Paris, Presses de la renaissance, 1988; in-8, 428 pp., broché, couverture illustr. Roman traduit de l'américain par Monique Lebailly.
Reference : 200507129
Roman traduit de l'américain par Monique Lebailly.
Librairie Lire et Chiner
Mme Laetitia Gorska
36 rue Marchands
68000 Colmar
France
03 89 24 16 78
commande par internet, retrait possible au magasin. Les colis sont expédiés dès réception du règlement après entente concernant les frais de port, envoi vers la France mais aussi vers l'étranger nous contacter pour le calcul des frais d'envoi
Lund Humphries, London Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1966 Book condition, Etat : Bon hardcover, editor's full blue printed clothes, no dust-jacket small In-4 1 vol. - 314 pages
1 portrait of Werner von Siemens in frontispiece, 32 plates out of text (complete), with black and white illustrations, photographs mainly, 2 plates recto-verso with fac-simile of manuscript letters (complete, one is on 2 pages and folded), few text-figures also 1st English edition, 1966 Contents, Chapitres : Introduction by Ernst von Siemens (Munich, 1966) - Childhood and youth - Military service - 1848 - The first telegraph lines - The Russian undertakings - Submarine cables - Scientific and technical work in the 1850's and 1860's - Public activity - Indo-European telegraph lines and the Caucasus - Dynamo-electric machines, the 1870's, evening of life - The family of Werner von Siemens - Important dates - Illustrations and notes - List of scientific and technical publications - Index - Ernst Werner von Siemens, né le 13 décembre 1816 à Lenthe (aujourd'hui un quartier de Gehrden, près de Hanovre), mort le 6 décembre 1892 à Berlin, est un inventeur et industriel allemand, magnat du génie électrique. Avec Alfred Krupp et Friedrich Bayer, il est l'un des piliers de l« époque des fondateurs ». - En 1843, il conçoit aussi une machine pour garnir les câbles en cuivre d'un revêtement fait avec de la gutta-percha, une gomme issue du latex naturel. Ces câbles lui servent à mettre au point des mines marines actionnables à distance, qu'il fait mouiller au large du port de Kiel pour tenir les navires danois à distance. Il déploiera deux courtes lignes sous-marines du même type, traversant le Rhin et le port de Kiel avec des câbles utilisant cette technologie. - (...) Entre-temps, à la demande des militaires, il commence par poser en 1847 un câble souterrain entre Berlin et la ville de Grossbeeren, dans sa banlieue. Le câble est protégé par la technologie de Siemens. Satisfaite, l'armée lui demande de fonder le 1er octobre, avec Johann Georg Halske la société Telegraphenbauanstalt von Siemens & Halske qui deviendra par la suite l'entreprise Siemens. - (...) En 1866, Werner Siemens établit le principe de la dynamo électrique. L'un de ses professeurs à l'école d'artillerie n'était autre que le physicien Gustav Magnus, à qui Siemens expédia un exemplaire de cette dynamo. Magnus vit tout l'intérêt de cette invention et s'efforça de publier cette découverte, d'abord à Berlin puis à Londres. En 1866, Werner Siemens et ses frères investissent dans un grand projet télégraphique, associant l'Orient à l'Europe, l'Indo-European Telegraph Company. La société doit prolonger le projet de câble de Reuters reliant Lowestoft à l'île allemande de Norderney puis Hanovre et Hambourg et qui affiche une rentabilité de 19 % dès 1868. Via l'Iran, il doit relier Bombay à Londres, en utilisant l'Indo-European Telegraph Company des frères Siemens, qui est très bien valorisée à son entrée en Bourse, avec 450 000 sterling. Les frères Siemens détiennent 20 pour cent de l'entrepise et Paul Julius Reuters est aussi associé. En 1877, Siemens obtient le brevet du haut-parleur électrodynamique26. En 1879, lors de l'exposition industrielle de Berlin, Siemens & Halske met en service un petit train pour les visiteurs qui est tracté par la « première locomotive (électrique) digne de ce nom » dont le moteur est alimenté en énergie par une installation fixe. near fine copy, no dust-jacket, else fine, inside is clean, no markings, complete of all the plates, this book is the best reference on Werner von Siemens
Augsburg, l'auteur, (Verlag Jeremias Wolff) s.d., ca. 1730-31, 100 x 35 cm, 125 x 55 avec cadre, Prächtige Kupferstich Vedute von ‘Freiburg im Üchtland’, nach Friedrich Bernhard Werner durch Wolffs Erben verlegt. ƒ Gerahmt.. - Encadrement baguette en bois ornée avec filet nacre, passepartout.
