Un ouvrage de 313 pages, format 135 x 205 mm, illustré, relié simili-cuir, publié en 1990, bon état
Reference : LFA-126727695
Biographie
Lettre de France, L'Art de Vivre à la Française
M. Olivier Auriol de Bussy
04 74 33 45 19
Vente par correspondance, lors de salons à l'extérieur ou au Château de Vallin lors de manifestations culturelles. Nous vous accueillerons notamment les 13, 14 et 15 décembre 2024 (de 13 h 30 à 17 h 30 h) à l'occasion de "Livres au Château", exposition-vente de plusieurs milliers d'ouvrages, organisée au Château de Vallin, demeure historique des XIVe et XVIIIe siècles, située à Saint Victor de Cessieu, proche de La Tour du Pin, en Isère. (entrée libre)
Librairie L. Bernard , Revue de l'Histoire de Versailles et de Seine-et-Oise Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1909 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur grise, illustrée d'une gravure représentant le château de Versailles en médaillon grand In-8 1 vol. - 55 pages
1 planche hors-texte, portrait de Mme Du Barry par Mme Vigée-Lebrun, 1789 (Bibliothèque de Versailles) 1ere édition, 1909 Contents, Chapitres : Le vol de ses bijoux, ses relations avec le Directoire du département de Seine-et-Oise, les diamants de Louveciennes et Lavallery - Jeanne Bécu, dite aussi Mademoiselle de Vaubernier, devenue par mariage comtesse du Barry, née le 19 août 1743 à Vaucouleurs, et morte guillotinée le 8 décembre 1793 à Paris, fut la dernière favorite du roi Louis XV de 1768 à 1774. Son origine roturière et sa jeunesse agitée ont suscité un certain nombre de pamphlets injurieux, voire orduriers. - En 1789, la comtesse du Barry offre ses services à la cour vidée de nombreux courtisans émigrés dès les premiers moments de la Révolution. Elle soutient de l'intérieur la contre-révolution naissante, mais son passé la rend suspecte. Son ancienne condition de maîtresse royale en fait une cible pour certains révolutionnaires. Dans la nuit du 10 au 11 janvier 1791, grâce à une échelle trouvée à proximité, des cambrioleurs venus de Paris s'introduisent dans son château de Louveciennes, et emportent ses diamants et bijoux. Elle en retrouve la trace à Londres où elle fait quatre séjours successifs pour tenter en vain de les récupérer. En fait, ils se trouvaient dans les mains de l'espion Nathaniel Parker-Forth. Ce dernier les conservera jusqu'à leur vente chez Christie's à son profit, quelques années après la mort de la comtesse. Entre-temps, son amant, le duc de Cossé-Brissac, devenu commandant en chef de la garde constitutionnelle du Roi, dissoute par l'Assemblée législative le 29 mai 1792, est arrêté et emprisonné à Orléans et en attente de jugement par la Haute Cour à Paris. Le 10 août 1792, le Palais des Tuileries est pris d'assaut par les émeutiers et la famille royale incarcérée à la Tour du Temple. Les Massacres de Septembre 1792 éclatent à Paris. Le 9 septembre, le convoi qui ramène à la capitale le duc et ses compagnons prisonniers passe par Versailles où ils sont tués. Les corps des suppliciés sont dépecés et la tête du duc est jetée par une fenêtre dans le salon de la comtesse du Barry. Après l'exécution de Louis XVI (21 janvier 1793), à la veille de la déclaration de guerre avec la Grande-Bretagne, Madame du Barry revient précipitamment en France pour éviter l'apposition des scellés sur sa propriété de Louveciennes. Malgré une pétition signée en sa faveur par 59 habitants de Louveciennes, elle devient « suspecte » dès le vote de la loi de ce nom, le 17 septembre 1793. Ses séjours en Angleterre sont dénoncés comme une aide aux émigrés contre-révolutionnaires. Déclarée ennemie de la Révolution, elle est emprisonnée à Sainte-Pélagie le 22 septembre 1793. Son procès s'ouvre le 6 décembre 1793 devant le Tribunal révolutionnaire présidé par Fouquier-Tinville et, le lendemain, elle est condamnée à la guillotine. L'exécution a lieu sur l'actuelle place de la Concorde, le 8 décembre 1793 (18 frimaire An II du calendrier républicain). La Comtesse du Barry fait l'énumération de tous ses biens, espérant ainsi sauver sa vie. Elle est traînée jusqu'à l'échafaud. Ses derniers mots sans doute apocryphes auraient été : « Encore un moment, Monsieur le bourreau ! » Elle est inhumée au cimetière de la Madeleine où 1 343 guillotinés de la place de la Concorde ont été enterrés. (source : Wikipedia) rousseurs sur les bords du plat supérieur de la couverture et petite déchirure sans manque sur le haut du plat inférieur, sans gravité, la couverture reste en bon état, intérieur sinon frais et propre, papier à peine jauni
Reference : albfc4163992920018c
Claude Saint-Andre. Madame Du Barry. In English (ask us if in doubt)/Claude Saint-Andre. Madame Du Barry. Paris 1908 Claude Saint-Andre-Madame du Barry. Watermark Velvet Paper Engravings. It contains 8 plates of Miniature Paitnings of Madame du Barry and other illustrations. This is No. 112. SKUalbfc4163992920018c.
