Amsterdam, Aux dépens de la compagnie, 1734; in-12, 416 pp., cartonnage de l'éditeur. Plagiat de la Prusse, éd. or reliure restauration bas du dos refait, plein veau, reliure restaurée, dos à nerfs, tranches rouges.
Reference : 200406407
Plagiat de la Prusse, éd. or reliure restauration bas du dos refait, plein veau, reliure restaurée, dos à nerfs, tranches rouges.
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Amsterdam, Aux dépens de la Compagnie 1734, 155x95mm, 416pages, plein veau de l’époque, dos à nerfs, pièce de titre maroquin rouge, fleurons dorés, plats avec double encadrement de filets dorés, tranches marbrées. Barbier IV-435. Très bel exemplaire.
titre avec vignette imprimé en rouge,
Amsterdam, Aux dépens de la Compagnie, 1735. In-12 de [2]-416pages, demi-basane brune à coins, dos lisse, pièce de titre verte, épidermure, un mors et un coin frottés, accroc à une coiffe. Tampon sur la page de titre, nom de possesseur sur garde.
"Cet ouvrage curieux n'est, à notre sens, que le plus impudent plagiat qui se soit jamais produit dans les lettres françaises, ce qui doit le faire classer, à juste titre, parmi les livres singuliers. La plus grande partie de ce roman est copiée mot à mot dans la Princesse de Clèves, comme on peut le voir dès les premières pages, sauf quelques alinéas omis par le plagiaire, dont le travail n'a pas tout à fait les proportions du chef d'oeuvre de Mme de La Fayette. Une telle supercherie n'a pas encore, que nous sachions, été signalée par les bibliographes" in Barbier IV, 435, qui cite M. Claudin dans les "Archives du bibliophile" 1867. Illustré XXe
[LA FAYETTE (Marie-Madeleine) - POELLNITZ (Karl Ludwig Von)].
Reference : 46404735
(1735)
A Amsterdam, aux dépens de la Compagnie, A Amsterdam, aux dépens de la Compagnie1735 ; in-12, cartonnage bradel moderne, entièrement non rogné. titre, 337 pp. (paginées 335)Seconde édition, la première avait paru l’année précédente chez le même éditeur. “Cet ouvrage curieux n'est, à notre sens, que le plus impudent plagiat qui se soit jamais produit dans les lettres françaises, ce qui doit le faire classer, à juste titre, parmi les livres singuliers. La plus grande partie de ce roman est copiée mot à mot dans La Princesse de Clèves comme on peut le voir dès les premières pages, sauf quelques alinéas omis par le plagiaire, dont le travail n’a pas tout à fait les proportions du chef-d’œuvre de Mme de La Fayette. Une telle supercherie n’a pas encore été, que nous sachions, signalée par les bibliographes” dit Barbier IV-435. “Un plagiat des plus audacieux” dit Gay III, p. 1079, qui précise que seuls les lieux et noms des personnages ont été changés par Poellnitz. Qq. rousseurs, charnière fendue.