Un ouvrage de 138 pages, format 110 x 180 mm, broché couverture couleurs, publié en 2009, Editions Les Grilles d'Or, bon état
Reference : LFA-126737929
Polar rural réalisé par le Groupe d'écriture de la Maison de Retraite des Tournelles, à Virieu-sur-Bourbre, en Isère
Lettre de France, L'Art de Vivre à la Française
M. Olivier Auriol de Bussy
04 74 33 45 19
Vente par correspondance, lors de salons à l'extérieur ou au Château de Vallin lors de manifestations culturelles. Nous vous accueillerons notamment les 25 et 26 Janvier 2025 (de 13 h 30 à 17 h 30 h) à l'occasion de "Livres au Château", exposition-vente de plusieurs milliers d'ouvrages, organisée au Château de Vallin, demeure historique des XIVe et XVIIIe siècles, située à Saint Victor de Cessieu, proche de La Tour du Pin, en Isère. (entrée libre)
[Buffon, Bonnaterre, Histoire naturelle, Ornithologie], l'ara rouge, la perruche à face bleue, l'ara vert, la perruche tabuan. Environ 310*235mm, non rognée. Gravure issue du tableau encyclopédique et méthodique des trois règnes de la nature de Bonnaterre (1790). [182b]
[Buffon, Bonnaterre, Histoire naturelle, Ornithologie], le caïca,le maipouri, le papegai à tête bleue, le perroquet varié. Environ 310*235mm, non rognée. Gravure issue du tableau encyclopédique et méthodique des trois règnes de la nature de Bonnaterre (1790). [182b]
Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847),- Julien, Bernard-Romain (Bayonne, 16–11–1802 - Bayonne, 03–12–1871), dessinateur-lithographe
Reference : 25914
(1833)
1833 La Caricature politique, morale, littéraire et scénique - 1833- Lithographie- Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.8cm- Hauteur: 20.3cmx Largeur: 23.7cm- Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 11 avril 1833 (Planche n°263)- Titre en ht au centre : « Barbe bleue, blanche, rouge. » ; légende en bas au centre : « La presse, ma sœur, ne vois-tu rien venir ? – je ne vois que le soleil de Juillet qui poudroie et l’herbe des // tombeaux qui verdoie. – Presse, ma sœur, ne vois-tu rien encore ? – je vois deux cavaliers qui viennent // au galop, portant une bannière. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°127. », en ht à dte : « Pl. 263. »Inscription - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue furstemberg N°6. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « G. = et Jn » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Bernard-Romain Julien, lithographe ?]- Inscription - Sur la feuille volante posée à terre à côté de la Constitution : « LOI ,qques taches.
Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847),Attribué à Julien, Bernard-Romain (Bayonne, 16–11–1802 - Bayonne, 03–12–1871), dessinateur-lithographe- Louis-Philippe, vu de dos mais reconnaissable à son toupet et à ses favoris, tient l’incarnation de la « constitution » (sous les traits d’une femme dont les jambes sont liées par une corde) par les cheveux. Il la traîne par terre et s’apprête à la poignarder de la main dte. La scène se déroule sur le balcon d’un palais aux allures de forteresse médiévale. A gche, une porte ouverte laisse entrevoir l’intérieur d’un cachot dans lequel on distingue deux personnes enchaînées. L’une est une femme portant le bonnet phrygien. Deux autres femmes sont allongées par terre, sans doute mortes. Au-dessus de la porte, un linteau décoré d’une tête de mort au centre, de poires, d’une lyre et d’une paire de ciseaux ouverte. A dte, sur le balcon d’une autre tour une sentinelle observe les environs. Elle sonne la trompette de la « TRIBUNE », journal républicain, et tient dans une main celle du « NATIONAL », journal contestataire du régime également. Cette sentinelle est l’incarnation de la presse, annonçant au roi l’arrivée prochaine de la république, représentée sous la forme de deux cavaliers s’approchant du château, représentés dans la partie dte de la composition. L’un d’eux porte une bannière mentionnant « REPUBLIQUE ». La pl. montre que le peuple est prêt à se battre pour défendre ses droits, notamment ceux contenus dans la Constitution et qui sont bafoués par le régime en place. La pl. se réfère à Barbe bleue, conte de Charles Perrault (1697). Barbe bleue envisage de tuer son épouse, laquelle prie pour éviter cette exécution. Sa sœur, Anne, l’assiste et, se trouvant en haut d’une tour, guette ses frères venus pour la sauver. La sœur d’Anne demande à cette dernière : « Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? », et Anne lui répond « Je ne vois rien que le soleil qui poudroie, et l’herbe qui verdoie ». La pl. propose une parodie du conte : Barbe Bleue est incarné par Louis-Philippe, qui veut tuer la Constitution. Le rôle de la protectrice Anne est endossé par la presse, guettant les chevaliers de la liberté venus délivrer la Constitution en apportant la république. Les paroles contenues dans la légende sont également adaptées à la situation que la pl. veut dénoncer (« le soleil » devient « le soleil de Juillet » et « l’herbe » devient « l’herbe des tombeaux »). Barbe Bleue devient alors Barbe bleue, blanche et rouge, en référence au drapeau tricolore. A noter : sur cette pl. en n/b, seule la barbe de Louis-Philippe est colorée en rouge.
