‎Nicolas SARKOZY‎
‎ENSEMBLE‎

‎Un ouvrage de 160 pages, format 135 x 215 mm, broché couverture couleurs, publié en 2007, XO Editions, bon état‎

Reference : LFA-126723410


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Lettre de France, L'Art de Vivre à la Française
M. Olivier Auriol de Bussy

lettre-de-france@laposte.net

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4 book(s) with the same title

‎Collectif‎

Reference : R200122440

(2011)

‎Crochet créatif, 31 modèles spécial été et plage. N°2 Juin Juillet 2011. Matière naturelle : ensemble feminin trois pièces en lin, ensemble plage deux pièces en lin + tons pastels : ensemble parme, ensemble de plage fantaisie, ensemble rayé,...‎

‎euro service internet. 2011. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 66 pages. Nombreuses illustrations et compositions en couleurs. Trace d'etiquette sur le premier plat.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎N°2 Juin Juillet 2011. Matière naturelle : ensemble feminin trois pièces en lin, ensemble plage deux pièces en lin + tons pastels : ensemble parme, ensemble de plage fantaisie, ensemble rayé + couleurs du soleil + sobre et classe + ambiance estivale,... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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EUR14.90 (€14.90 )

‎DELARUE P.‎

Reference : 63295

(1695)

‎Oraison funebre de tres-haut et tres-puissant seigneur François Henry de Montmorancy [Ensemble] Oraison funebre de Messire Jacques Benigne Bossuet [Ensemble] Oraison funebre de tres haut tres puissant et excellent prince Monseigneur Louis Dauphin [Ensemble] Oraison funebre de tres-haut tres-puissant et excellent prince Monseigneur Louis Dauphin et de tres-haute tres-puissante et vertueuse princesse Madame Marie-Adelaide de Savoye son epouse [Ensemble] Oraison funebre de très-haut et très-puissant seigneur Louis-François Duc de Boufflers [Ensemble] Oraison funebre de tres-haut tres-puissant et excellent prince Monseigneur Charles de France Duc de Berry [Ensemble]Lettre de Monseigneur le Cardinal de Noailles archevêque de Paris a Monseigneur l'evesque d'Agen [Ensemble] Lettre pastorale et mandement de son eminence Monseigneur le Cardinal de Noailles Archvesque de Paris, au sujet de la Constitution de nôtre Saint pere le pape du 8. septembre 1713‎

‎Chez la veuve de Simon Bernard, à Paris 1695, (2) 51pp. (1) ; (2) 41pp. (1) ; 41pp. (3) ; (2) 44pp. ; (2) 41pp. (3) ; (2) 46pp. ; 14pp. ; 8pp., relié.‎


‎Edition originale de l'ensemble des textes composant le recueil. Chacune des oraisons comporte une vignette de titre aux armes du défunt et une seconde en bandeau de titre avec un portrait en médaillon ainsi qu'un cul-de-lampe. Les dates des oraisons sont entre 1695 et 1714. Les deux lettres du Cardinal de Noailles qui terminent le recueil sont repectivement de 1712 et 1714. Reliure en plein basane brune mouchetée et glacée d'époque. Dos à nerfs richement orné. Pièce de titre en maroquin havane. Roulette sur les coupes. Frottements en coiffes et sur les mors. Epidermures et taches brunes sur le haut du plat supérieur. 2 traces de mouillure sur l'oraison du Duc de Berry, en haut et en bas de page sur les 4 premiers feuillets. Bonne et solide reliure. Ex-donoGuillaume Ranneville 1714, à la plume, en page de garde. Les deux lettres du Cardinal de Noailles concernent pour la première une défense contre ses contempteurs et pour la seconde une justification de sa position sur la Constitution Unigenitus qui divisa le clergé français, le cardinal réitère dans cette lettre sa condamnation de la Bible de Port-Royal. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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EUR700.00 (€700.00 )

‎SADE Louis, Chevalier de‎

Reference : 67693

(1791)

‎Ensemble complet des archives du Chevalier de Sade‎

‎s.l. (Londres, Paris, Toulon...) 1791-1832, 12000 feuillets de divers formats, en feuilles.‎


