Un ouvrage de 340 pages, format 280 x 215 mm, illustré, relié cartonnage couleurs sous jaquette, publié en 1989, Editions Glénat, bon état
Reference : LFA00a13
Portrait de Barnave, l'un des acteurs les plus déterminants et pourtant l'un des plus méconnus de la Révolution française
Lettre de France, L'Art de Vivre à la Française
M. Olivier Auriol de Bussy
04 74 33 45 19
Vente par correspondance, lors de salons à l'extérieur ou au Château de Vallin lors de manifestations culturelles. Nous vous accueillerons notamment les 13, 14 et 15 décembre 2024 (de 13 h 30 à 17 h 30 h) à l'occasion de "Livres au Château", exposition-vente de plusieurs milliers d'ouvrages, organisée au Château de Vallin, demeure historique des XIVe et XVIIIe siècles, située à Saint Victor de Cessieu, proche de La Tour du Pin, en Isère. (entrée libre)
1990 Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, 1990 ,in8 broché,181 p. : couv. ill. ; 24 cm Collection:Bicentenaire de la Révolution française en Dauphiné
GLENAT. 1989. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 340 pages - jaquette en bon état - nombreuses illustrations en noir et blanc et en couleurs hors texte.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 944.04-Révolution de 1789
Classification Dewey : 944.04-Révolution de 1789
Grenoble, Editions Glénat, 1989. 22 x 28, 340 pp., nombreuses illustrations dont certaines en couleurs, reliure d'édition carton impimé + jaquette, très bon état.
Payot, 1936, in-8°, 360 pp, préface de Gabriel Hanotaux, 8 pl. de gravures hors texte, note bibliographique, reliure demi-maroquin carmin à coins, dos à 5 nerfs soulignés à froid avec titres dorés, couv. illustrée et dos conservés, dos légèrement et uniformément passé, bon état. Edition originale, exemplaire très bien relié
"La France de 1789 était pleine de jeunes avocats qui faisaient écho au cri d'amertume de Barnave : « Les chemins sont fermés de toute part ». A quelques-uns, la Révolution offrit la chance d'une vie glorieuse mais courte. Barnave et Robespierre furent du nombre, le premier victime du second. Barnave, jeune et talentueux bourgeois de Grenoble, quelque peu dandy, admirateur de Montesquieu, fit d'abord carrière dans l'orbite de Mounier. Mais au lendemain du 14 juillet, ne lâcha-t-il pas à la tribune de l'Assemblée qu'il ne fallait point s'attendrir sur le sort des victimes : « Ce sang était-il donc si pur ? ». Avec ses amis Duport et les frères Lameth, il batailla à la tribune et sur le pré contre les aristocrates ; son éloquence en fit presque l'égal de Mirabeau. Et puis tout bascule. Il y eut d'abord la discussion sur les colonies, où il défendit, contre Brissot, les « Grands Blancs » contre les mulâtres. Surtout Robespierre se révéla un adversaire redoutable pour ceux qui voulaient, comme Barnave, affermir l'acquit constitutionnel de 1789-90, sans aller au-delà. Ajoutons « l'ébranlement sentimental qui va pousser à son terme une évolution politique déjà bien avancée » : il alla chercher le roi à Varennes et s'entassa « dans la berline avec la Monarchie souffrante ». Il s'imagina alors qu'il pouvait sauver la monarchie et correspondit secrètement avec la reine. La découverte de ce commerce le mena à l'échafaud (29 févr. 1793). Pour Barnave, il ne s'agissait pas de savoir comment finir une grève, mais comment terminer une révolution, dont il jugeait qu'elle avait atteint son but." (C. Michaud, Dix-Huitième Siècle)
Debbane 1987 J.P. Debbane Editeur, 1987, 244 p., cartonnage éditeur sous jaquette, environ 28x21cm, une déchirure sans manque de 2cm sur la jaquette, bon état pour le reste et intérieur très propre.
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