Paris, Henri Barda fils Ainé, lib-éditeur, 1837; in-8, 507 pp., cartonnage de l'éditeur. Demi-basane (signé P. nicolas).
Reference : 200402925
Demi-basane (signé P. nicolas).
Librairie Lire et Chiner
Mme Laetitia Gorska
36 rue Marchands
68000 Colmar
France
03 89 24 16 78
commande par internet, retrait possible au magasin. Les colis sont expédiés dès réception du règlement après entente concernant les frais de port, envoi vers la France mais aussi vers l'étranger nous contacter pour le calcul des frais d'envoi
Henri Barba fils ainé, à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1837 Book condition, Etat : Moyen relié, demi-basane, dos lisse et orné de fleurons grand In-8 1 vol. - 507 pages
1ere édition dos frotté, avec quelques epidermures, quelques manques de papier sur les plats - tache d'encre sur la page de titres, et les premieres pages, le texte reste lisible, mouillure dans le coin inferieur du volume affectant uniquement les marges et pas le texte, rousseurs éparses
Les Amis de Sèvres. 1969. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Agrafes rouillées, Intérieur acceptable. 95 pages agrafées.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : L'éducation permanente - Edito - Définition de l'éducation permanente - Place de l'éducation permanente dans la France de demain - Qui sont ces adultes ? - Instruction des adultes et certificat d'études - De l'université à l'industrie - Refléxions d'un praticien - Echos lorrains sur l'éducation permanente - La formation des adultes dans le monde moderne - Conditions et limites de l'enseignement programme au service de l'éducation permanente - Télé-promotion rurale : une expérience d'éducation permanente - Ruraux et éducation permanente - Avenir de l'éducation permanente - La société en mouvement.. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Paris H. Nicolle [Imprimerie d'Adrien Égron] mai 1816 in-8 demi-basane havane, dos lisse orné de guirlandes et fleurons dorés, pièce de titre cerise, coins en vélin vert, tranches citron [Rel. de l'époque], deux charnières entièrement fendues
2 ff.n.ch., xviij pp., pp. 19-236.Édition originale. Depuis que Fontanes l'avait appelé en 1808 à le seconder dans sa tâche de Grand maître de l'Université, Ambroise Rendu (1778-1860) entama une longue carrière dans l'administration de l'Instruction publique, qu'il poursuivit jusqu'en 1850. Il fut pendant un grand nombre d'années inspecteur général de l'Université et entra en 1820 au Conseil royal de l'Instruction publique, où il siégera pendant trente-et-un ans. C'est au titre de ces fonctions officielles qu'il rédigea ce projet de réforme de l'instruction publique.Envoi autographe de l'auteur à Étienne-Denis Pasquier (1767-1862), qui servit tous les régimes de l'Empire à la Monarchie de Juillet
ROUSSEAU - ANDRE (Jean), FENELON (François de Salignac de La Mothe)
Reference : 35901
2 ouvrages reliés en un volume in-8, plein veau de l'époque, dos à 5 nerfs orné de compartiments fleuronnés, 2 pièces de titre de maroquin, guirlande sur les coupes, tranches rouges.
1- Edition originale. "C'est la méthode de Pascal qu'adopte André. Il voit d'emblée le point faible de Rousseau: l'état misérable de l'homme est injustifiable dans le théisme. Rousseau l'attribue bien au libre arbitre et pense avec tous les chrétiens, contre Bayle, que Dieu ayant 'voulu communiquer à ses créatures la dignité de la causalité' (Pascal), la misère avec la liberté est préférable à une servitude dorée" (Monod, p. 415). (Conlon, n° 194. Monod, p. 563).2- Édition à la date de l'originale, conforme à la description donnée par L. Scheler dans ses annotations à Tchemerzine, de l'un des textes fondamentaux de la pensée politique de Fénelon, qu'il composa pour l'instruction du Dauphin.Cet essai avait été préalablement publié en 1734 à 150 exemplaires sous le titre de 'Examen de conscience pour un Roi', joint aux 'Aventures de Télémaque'. Il suscita la fureur de Louis XIV, fut interdit par ordre et supprimé des exemplaires de 'Télémaque'. Il fallut attendre cette année 1747 pour qu'il soit réimprimé. (France Littéraire, III, 99. Peignot, 'Livres interdits', 140. Tchemerzine-Scheler, III, 234).Exemplaire enrichi d'un portrait frontispice de Fénelon d'après Joseph Vivien, gravé par P. Dupin.Provenance: "Madame Roland de Challerange, conseillère au Parlement", avec son grand ex-libris gravé armorié (XVIIIe).Très bon exemplaire, très bien relié à l'époque.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
1 L.A.S. de 4 pages, datée de Besançon, le 22 floréal an XI [ 12 mai 1803 ] "Monsieur, Lorsque je vous ai présenté une pétition pour admettre au Lycée Fortuné Michaud mon petit neveu, j'ignorais que le Général Michaud eut déjà obtenu du Ministre un arrêté en faveur de César Michaud son frère cadet et je n'aurais pas omis de vous en parler vu le petit nombre de places destinées au département du Doubs ; cependant, comme l'éducation du puiné presse plus que celle du cadet, s'il y avait quelque moyen de faire passer d'abord le plus agé, je vous prie de l'indiquer à M. Michaud qui aura l'honneur de vous présenter les deux fils et vous jugerez de ce qui convient le mieux, sauf à revenir à la suite pour le cadet lorsqu'il sera d'un age plus formé pour profiter de l'instruction du Lycée. Si le Père était en état de payer la pension de l'un, je lui dirais de le faire, mais les pertes qu'il a faites l'ont obligé de vendre la maison à Pontarlier et de se retirer à la campagne et s'il est possible de faire quelque chose d'extraordinaire cela ne tirera pas à conséquence, vu les services du Général Michaud et ceux du général Michaud [d'arcan ? ] qui n'a pas jouï longtemps de la place de Sénateur" [ Droz évoque sur une page le rétablissement de l'Académie, les remarques du Préfet à ce propos, il évoque M. LeFevre ] "Ayant été pendant 40 ans a portée de reconnaître l'utilité du premier établissement, je mourrai content dès que l'on aura repris le continuation du Recueil des Monumens de notre histoire, que j'avais proposé avant que M. Bertin s'en occupe pour la France entière et que j'avais bien avancé sous ses auspices" [... ] "j'espère que nous n'oterez point ce terme de féodalité de votre Dictionnaire quand il ne restera quand il ne restera qu'un tribut rendu au génie aux talens ou a la beauté. Je suis avec respect, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur".
Intéressant L.A.S. attribuable au juriste et érudit Nicolas Droz (né à Pontarlier en 1735, mort à Saint-Claude en 1805), dans laquelle il parle du Général Michaud, mais aussi du rétablissement prochain de l'Académie ("des sciences, belles-lettres et arts de Besançon et de Franche-Comté"), qui sera effectif l'année suivante, en 1804. Nicolas Droz avait été nommé en 1771 secrétaire perpétuel de l'ancienne Académie, supprimée en 1793. Il était l'oncle du savant Joseph Droz.