Un ouvrage de 407 pages, format 240 x 155 mm, broché, publié en 1979, Editions Robert Laffont
Reference : LFA013e9
Le roman qui inspira le célèbre film
Lettre de France, L'Art de Vivre à la Française
M. Olivier Auriol de Bussy
04 74 33 45 19
Vente par correspondance, lors de salons à l'extérieur ou au Château de Vallin lors de manifestations culturelles. Nous vous accueillerons notamment les 21, 22 et 23 mars 2025 (de 13 h 30 à 17 h 30 h) à l'occasion de "Livres au Château", exposition-vente de plusieurs milliers d'ouvrages, organisée au Château de Vallin, demeure historique des XIVe et XVIIIe siècles, située à Saint Victor de Cessieu, proche de La Tour du Pin, en Isère. (entrée libre)
Marvel France. 2002. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 96 pages - nombreuses illustrations en couleurs dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : X-Men holocauste : J moins 1 des cendres du passé ressurgit l'histoire - X-Men holocauste j moins 1 appel aux armes - mutations par Jérémy Manesse - X-Men holocauste J moins 1 comme des agneaux à l'abattoir ! - X-Men holocauste j moins 1 conclusion ! - rayons x par Christian Grasse. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Jérusalem. Yad Vashem. Institut commémoratif des martyrs et des héros, 1975. In-4 agrafé. Plusieurs textes en français. Importante iconographie en noir & blanc et reproductions en couleurs de dessins d'enfants en dépliant. Chronologie etc. E.O.
PRESSES D'AUJOURD'HUI. JUIN 1979. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 1897 à 2093.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue fondée par Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir. Sommaire : De l'Holocauste a Holocauste ou comment s'en débarrasser par Claude Lanzmann, Les juifs en Perse avant les Pahlevi par David Littman, Notes d'un voyage en Grèce par Vassilis Vassilikos, Chine-Viet-nam : les racines historiques du conflit par Gilles Manceron, Pertinentes impertinences par Nicolas Dubost Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
France-Empire, 1979 pt in-8°, 413 pp, annexe, broché, couv. illustrée, bon état
Renouant avec la tradition de ses grandes enquêtes historiques sur les camps d'extermination de la seconde guerre mondiale – dix ouvrages, dont les témoignages inédits constituent l'acte d'accusation le plus complet et le plus irréfutable contre la barbarie nazie – Christian Bernadac s'est attaché dans “L'Holocauste oublié” au martyre inconnu de ce peuple du voyage, les tsiganes, qui était condamné au même titre que les juifs, par les lois raciales du Reich. L'horreur et l'immensité de la « Solution finale » du problème juif ont le plus souvent masqué le massacre organisé des tsiganes européens. Aucun tsigane ne témoigna au procès de Nuremberg. Ce « silence » sur la disparition d'au moins 250.000 tsiganes trouve une explication logique dans l'absence de langue écrite tsigane, mais aussi et surtout dans la « mauvaise conscience » de tous ceux qui ont eu à coeur, pendant des siècles, de mépriser, insulter, poursuivre, rejeter, condamner ces bohémiens, romanichels ou autres « voleurs d'enfants et de poulets », marginaux non par atavisme, mais par la seule force des attitudes de leurs contemporains. Sait-on que les autorités françaises avaient commencé l'internement « des nomades » dans de véritables camps de concentration français, construits sur le territoire français dans les mois qui ont précédé la seconde guerre mondiale ? Christian Bernadac a retrouvé les archives de ces camps que l'on néglige aujourd'hui encore de mentionner. Ces documents et un ensemble inégalable de témoignages ont permis à l'auteur de retracer dans L'Holocauste oublié la longue persécution de ces familles marquées depuis « la fuite indienne » par une malédiction, en de nombreux points comparables à celle qui frappa la race juive. “L'Holocauste oublié”, une révélation qu'il faut – enfin – avoir le courage de découvrir et de lire.
Flammarion, 2002, in-8°, 285 pp, traduit du russe, un portrait photo de l'auteur en frontispice, et 12 pl. de photos hors texte, 2 cartes, broché, bon état
L’armée rouge reçut-elle jamais l’ordre de libérer Auschwitz ? C’est pour répondre à cette question que Vassili Petrenko, l’un des quatre généraux à la tête des troupes qui libérèrent le camp – et le dernier en vie –, s’est penché sur son passé. Né dans l’Ukraine profonde et antisémite, bénéficiant de la mobilité sociale créée par la révolution, il fait une carrière militaire. Il voit les armées des Blancs et celles des Rouges ; il constate les ravages de la collectivisation ; il assiste aux purges staliniennes. Devenu commandant, il participe à l’opération Vistule-Oder et pénètre dans le camp d’Auschwitz. Général à l’âge de trente-trois ans, il est témoin et acteur de l’histoire de l’après-guerre : la répression berlinoise en 1953, les tensions dans les républiques soviétiques d’Asie... Au début des années 80, une question l’ébranle : « avez-vous libéré Auschwitz sur ordre ou en passant ? Vos troupes n’ont-elles pas tardé ? » L’exploration des archives lui révèle que la libération du camp ne figurait pas parmi les objectifs fixés par les dirigeants soviétiques. Devenu depuis militant du souvenir, il est, en Russie, l’une des rares personnalités non juives qui s’emploient à faire connaître la vérité sur le génocide. — "Le livre que publie Flammarion est composé de deux ouvrages très différents l'un de l'autre. Il y a d'abord les Mémoires plus ou moins rewrités d'un général soviétique, Vassili Yakovlevitch Petrenko, né en 1912. Il est, en janvier 1945, à la tête d'une des quatre divisions qui libérèrent Auschwitz. C'est comme libérateur du camp d'extermination qu'il devint, en 1981, une figure internationale. Il fut accusé en Occident d'avoir reçu l'ordre de retarder la libération du camp pour permettre aux nazis d'achever leur besogne. C'était faux et injurieux. C'était aussi confondre Auschwitz et Varsovie. Là, l'armée rouge marqua volontairement le pas sur les bords de la Vistule pour laisser aux nazis le temps de liquider l'insurrection nationaliste. Rien de tel devant Auschwitz. Simplement la libération du camp n'était pas un objectif militaire, pas plus d'ailleurs que Paris ou Strasbourg pour l'armée que commandait Eisenhower.. Ce récit est fort intéressant, mais le texte qui suit, “Le Kremlin et l'Holocauste, 1933-2001”, est, lui, une analyse historique de tout premier ordre due à la plume experte d'Ilya Altman et Claudio Ingerflom. A lire absolument." (Pierre Vidal-Naquet, Le Monde, 2002)