Im gut fundierten Aufsatz v. Frau Marsch über den Zeichner Werner, werden fast alle Veduten genannt, die Werner von seinen Reisen mit nach Hause nahm, und durch seine Kunstverleger Wolff und Erben herausbrachte. Allerdings fehlt eigenartiger Weise die schöne Ansicht von Freiburg in der Schweiz die wir hier anbieten und die wohl um 1730-32 verlegt wurde. ‘ Im Frühjahr 1731 trat Werner seine Rückreise (aus Italien) an. Über die Schweiz - Bern und Solothurn - reiste Werner nach Augsburg, wo er am 9 .Juli 1731 ankam - zu grosser Freud und Vergnügen meiner Herren Kunstverleger ob sogetaner grossen und schweren italienischer Reise, welche mich nach befundener Rechnung beinahe 500 fl. gekostet (hat)’. (Angelika Marsch - ‘Friedrich Bernhard Werner, 1995).Jeremias Wolff (1663-1724) ...unterhielt einen bedeutenden Kupferstichverlag in Augsburg, den nach seinem Tode sein Schwiegersohn Joh. Balth. Probst übernahm, und für den die besten Stecher der Zeit arbeiteten. Ob einige der nur W.'s Adresse (Jer. Wolff exc.) tragenden Stiche von ihm selbst herrühren, läßt sich nicht entscheiden. Thieme/Becker XXXV-VI/206. Schöpfer, L’Image de Fribourg, p.20, avec ill. Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Wim Van Mulders, Mark Verminck, Isabelle De Baedts, Luc Derycke, Koen Leemans Werner Mannaers
Reference : 25606
BE, MER.paperkunsthalle , 2010 Hardback, bleu cover with black text, 245x165mm, 136p, in English, 60 illustrations in colour. ISBN 9789076979434.
Hoewel kunstenaar Werner Mannaers (? 1954) al zo'n dertig jaar actief is als schilder en tekenaar bleef de interesse van de kunstwereld tot voor kort grotendeels achterwege. Met enkele schitterende publicaties en tentoonstellingen komt daar nu in een rotvaart verandering in. Als postmodern schilder weigert hij consequent in een vakje gestopt te worden. Mannaers is bovendien het typevoorbeeld van de kunstenaar waar zijn en leven voelbaar worden in elke vezel van het canvas of papier. Als in een dagboek verwerkt hij de emoties en tribulaties van de dag in zijn tekeningen. Uitgediept en uitgepuurd vinden die dan een weg in zijn schilderijen. Erudiet en doordrongen van een groot kunsthistorisch besef brengt hij verschillende aspecten, stromingen en invloeden uit kunst, literatuur en filosofie samen. De ene keer gebeurt dat harmonieus en ernstig, de andere keer als een ironiserende clash van beelden, maar doorgaans zonder enig onderscheid tussen hoge of lage cultuur. Published on the occasion of Werner Mannaers' exposition About Flowers
1992 Courbevoie, Théâtre Typographique, 1992, 1 vol. in-4° (320 x 228 mm) broché sous jaquette grise imprimée en noir et illustrée en 3 couleurs, non paginé.Très bel exemplaire.
Tiré à 520 exemplaires, 1 des 280 premiers (N°36) illustrés de lithographies de Werner Brunner, les 220 autres étant illustrés de dessins de Jean-Pierre Guillard (+ XX de tête avec des dessins originaux en marges).12 lithographies dans le texte et une illustration sur calque volant de Werner Brunner.ISBN : 2-909657-00-0.
Genève, Les Editions Noir Sur Blanc / Fondation Martin Bodmer, 2000. Grand in-8, cartonnage imprimé, orné de vignettes couleurs contrecollées. En très belle condition.
"« Masques et Théâtre » est un dialogue entre, d’une part, les masques du créateur Werner Strub (1935-2012) et, d’autre part, les trésors du patrimoine théâtral de l’Antiquité à nos jours que recèle la Fondation Martin Bodmer. Aux incunables (premières éditions des tragédies grecques), aux éditions originales rares de Shakespeare, Corneille ou Molière, aux livres d’art illustrés (Odipe roi ou Antigone par Hans Erni) et aux manuscrits autographes (de Büchner ou de Musset) issus de la collection de la Fondation répondent les créations de Werner Strub qui, loin de se limiter au théâtre, a transformé l’objet « masque » en outil de recherche. Fasciné par les objets (habits, outils, etc.) qui racontent l’histoire de l’humanité, Strub s’est emparé du masque comme d’un miroir magique pour en faire émerger son interprétation de l’Homme. Une mise en regard d’autant plus heureuse et féconde qu’elle permet d’interroger le paradoxe suivant : le masque, symbole le plus fréquemment utilisé pour évoquer le théâtre, n’a finalement que ponctuellement accompagné l’histoire des arts de la scène." * La librairie la Bergerie est sur le point de déménager - c'est la raison pour laquelle nous vous proposons jusqu'à la fin de l'année une remise de 10% sur tout le stock (pour les ouvrages encore en rayons) et de 20% sur ceux qui, déjà mis dans les cartons de déménagement, ne pourront être livrés qu'en début d'année prochaine. La remise sera déduite des prix affichés *