‎Exceptionnel ensemble des archives manuscrites inédites et complètes de Louis, Chevalier de Sade (1753-1832), auteur du Lexicon politique et cousin du Divin Marquis représentant environ 12000 feuillets manuscrits dont plusieurs milliers inédits et écrits de sa main. Le Chevalier y expose un système de pensée de type «?holistique?», comprenant à la fois des réflexions historiques, politiques et scientifiques. Précieuses archives géopolitiques, historiques et scientifiques d'un aristocrate érudit, témoin privilégié de la fin de l'Ancien Régime, de la Révolution française, du Consulat, de l'Empire et de la Restauration. Fonds unique de recherches sur la mise en place d'une monarchie constitutionnelle. Si l'on regarde la Révolution Française comme la naissance de l'expérimentation de l'idéologie laïque et politique, le chevalier de Sade en fut sans doute un des premiers et précoces déconstructeurs. Non de la Révolution elle-même qui connut pléthore de contempteurs, mais de l'idéologie en politique, phénomène qui devait profondément marquer les deux siècles à venir. Ce qu'il nomme la «?politique positive?» est «?fondée sur le calcul et sur l'expérience.?». «?La théorie a eu des charmes pour moi ; je l'ai étudiée avec soin, j'ai savouré ses principes. Maintenant je n'apprécie leur valeur que par les effets provenant de leur mise en pratique, qu'on leur a vu produire chez les peuples dont l'histoire est parvenue à ma connaissance. C'est ma méthode ; je sais qu'elle est, du tout au tout, l'opposée de celles que nos gouvernants et nos faiseurs de constitutions ont suivies jusqu'à présent sans s'en désister. Cette divergence continuelle entre ce qui s'est fait et ce qu'on n'aurait pas dû faire, en augmentant ma confiance dans ma manière de procéder a fortifié en même temps ma résolution à persister dans la vue que j'avais adopté, de juger les législations par les conséquences historiques qu'elles ont entraînée après elles, plutôt que par les beaux raisonnements métaphysiques et supposés concluants, dont les novateurs n'ont cessé et ne cessent tous les jours de nous accabler.?» Le Chevalier de Sade, qui ne concevait le monde qu'au regard de ce qu'il fut, ne pouvait être autre que Royaliste. La démocratie n'avait pratiquement aucun exemple dans l'histoire connue du Chevalier, hormis les antiques sociétés grecques et romaines qui n'avaient expérimenté que des formes très élitistes de démocraties. Ces modèles sont d'ailleurs bien connus du politologue dont les archives contiennent plus de 7000 pages consacrées à l'Histoire antique. La République portée par la Révolution, plus qu'une adoption d'un modèle politique, fut la réalisation politique d'un idéal philosophique. Or, si la plupart des opposants à ce nouveau régime y voyaient surtout une atteinte à leur situation personnelle, à leurs convictions religieuses ou plus simplement à leurs habitudes, les écrits du Chevalier de Sade ne relèvent d'aucune influence dogmatique ou, du moins, ne se justifient jamais par celle-ci. Louis de Sade, gentilhomme sans fortune et sans attache, est conservateur par conviction philosophique et historique, et non par intérêt. Et c'est avec une parfaite honnêteté intellectuelle qu'il étudie et commente les essais, mémoires et uvres politiques ou théoriques de ses contemporains. à contre-courant de la pensée des Lumières, le chevalier porte un regard très peu philosophique sur la société. Bien qu'il construise une véritable histoire théorique de l'évolution des hommes depuis l'état «?sauvage?» jusqu'aux constitutions des sociétés, il ne postule pas une nature idéale de l'homme, comme le font certains de ses contemporains (que ce soit pour justifier la politique ou pour la déplorer). Au contraire, le chevalier relève la césure entre l'être de nature et l'être de culture, sans porter de jugement moral ou philosophique sur celle-ci comme il était alors d'usage de le faire. «?L'erreur politique qui a perdu l'Europe du XVIIIè a été de baser ses raisonnements et ses principes législatifs sur le droit de nature et d'oublier que l'ordre social des empires se fonde sur les propriétés territoriales.?» Cette retenue, le Chevalier l'applique à tous ses raisonnements. Ainsi de l'âge de l'industrie, le sien donc, qui selon lui, «?a fait beaucoup de bien et beaucoup de mal, procuré beaucoup d'agréments et d'infortune?». Cette volonté d'objectivité sert de fait une thèse conservatrice, mais contrairement à beaucoup d'idéologues de tous bords, le Chevalier ne développe pas un argumentaire à charge, dont tous les propos tendraient à prouver l'énoncé de départ. Louis de Sade, qui n'a pas d'objectif de publication et donc pas de lecteur à convaincre, n'articule pas son propos en fonction du moule de sa pensée, mais entreprend une démarche qui aspire à l'exhaustivité. Il explore ainsi toutes les voies, que celles-ci confortent ou non sa vision du monde. En cela, les écrits du Chevalier constituent un ensemble sans équivalent de l'étendue de la pensée d'un aristocrate éclairé au cur de la plus importante rupture politique et sociale de notre Histoire. Contrairement à son cousin, le Divin Marquis, le Chevalier est clairement un homme de l'Ancien Régime. Mais il n'est pas un de ses rejetons caricaturaux qui symbolisent sa déchéance ou son immobilisme suicidaire, il est le représentant d'une monarchie ancestrale, un modèle politique assumé et éprouvé dans le temps et l'espace. Sans richesse ni pouvoir, le Chevalier ne défend pas, avec la Monarchie, ses propres privilèges, il expose une structure sociale et sa mise en péril non pas par la Révolution, qui n'est qu'une conséquence, mais par la déviance des élites et leur méconnaissance des fondements de la Royauté. On est frappé par le peu de cas qui est fait de la Foi, ou de la légitimité divine du Roi. Le Chevalier fut un penseur objectif de son temps au même titre que le furent les encyclopédistes, mais au service d'un monde bientôt disparu et non de celui qui va naître. à l'image de Chateaubriand, dont il est de quinze ans l'aîné, le Chevalier nous livre un discours volontairement posthume et ainsi détaché des contraintes de son rang social et politique. Pourtant à la différence des mémoires de son illustre cadet, les archives de Louis de Sade ne sont pas celles d'un célèbre écrivain et d'un Pair de France, marqué par une action politique et une autorité littéraire qui ont nécessairement influé sur l'écriture. La parution posthume des Mémoires d'Outre-Tombe est un acte politique et littéraire prémédité, elle témoigne d'une volonté de s'inscrire dans le monde en devenir. La publication post-mortem du chef d'uvre de Chateaubriand était soigneusement prévue et organisée par l'auteur. Les écrits de Louis de Sade sont d'un autre ordre. C'est son désir d'exhaustivité qui contraint le Chevalier à accepter l'inéluctable inachèvement de sa démarche. à soixante-quinze ans, rassemblant ses archives, il exprime d'ailleurs le souhait que son travail soit continué par d'autres et non publié en l'état. Cette absence d'ego pour un travail qui semble l'avoir occupé une vie entière, confirmée par le nombre d'autres publications de son vivant - ce qui ne présentait donc pas pour lui une difficulté majeure - fonde la pensée du Chevalier et contribue au caractère unique de ses écrits dans une époque où l'édition, soumise à privilège, contrôle de moralité et risque de violents procès, porte généralement la marque d'une nécessaire autocensure, autant qu'une certaine considération aux attentes du lecteur. Ce libre penseur était peu enclin à ces prudentes restrictions. Son premier ouvrage, écrit à la veille de la Révolution au fond de la cale du vaisseau amiral où il avait été placé aux arrêts par lettre de cachet pour rébellion contre l'autorité, fut immédiatement censuré et pilonné par le gouvernement monarchique. Il s'intitulait?: «?Mes loisirs sur le vaisseau amiral ou Lettres aux Etats Généraux sur une nouvelle constitution du gouvernement de la France?». Les autres ouvrages qu'il fit publier par la suite sont tous très engagés politiquement, et même son étude scientifique des marées, la Tydologie, qui comporte de nombreuses comparaisons avec les grands mouvements politiques et sociaux de la Révolution. Esprit rebelle, donc, bien que fermement attaché aux principes monarchiques, le Chevalier est à la fois une figure iconique de la France aristocratique pré-révolutionnaire et un représentant d'une des classes les plus méconnues et pourtant considérable de l'Ancien Régime, les cadets des seigneurs, gentilshommes sans fief, «?nobles par leur naissance, tiers-état par la nature de leur fortune?», comme il se désigne lui-même. Ce personnage se distingue également par sa formation et son parcours peu orthodoxes pour un écrivain et intellectuel du