Un ouvrage de 114 pages, format 155 x 250 mm, illustré, broché couverture couleurs rempliée, publié en 2009, Le Dauphiné / Glénat, bon état
Reference : LFA-126735962
Vienne, en Isère, et sa région
Lettre de France, L'Art de Vivre à la Française
M. Olivier Auriol de Bussy
04 74 33 45 19
Vente par correspondance, lors de salons à l'extérieur ou au Château de Vallin lors de manifestations culturelles. Nous vous accueillerons notamment les 21, 22 et 23 mars 2025 (de 13 h 30 à 17 h 30 h) à l'occasion de "Livres au Château", exposition-vente de plusieurs milliers d'ouvrages, organisée au Château de Vallin, demeure historique des XIVe et XVIIIe siècles, située à Saint Victor de Cessieu, proche de La Tour du Pin, en Isère. (entrée libre)
Lyon, imp. Poncet, 1912, 1 br., couverture illustrée. in-8 de XV-392 pp. ;
Le pays de Septème, prés de Vienne (Isère).
Phone number : 06 80 15 77 01
RCA. non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs, grand orchestre VIENNOIS.. . . . Classification : 410-33 Tours
Disque n°CHOC 400 046 Classification : 410-33 Tours
Grenoble, Chez Antoine Verdier, 1646 - 1661 - 1654 - 1656 ; 5 parties en 1 vol. in-12. 112pp.-1f. - 31pp. - 40pp. - 48pp. - 16pp. Basane brune de l'époque, dos à nerfs, titre et filets dorés. 1 coin choqué, petites éraflures sur le second plat, restauration ancienne en pied sur les charnières, traces de mouillures, rousseurs sur le premier titre. Notes manuscrites anciennes sur le contreplat sup. et la première garde. Ex-libris manuscrit du XVIIIes. : "Raymond Fayolle"
Antoine Verdier était imprimeur (et libraire ordinaire) du Roi, de la cour de parlement, de l'évêque et prince de Grenoble... de ce fait il imprime surtout des pièces officielles et quelques occasionnelles. Il avait pris la succession de l'imprimerie de son père Pierre 1er Verdier, en 1646 (fils de Guillaume verdier actif à Grenoble de 1592 à 1619). Son frère aîné Pierre II , était aussi imprimeur, installé à Valence depuis 1661. A la mort d'Antoine, vers 1670, sa veuve lui succède, avant que son fils, Jean Verdier, ne prenne la relève vers 1680.