Versailles, L. Bernard 1883, 180x115mm, frontispice, LIV - 505 + 554 + 488pages, reliure demi-basane. Pièces de titre et d’auteur et de tomaison dorés au dos à nerfs. Plats papier marbré. Tome II: coiffe supérieure un peu abimée, et coiffe supérieure du tome I restaurée, autrement bon état.
1 portait, 1 fac-similé dépliant et recto-verso, Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
P., La Librairie Mondiale, s.d. (v. 1910), in-8°, xv-262 pp, nombreuses gravures, reliure demi-basane rouge, dos à 5 nerfs filetés, titre doré (rel. de l'époque), dos lég. frotté, bon état (Coll. Nouvelle collection des mémoires historiques)
Jeanne Bécu de Cantigny, dite Mademoiselle de Vaubernier, devenue par son mariage comtesse du Barry, née le 19 août 1743 à Vaucouleurs en Lorraine et guillotinée à Paris le 8 décembre 1793, fut la dernière favorite du roi Louis XV. Son origine roturière et sa jeunesse agitée suscitèrent des pamphlets injurieux et même orduriers. — 1. Anecdotes sur Mme la comtesse du Barry : "C'est au mois de septembre 1775, et probablement à Londres que parut la première édition des Anecdotes sur la comtesse du Barry. Bien que l'ancienne favorite, déchue de ses grandeurs passées, vécût alors, exilée et comme prisonnière, à l'abbaye du Pont-aux-Dames, le souvenir de ses triomphes était trop récent pour que le livre ne fît point éclat. Il était, au reste, curieux, plein de renseignements précis mêlés de gravelures. Comme par-dessus la tête de la maîtresse, il atteignait très directement le roi défunt et ne se pouvait vendre que sous le manteau, le danger de le posséder accrut encore son succès..." (Introduction) — 2. De l'exil à l'échafaud : "Cette dernière partie est empruntée aux “Mémoires historiques de Jeanne Gomart de Vaubernier, comtesse du Barry, rédigés sur des pièces authentiques par M. de Favrolle”, publiés chez Lerouge en l'an XI. Ces mémoires ont pour auteur la baronne Brossin de Méré. Née à Paris, en 1751, Mme de Méré publia de 1794 à 1829, année de sa mort, sous son nom de jeune fille (Elisabeth Guénard) ou sous divers pseudonymes (A. L. de Boissy, J. H. F. de Geller, de Favrolle), cent dix ouvrages, romans, mémoires historiques et contes galants dont on trouvera le détail dans l'excellente notice que Quérard a consacrée à cet auteur. “Les Mémoires de Madame du Barry”, dont les deux premiers volumes reproduisent à peu près “les Anecdotes” de Pidansat de Mairobert, sont la source unique où ont puisé tous les biographes de la favorite. Les historiens n'ont même, à l'exception de M. C. Vatel, rien ajouté, ou presque, à ce premier fonds : c'est une justice qu'il convient de rendre à la baronne de Méré qu'elle a connu et utilisé adroitement tous les documents essentiels de l'époque révolutionnaire concernant Mme du Barry."
Reliure toile de l'éditeur, illustration en cuvette au premier plat, signet, 22X15 cm, 1967, édition originale numérotée, 313 pages, illustrations en noir, le cercle du nouveau livre d'histoire. Très bon état.