N° 4 - Avril 1991 de la revue "Autrement" (Série Morales) : 238 pages, format 170 x 250 mm, brochée couverture couleurs, bon état
Reference : LFA-126733374
Le Pardon : briser la dette et l'oubli
Lettre de France, L'Art de Vivre à la Française
M. Olivier Auriol de Bussy
04 74 33 45 19
Vente par correspondance, lors de salons à l'extérieur ou au Château de Vallin lors de manifestations culturelles. Nous vous accueillerons notamment les 13, 14 et 15 décembre 2024 (de 13 h 30 à 17 h 30 h) à l'occasion de "Livres au Château", exposition-vente de plusieurs milliers d'ouvrages, organisée au Château de Vallin, demeure historique des XIVe et XVIIIe siècles, située à Saint Victor de Cessieu, proche de La Tour du Pin, en Isère. (entrée libre)
Editions Franciscaines. 1e trimestre 1973. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 80 pages.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION
Sommaire : Le pardon et moi par Michel Peyskens, L'enfant et le pardon par Bernard T, Des jeunes et le pardon par Gérard Guitton, En communauté par Jean Luc Chrétien, Au coeur du pardon par Louis Soubise, Don et pardon par Henri Jacques Stiker Classification Dewey : 200-RELIGION
S.n., s.l. 1911, 27x21cm, 6 feuillets recto.
Lettre autographe signée du comte dandy, 68 lignes écrites à l'encre noire sur six feuillets recto, propablement adressée à son ami et bibliographe le critique Henri Lapauze à qui il intime presque l'ordre de recenser son dernier ouvrage lors d'un de ses prochaines chroniques. L'orgueilleux Robert de Montesquiou y évoque aussi, en toute immodestie, sa hauteur et sa profondeur d'esprit, qualités faisant cruellement défaut à certains de ses contemporains : "Cher ami, avec plaisir, je consens à faire partie de votre comité, avec d'autant plus de plaisir que, sans le vouloir ou, peut-être intentionnellement (je préfère le croire) vous donnez raison à mon dernier livre. Voir page 143 : "nulle ne serait mieux qualifiée pour ce titre de Présidente. On n'en saurait trouver de plus affable". Oui, cher ami, j'en profite pour vous le redire, sans plaisanterie - aussi bien que sans amertume, vous vous êtes trop de fois montré efficacement sympathique, pour que j'en perde si vite, ni même, jamais le souvenir. - vraiment, je ne suis pas du tout de votre avis sur l'impossibilité de parler de mon dernier livre, dans votre chronique. Je suis même de l'avis entièrement contraire. D'abord, je ne voudrais pas, si j'étais critique littéraire, qu'il fût dit, un jour, qu'un tel livre a paru (vous savez que je ne suis pas modeste) sans que j'en ai fait mention, d'une manière ou de l'autre. En outre, c'est trop lui donner raison que d'en agir ainsi. Vous voyez que, si je suis modeste, je ne suis pas moins juste. Oui, à votre place, j'aurais fait la part de l'auteur et celle du lecteur, même récalcitrant comme l'ont fait Robin, dans le Herald, et Glaser, dans le Figaro, comme l'ont fait et le feront d'autres. - Quant au bel article de Lucien Daudet, dans le Gil Blas, je pense que vous l'avez lu. Des personnes d'esprit et d'art, comme vous deux, ne peuvent se méprendre sur le côté réactionnaire et aristocratique d'un tel écrit, dans la bonne acception de ces deux qualificatifs. L'aristocratie, ce n'est tout de même pas madame Moore, madame Porgès et Mam "zell" Gutman ; pas plus que la littérature n'est Mam "zell" Vacaresco et Monsieur de Pomairols. A un borgne bien intentionné qui me disait : "vous attaquez le monde ! "... j'ai répondu : "Pardon ! je range le salon de ma grand-mère" Aussi, quand je lis, dans quelque de vos jolis commentaires (trop incertains à certains) à propos de je ne sais quel plus ou moins vague bouquin, que "l'auteur" manie supérieurement l'ironie, je m'écris furieusement : "Eh bien ! et moi ! ..." Alors, pour me dédommager, et un peu me venger, je relis votre carte du 10 octobre : "Envoyez moi tout de suite, cher ami, votre insupportable héroïne". Henry et moi, nous voulons la connaître, l'aimer, la faire aimer. A quoi pensez vous de nous mettre "l'eau à la bouche, pour retirer ensuite ce fruit... que nous espérons défendu..." De ce moment-là, je me sens mieux. Et pour vous le prouvre, cher ami, et que je suis sincère, je vous annonce mon intention de publier, à l'occasion de votre exposition, un nouvel essai sur Ingres, lequel vous sera dédié, si tel est votre bon plaisir, comme il est le mien. Si vous connaissez un coin de revue qui s'accommode de ça, faites-le moi savoir, et recevez mes amitiés bien dessinées. Robert de Montesquiou Janv. 911." Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. - Photos sur www.Edition-originale.com -
COMPASSION. 1989. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 93 pages - tampon + petite annotation sur la page de titre - 1er plat illustré en couleurs .. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION
Sommaire : le prix du pardon - la portée du pardon - le pardon libère de la culpabilité - se pardonner soi même - le pardon entre époux - le pardon dans l'église - comment pardonner - délivrance du ressentiment - le pardon des enfants aux parents etc. Classification Dewey : 200-RELIGION
SAINT PAUL, VERSAILLES. 1998. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 217 pages.. . . . Classification Dewey : 170-Ethique
Classification Dewey : 170-Ethique
LA VIE CATHOLIQUE / MALESHERBES PUBLICATIONS. 1987. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Agrafes rouillées, Quelques rousseurs. 31 pages environ. Quelques illustrations en noir et blanc, dans et hors texte. Texte pleine page ou sur deux ou trois colonnes. Dos frotté. Quelques pages publicitaires illustrées en couleur.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Mensuel - SOMMAIRE : pardonne!, agresseur... mon frere : francine cockenpot, pardonner au liban, pres du mont des benedictins, apres mure reflexion, luther et la penitence: le pasteur albert greiner, nous nous demandons pardon, le pardon je le vis.... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues