trouvaient, n'avaient aucune provision, aucun moyen de signaler leur position. Les recherches conduites par l'Uruguay, le Chili et l'Argentine furent inutiles. Pour subsister, les survivants entreprirent de manger leurs morts. Certains ne purent s'y résoudre aussitôt, mais bientôt, un à un, il leur fallut céder. Un second malheur, le 29 octobre, les frappa. Une avalanche submergea les débris de l'avion où ils dormaient et huit d'entre eux moururent ce jour-là. Trois autres devaient succomber aux suites de leurs blessures, il n'y avait dans l'avion ni médicaments ni instruments ni chirurgien qualifié. Les parents,. ou du moins ceux d'entre eux qui ne croyaient pas à la mort de leurs enfants et que soulevait une foi indomptable, explorèrent les Andes pied à pied autour des lieux où ils supposaient que l'avion était tombé. Les recherches privées échouèrent comme avaient échoué les recherches officielles. Il fallut que les survivants constituent un corps expéditionnaire comprenant les trois, puis les deux des plus vaillants d'entre eux, pour escalader une des plus hautes montagnes des Andes, à 4600 mètres d'altitude avec les moyens qui défient la vraisemblance et la raison - et pour arriver enfin dans une haute vallée chilienne, au village de Los Maitenes. Il en restait quatorze autres sur la montagne, on alla les chercher en hélicoptère. On tint leur sauvetage, deux jours avant Noël, pour un miracle. Quand les journaux révélérent, le 26 décembre, qu'ils avaient dû manger leurs morts pour survivre. l'émotion fut énorme et même le scandale. L'Église catholique prit cependant fait et cause pour les rescapés."