temps. Issu de la branche modeste de la famille Sade, les Eyguieres, contrairement au marquis qui descend de la branche noble des Saumane, Louis de Sade fut envoyé très jeune, après un séjour chez les jésuites, dans la dure pension de l'Abbé Choquart où il fréquenta Mirabeau et dont il ne garde pas un souvenir flamboyant?: «?Si dans ma jeunesse au lieu d'être noyé dans la plus mauvaise des pensions, quoique fort chère, j'eusse eu des bons maîtres, j'aurais fait quelque chose (..)Elevé à la Jean-Jacques Rousseau, à la pureté des murs près de l'abbé Choquart, je ne savais rien, que me battre, jouer au barre, monter sur les toits, voler des pommes et quelques formules algébriques.?» La référence à son contemporain Jean-Jacques Rousseau est sans doute, pour ce fervent royaliste, la plus sévère critique adressée à cette maison de correction pour fils indisciplinés. Dès l'âge de quinze ans le Chevalier est incorporé dans la marine et c'est donc en parfait autodidacte que le chevalier acquiert la plupart de ses considérables connaissances. Ainsi ne connaît-il ni le grec ni le latin contrairement à nombre de ses contemporains éduqués, mais il possède un très vaste savoir dans tous les domaines des sciences physiques et humaines. En témoignent, non seulement ses manuscrits, mais également ses publications autant que les charges qui lui sont confiées?: commandement d'escadre, installation sur tous les bâtiments civils de la marine de Brest de la nouvelle invention de Benjamin Franklin, le paratonnerre, nombreuses missions d'intercessions durant les premiers temps révolutionnaires et sollicitations d'articles dans plusieurs éphémères revues contre-révolutionnaires. Le Chevalier de Sade eut une forte activité intellectuelle et activiste en interaction avec d'importants acteurs politiques. Il semble que cet autodidacte jouisse d'un réel crédit auprès des scientifiques, comme en témoigne par exemple cette traduction en anglais et publication dans The Journal of Natural Philosophy, Chemistry and the Arts de février 1804, de l'étude sur les volcans éteints de Coblentz réalisée par le Chevalier en 1792 et que le minéralogiste et cristallographe Jacques Louis de Bournon communiqua à son confrère anglais le célèbre chimiste William Nicholson, directeur de la revue scientifique. Mais c'est lors de la publication de sa Tydologie que le Chevalier révèle l'ampleur de ses connaissances acquises durant ces années de marine puis d'exil et la particularité de sa pensée holistique. Cet ouvrage, publié en 1810, représente parfaitement la tournure d'esprit du Chevalier et éclaire l'impressionnante variété des archives qu'il nous a légué. Le Chevalier semble en effet appréhender le monde physique, sociologique et intellectuel comme un ensemble cohérent dans lequel chaque élément ou évènement peut s'appréhender selon un raisonnement scientifique commun. Très largement influencé par la pensée de Francis Bacon, le Chevalier cherche à composer son propre Novum organum scientiarum, dont la Tydologie est une première tentative. L'ambition de cette analyse holistique des sciences n'a pas échappé à ses contemporains comme en témoigne le rapport de A. L. Millin dans les Annales encyclopédiques de 1818?: «?La Tydologie est le noyau auquel l'auteur rapporte les diverses méthodes qui jusqu'à présent ont été usitées pour l'avancement des connaissances humaines. Il y examine les avantages et les inconvéniens que chacune d'elles a eus dans les diverses branches de nos connaissances où on les a employées. Cet ouvrage convient par conséquent à toutes les personnes qui s'intéressent aux sciences, même à celles de la politique et de la législation. Les botanistes, les astronomes, les anatomistes et les géomètres, y trouveront un grand nombre de problèmes et de solutions d'un nouveau genre, et qu'il leur est utile de connaitre pour les progrès ultérieurs de leur science favorite. [...] L'auteur indique des méthodes qui, dans les mains d'un homme de génie, pourront lui permettre, dit-il, avec le temps, de remonter des effets aux lois des causes qui les produisent. [...] Aussi, on ose dire que les géologues, les anatomistes, les géomètres, les chronologistes, les chimistes, les grammairiens, les botanistes, les philosophes et les hommes d'État, ne liront pas cet ouvrage sans intérêt, et peut-être quelquefois aussi sans humeur; car l'auteur suit rarement les