Un ouvrage de 376 pages, format 245 x 160 mm, relié cartonnage, publié en 1983
Reference : LFA01274
Roman
Lettre de France, L'Art de Vivre à la Française
M. Olivier Auriol de Bussy
04 74 33 45 19
Vente par correspondance, lors de salons à l'extérieur ou au Château de Vallin lors de manifestations culturelles. Nous vous accueillerons notamment les 13, 14 et 15 décembre 2024 (de 13 h 30 à 17 h 30 h) à l'occasion de "Livres au Château", exposition-vente de plusieurs milliers d'ouvrages, organisée au Château de Vallin, demeure historique des XIVe et XVIIIe siècles, située à Saint Victor de Cessieu, proche de La Tour du Pin, en Isère. (entrée libre)
PUF 2009 2009. Spirou N°3673 : Une rentrée très classe pour Mademoiselle Louise . Florence Weber/ Manuel de l'ethnographe/ Puf 2009
Très bon état
PUF 2009 2009. Spirou N°3713 : Le petit monde de mademoiselle Louise . Florence Weber/ Manuel de l'ethnographe/ Puf 2009
Très bon état
S.l., s.d. petit in-8, [30] ff. anopisthographes, couverts d'une écriture fine, régulière, moyennement lisible (environ 25 lignes par page), quelques biffures et ratures, 17 ff. vierges, broché sous couverture d'attente.
Anonyme récit des derniers moments d'une jeune demoiselle évidemment de moeurs célestes et confite dans la plus parfaite dévotion, narré selon les thèmes alors en usage dans la littérature compassionnelle à la mode. L'auteur ne se nomme pas, mais est prêtre, et même apparemment le curé du lieu (cf. f. [5] : "je venais de célébrer la sainte messe et je me disposais à aller visiter un confrère voisin .."), ce qui explique le luxe de précisions sur les vertus quasi angéliques de la défunte .."Mademoiselle Louise-Marie de Charnacé, âgée de 35 ans, était d'une forte constitution, et jouissait d'une santé parfaite, lorsqu'un horrible accident est venu l'enlever à la tendresse de sa mère et de ses frères, avec qui elle vivait, loin du monde, et dont elle faisait les délices".Les 30 pages du texte détaillent les événements du 5 au 8 août 1848, c'est-à-dire depuis sa dernière confession jusqu'à l'expiration ; c'est dire si rien ne nous est épargné de ses derniers moments, depuis l'accident de voiture qui occasionna sa perte. Eu égard aux lieux, il s'agit certainement d'un membre de la famille Girard de Charnacé, originaire de Poitou, mais fixée dans le Maine et l'Anjou ; il est difficile de préciser davantage : un de ses frères se nomme Charles de Charnacé, un autre est prêtre ou religieux, mais ces maigres renseignements sont insuffisants pour tracer sa biographie et ses apparentements. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Manzi, Joyant et Cie. Janvier 1902. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 1 à 24. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte. Couverture en couleurs.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire : Glissez, mortelles ! par L. Rossi, Mademoiselle Louise Bignon, La décoration de l'hotel de ville de Douai par Henri Frantz, Le passeur par Brada, Le monde il y a vingt ans par Claude Vento, Pierrot sauvé par A. de Gériolles, Un poème larmoyant, Joyeuse entrée du roi Jean dans la ville de Douai, décoration pour la salle gothique de l'hotel de ville de Douai Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
1 brochure in-8, Maurice Schlesinger, Jonas Librairie de l'Opéra, J.-N. Barban Libraire, Paris, chez Nourtier, Lyon, 1836, 31 pp.. Rappel du titre complet : La Esmeralda. Libretto [ Edition originale ] La Esmeralda. Opéra en Quatre Actes. Musique de Mademoiselle Louise Bertin, Paroles de Victor Hugo, décors de MM. Philastre et Cambon, Représenté pour la première fois sur le Théâtre de l'Académie Royale de Musique, le 14 novembre 1836
Rare exemplaire de l'édition originale, bien complet de sa fragile couverture. Etat moyen (couv. fort. frottée, petit accroc à la couv. en dos, très court de marge sur les pages 12-13 imprimée de travers, des rouss.) pour cette rare édition originale. Edition co-publiée par Jean-Nicolas Barba (1769-1846). J.-N. Barba était un éditeur parisien qui s'était spécialisé dans l'édition théâtrale, après avoir repris le fonds d'un autre libraire, Claude-François Maradan (1762-1823). La vie de J.-N. Barba fut fertile en rebondissements : soldat puis déserteur, emprisonné sous la révolution puis évadé, condamnés plusieurs fois pour contrefaçons, publications licencieuses ou faillite. Il vit même son magasin détruit par un incendie (en 1828). Il finira par céder son fonds à son premier commis, Christophe Tresse. Ce fonds se retrouvera, bien des années plus tard, chez l'éditeur Stock (du nom de la belle-soeur de Ch. Tresse, Anne Stock, qui héritera de l'ensemble)..