, Bruxelles/ Moscou, Europalia International/ Fonds Mercator/Rosizo, 2005, Paperback, cartonnage illustree, 225 x 280mm., 144pp., 160 illustrations en couleurs. ISBN 9789061536103.
Mouvement marquant du tournant du siecle, le symbolisme russe rompt avec les realismes du XIXe siecle et prefigure les mouvements de l'avant-garde. Il puise son inspiration dans les legendes, les contes ou les mythes, dans la musique, le theatre ou la religion, les voyages en Orient ou les influences occidentales, et cherche a exprimer l'indefinissable, l'ineffable, l'indicible. Sa production reflete des mondes ambigus, nebuleux, et transpose le monde reel vers un monde imaginaire. Mikhail Vroubel fut sans nul doute le grand inspirateur de ce qui deviendra l'esthetique symboliste en Russie. A ses cotes, Viktor Borissov-Moussatov aura admire a Paris les oeuvres de Puvis de Chavannes, de Maurice Denis et des Nabis, avant de reunir autour de lui, entre 1903 et 1905, de jeunes artistes tels Kouznetsov, Outkine et Matveiiev. Il organisera avec eux une premiere exposition a Saratov en 1904. A Moscou, en 1907, Kouznetsov, Outkine, Sarian, Sapounov, Soudeikine, Krimov, Nikolai et Vassili Miliotti et Arapov organiseront l'exposition de 'La Rose bleue', qui consacrera l'originalite du mouvement. Proches des poetes et des ecrivains symbolistes, unis dans la recherche d'une meme expression esthetique, rejetant toute individualite, ils creent leur propre monde immateriel, placant l'imagination poetique au-dessus de la realite. Tentant de faire dialoguer peinture, musique et poesie dans une touche vaporeuse, ils conferent a leurs oeuvres rythme, lumiere tamisee et fluidite des couleurs, dont ce bleu irise caracteristique de leur mouvement. A partir de 1910, les artistes de la 'Rose bleue' se laisserent influencer par les idees de Gauguin ou Matisse. D'etonnantes expositions d'artistes russes appartenant a la Rose bleue et d'artistes francais se tinrent encore a Moscou entre 1908 et 1910. Etat nouveau.
Les sept femmes de la barbe-bleue et autres contes merveilleux d'Anatole France de l'académie française à la Librairie des Amateurs A. Ferroud en 1921. Édition originale en vélin d'arche. Le livre est illustré en couleurs de G.-A. Mossa . Le livre mesure 19x25 cm et pèse 1,200 kg (c) pour 244 pages. Reliure cartonnée sous emboîtage. Le livre est en très bon état.
Qui ne connaît le conte où Charles Perrault relate comment la femme d'un seigneur surnommé Barbe-Bleue échappe au sort infligé par lui à ses six précédentes épouses? Barbe-Bleue a été voué à l'exécration générale sur la foi de ce texte, mais la raison commande de ne rien croire sans preuve et Anatole France feint d'avoir trouvé la vérité sur Les sept femmes de la Barbe-Bleue - alias Bernard de Montragoux, châtelain des Guillettes, homme calomnié s'il en fût. Jugez-en sur son récit tout pétri 'd'inventions enrobées dans une prose musicale et précise, inspirée des poètes grecs et latins.." Anatole France est passé maître dans l'art des biographies apocryphes, il le démontre aussi dans Le Miracle du grand saint Nicolas, évêque de Trinqueballe en Vervignole, mais ce serait limiter son talent que de le réduire à celui d'inventeur de variations si réussies soient-elles: on y sent toujours pointer 'l'ironie d'un esprit sceptique qui aiguise sa verve aux dépens des travers humains. ' C'est visible dans les tribulations de Nicolas et plus encore dans la quête satirique de la Chemise, où deux serviteurs d'un roi neurasthénique cherchent pour le guérir la chemise d'un homme heureux. Cet esprit sceptique n'hésite d'ailleurs pas à se moquer du scepticisme même, à preuve le quatrième des contes merveilleux contenus dans ce volume : la très malicieuse Histoire de la duchesse de Cicogne et de M. de Boulingrin, qui dormirent cent ans en compagnie de la Belle-au-Bois-dormant.