routes battues, et il est rare que ceux qui en devient aient raison. C'est aux savans à juger si les idées de l'auteur sont des innovations ou des écarts nuisibles à l'avancement des sciences.?» Mais la Tydologie, comme en convient lui-même le Chevalier, n'est qu'une ébauche de ce système qu'il cherche à mettre en place et dont il ne maitrise pas encore tous les tenants. Les années suivantes seront donc consacrées à l'étude de l'histoire, des sciences, de la politique, avec une visée exhaustive dont témoignent les archives. Car Louis de Sade se distingue de la science méthodologique de Bacon en établissant non seulement un lien entre les sciences mais également entre celles-ci et la politique. Convaincu qu'un même principe sous-tend le monde dans tous ses aspects, il recherche par un travail d'érudition considérable, une logique historique et métaphysique. L'ensemble archivistique qu'il a constitué ne représente donc pas une distraction intellectuelle d'aristocrate mais une tentative de percer la raison commune qui commande aux sciences et à l'histoire. Une étude approfondie de son travail historique permettrait ainsi de mettre à jour les choix d'historien du Chevalier de Sade, de même que ceux de ses travaux scientifiques. Mais si la philosophie des sciences qui semble se dégager de ses travaux inachevés reste à étudier, l'ensemble des archives historiques et scientifiques rédigées par le Chevalier présente un autre intérêt majeur pour l'étude de la pensée de Louis de Sade et, au-delà, pour l'analyse de l'appréhension par un aristocrate du XVIIIè siècle du bouleversement révolutionnaire. En effet, le Chevalier qui ne s'enorgueillit pas d'un savoir idéologique héréditaire transmis naturellement par l'éducation aristocrate, a été contraint de se forger seul la culture qui sied à son rang. Or ses archives font état non seulement de ses lectures - qui sont les précieux fondements de sa pensée - mais encore de sa propre compréhension et interprétation de celles-ci. Ainsi sait-on autant sur quels ouvrages de référence il appuie ses connaissances historiques que, par le rapport qu'il en fait, ce qu'il en retient et en déduit. Ses choix de lectures autant que ses impasses offrent au lecteur actuel un incroyable panorama presque exhaustif des arcanes intellectuelles de ce représentant symbolique d'une société appelée à disparaitre. Toute l'intense réflexion politique du Chevalier est ainsi éclairée par la parfaite transparence de ses sources bibliographiques comme par ses expériences personnelles longuement décrites dans son autobiographie rédigée à la troisième personne et restée inédite. Au terme de sa vie, il retrace ses pérégrinations caractéristiques d'un aristocrate engagé, depuis les prémices de la révolution jusqu'à la seconde restauration. On découvre sa carrière militaire pré-révolutionnaire, ses premiers écrits politiques qui lui valent une lettre de cachet et une mise aux arrêts dans la cale d'un navire. Il évoque l'instabilité de l'autorité militaire conséquente aux premiers bouleversements révolutionnaires, son entrée dans la résistance contre-révolutionnaire d'abord officielle puis ses tentatives clandestines de renversement de la situation. Enfin, on le suit dans son émigration anglaise et on assiste à la lente prise de conscience de la transformation inéluctable de sa société, sans que jamais sa verve combative ne tarisse, contrairement à de nombreux aristocrates qui, à son grand dam, abandonnèrent bien plus aisément cet ancien monde auquel lui, le Chevalier, ne conçoit pas, jusqu'à la dernière ligne, d'alternative viable. C'est sans doute l'impressionnante homogénéité de sa pensée, depuis ses premiers textes publiés jusqu'à l'ensemble manuscrit considérable de son Lexicon, resté en partie inédit, qui permet de considérer ces écrits du Chevalier comme une construction intellectuelle unique et sans équivalent dans les archives individuelles conservées de cette période clé de l'histoire de France et du monde occidental. Plus qu'un simple témoignage de la vie individuelle d'un aristocrate dans la tourmente révolutionnaire, ces 12000 pages sont l'uvre d'un véritable penseur du régime monarchique et des concepts philosophiques et scientifiques qui sont intimement liés à cette lecture du monde. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎[Le DAUPHINÉ de la RÉVOLUTION de 1848 à la IIIE RÉPUBLIQUE] ‎

Reference : 665928

‎Ensemble de 127 documents sur le Dauphiné de la Révolution de 1848 à la IIIe République.‎

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‎La vie politique d’une région française de la Révolution de 1848 à la Troisième République: Le Dauphiné.001. THOMAS (V.). Élections générales pour la formation d’une Assemblée Constituante. Exécution du décret du gouvenement provisoire de la République française, en date du 5 mars 1848. A Messieurs les électeurs du département de l’Isère. Paris, Brière, s.d., in-4, (2) pp.002. Le COMITÉ Républicain électoral de l’Isère à tous les citoyens du département. Ensemble de 11 circulaires du 11 mars au 20 avril 1848, et de la liste des candidats. A l’Assemblée nationale constituante. 003. GUILLAUD (Abbé). Aux Électeurs de l’Isère. Grenoble, le 25 mars 1848. Grenoble, Baratier, s.d., in-8, (4) pp.004. BUISSON (F. Mécanicien de Tullins). Aux électeurs du département de l’Isère. 20 mars 1848. Grenoble, Barnel, s.d., in-8, 7 pp.005. GONDRECOURT (A.). Aux militaires de tous les régiments appelés à élire des représentants du Peuple pour le département de l’Isère. Le 20 mars 1848. Grenoble, Baratier, s.d., in-8, 4 pp.006. À l’Assemblée Nationale et au Pouvour Exécutif de la République française (sur le projet d’organisation judiciaire). Grenoble, Maisonville, s.d., in-folio, 3 pp.007. CLUB de la Garde Nationale, ou Association Républicaine des contribuables et des travailleurs de l’Isère. 20 mars 1848. Grenoble, Prudhomme, 1848, in-8, 4 pp.008. À MM. les élécteurs du département de l’Isère. Des électeurs de Tullins, le 15 mars 1848. Suivi de le Lettre adressée au Comité électoral de Tullins, le 23 mars 1848. Grenoble, Prudhomme, s.d., in-8, 4 pp.009. MICHAL (Laurent). Concitoyens. Grenoble, le 21 mars 1848. In-8, (2) pp.010. FAYEN (Alexandre). Citoyens, une victoire sublime a renversé le despote… Grenoble, le 12 mars 1848, lettre autographiée de 3 pages.011. APPEL extraordinaire à tous les travailleurs. Grenoble, le 25 mars 1848. Grenoble, Allier, 1848, 1 page.012. [AFFICHE]. Mairie de Grenoble. Avis au Public. Grenoble, Allier, mars 1848, 44 x 28. Manques dans les marges et taches.013. MARION. Aux citoyens juges de paix, maires et membres des commissions municipales du département. Grenoble, le 10 avril 1848. S.l.n.d., in-4, (3) pp.014. MURAILLAT. [Adresse aux travailleurs]. Grenoble, le 11 avril 1842 (pour 1848). Grenoble, Barnel, s.d., in-4, 1 page.015. ÉLECTIONS de l’Isère. Grenoble, le 14 avril 1848. S.l.n.d., in-4, 1 page.016. SAPPEY (Adolphe, ouvrier mécanicien). Électeurs de l’Isère. Grenoble, 16 avril 1848. In-4, 1 page.017. [AFFICHES]. Mairie de Grenoble. Élections. 2 affiches (dont une endommagée). Grenoble, Allier, avril 1848, 44 x 28.018. RAMBAUD (Jean). À mes compatriotes des Hautes-Alpes. Gap, Allier, s.d., in-8, 1 page.019. ÉLECTIONS d’avril-mai 1848. 4 listes de candidats.020. APPEL aux patriotes du département de l’Isère, par ceux de Vizille. Vizille, le 20 avril 1849. Grenoble, Maisonville, s.d., in-4, (2) pp.021. BOULLENOR (Alfred). Le rédacteur de la Révolution-Sociale au public. Grenoble 25 avril 1848. In-folio, 1 page autographiée.022. Dossier sur les élections communales de Grenobleen juillet 1848: une affiche (endommagée) et 3 documents in-8 ou in-4 imprimés à Grenoble.023. [AFFICHE]. Renouvellement des Conseils Généraux et des Conseils d’arrondissement. Grenoble, le 14 août 1848, 58 x 44.024. Le COMITÉ électoral républicain-démocratique de l’Isère, aux électeurs du département. Grenoble, le 24 novembre 1848. Grenoble, Maisonville, s.d., in-4, (3) pp. Joint un autre document émanant du Comité Républicain Démocratique.025. FROMENT (Le Père). Conseils à ses camarades à l’occasion des nouvelles élections. Grenoble, Baratier, s.d. (1848), 4 pp.026. MARTIN (L.). Droits et devoirs du citoyen. Grenoble, Prudhomme, 1848, in-12, 16 pp.027. MONT-ROND (Capitaine). Opinions sur les questions du jour émises en 1848. S.l.n.d., 46 pp.028. BELLIER (Dr). Metternich le Diable. Sa science, sa société secrète, sa puissance, ses crimes, ses misères. Fin des maux des pauvres et des riches. Paradis sur la terre. Montélimar, 1848, in-8, 32 pp.029. SAPPEY (F.). Réflexions d’un paysan de Voreppe à l’occasion de la nomination du président de la République Française. Grenoble, Baratier, s.d. (1848), in-4, 4 pp.030. VAUGELAS (F. de). Considérations sur la réforme électorale. Grenoble, Barnel, s.d. (vers 1848), in-8, 52 pp.031. [AFFICHE]. Ville de Grenoble. Élection du Président de la République. Grenoble, Allier, décembre 1848, 44 x 27.032. ÉLECTION du Président de la République. Paris, Chaix, s.d., in-4, 1 page.033. CANDIDATURE de Louis-Napoléon Bonaparte. Ensemble de 10 documents imprimés à Grenoble en décembre 1849, in-12, in-8 ou in-4.034. CANDIDATURE du général Cavaignac. Ensemble de 2 affiches (dont 1 abîmée) et de 7 documents imprimes à Gap ou à Grenoble en décembre 1849, in-8 ou in-4.035. RÉPUBLIQUE Française. Grenoble, le 11 mars 1849 (au sujet de la dissolution et des nouvelles élections). Grenoble, Maisonville, s.d., in-4, (1) page.036. À l’ASSEMBLÉE Législative. Grenoble, Maisonville, s.d., in-folio, (1) page.037. ALLIER et LAFORGUE-BELLEGARDE. Chers concitoyens. Paris, 10 avril 1849. In-4, (2) pp.038. Le COMITÉ Central Républicain. 2 circulaires d’avril 1849.039. Le COMITÉ général des Amis de la République et de la Constitution. Grenoble, Allier, 27 avril 1849, (3) pp.040. [AFFICHE]. Comité Électoral-Démocratique des trois cantons de Grenoble. République, Constitution, rien de moins. Grenoble, Maisonville, avril 1849, 62 x 46? Sur papier brun. Déchirures.041. DURAND-SAVOYAT (Napoléon). Aux électeurs du département de l’Isère. Paris, le 27 avril 1849. Paris, Maulde et Renou, s.d., in-4, (3) pp.042. RENAUD (Représentant du Peuple). Aux Électeurs du département de l’Isère. Paris, le 28 avril 1849, in-8, (3) pp.043. REY (Joseph). Profession de foi électorale. Grenoble, 30 avril 1849. Grenoble, Maisonville, s.d., in-8, 3 pp.044. [AFFICHE]. Souveraineté du Peuple. Comité Electoral Central Démocratique. Grenoble, Maisonville, mai 1849, 64 x 46. Sur papier rose. Déchirure au centre.045. [AFFICHE]. Souveraineté du Peuple. Liste définitive. . Grenoble, Maisonville, mai 1849, 64 x 46. Sur papier rose. Déchirure avec manque au centre.046. TIMON (Joseph). Aux Électeurs du département de l’Isère. Vienne, le 2 mai 1849. Vienne, Timon, 1849, in-4, 3 pp.047. PROCÈS-VERBAL de l’Assemblée générale des délégués cantonaux du département de l’Isère, du 5 mai 1849. Grenoble, Maisonville, s.d., in-4, (2) pp.048. AVRIL (Louis). Aux Électeurs du département de l’Isère. Grenoble, le 6 mai 1849. Grenoble, Prudhomme, in-8, 3 pp. 049. CLÉMENT (Prosper). 5 imprimés pour sa candidature aux élections de mai 1849. Gap, s.d., in-8 ou in-4.050. FAURE. Aux électeurs des Hautes-Alpes. Paris, avril 1849. Gap, Allier, in-4, (1) page.051. Aux Électeurs du département de l’Isère. Le Comité électoral des Démocrates-Socialistes de l’Isère résidant à Paris. Paris, Maulde et Renou, s.d., in-4, (3) pp.052. AUX ÉLECTEURS de Saint-Marcellin. Grenoble, Maisonville, s.d., in-4, 1 page.053. Le Comité démocratique central de l’Isère aux électeurs du département. Grenoble, Maisonville, s.d., in-4, (2) pp. Petit manque angulaire.054. République Démocratique. Grenoble, Maisonville, s.d., in-4, 1 page.055. Comité général des Amis de la République et de la Constitution (liste) et Vrais Républicains (liste).056. DOMENJON (A., de l’Isère). Simples réflexions morales et politiques. Lyon, Chanoine, 1849, in-12, 31 pp.057. RÉFLEXIONS d’un cultivateur du Trièves (Isère) sur les élections prochaines. Paris, Proux, 1849, in-12, 35 pp.058. JOUTEUR (P.). Projet d’organisation sociale tendant à l’amélioration des classes laborieuses. Vienne, Timon, 1849, in-8, 67 pp.059. AMOUROUX (J. A.). Une Course au clocher ou promettre et tenir sont deux. Grenoble, Baratier, s.d. (1849), in-8, 16 pp.060. PASCAL (Typographe). Le citoyen Pascal, Lt-Col. De la XIe légion de la Garde Nationale de Paris, à ses concitoyens de l’Isère. 20 février 1850. Vienne, Roure, in-4, 1 page.061. Comité Démocratique Central de l’Isère. Aux électeurs républicains du département. Grenoble, Maisonville, s.d., in-4, (2) pp.062. [BARRAL]. 3 documents électoraux.063. M. Dupont (de Bussac) jugé par ses œuvres. 2 mars 1850. Grenoble, Baratier, s.d., in-4, (2) pp. 064. Aux Habitants de Grenoble et du département de l’Isère, et plus particulièrement à la classe des travailleurs. Grenoble, le 7 mars 1850. Grenoble, s.d., in-4, 1 page.065. MORTILLET (Paul de). Réponse d’un cultivateur au Patriote des Alpes. Grenoble, Barnel, s.d., in-4, 1 page.066. DESSAIX (Joseph). La Vérité sur le duel qui a eu lieu près de Chambéry entre Alphonse Monod et Joseph Dessaix. Grenoble, Maisonville, 1850, in-8, 85 pp.067. BONJEAN (L. B.). Socialisme et sens commun. Paris, Le Normant, 1850, in-12, 69 pp.068. DAMBUYANT (C.). Album d’un sourd muet. La Guillotière, s.d. (1851), in-12, 23 pp.069. Deux feuilles émanant de l’Inspection des Postes de l’Isère et du procureur de la République de Grenoble datées des 3 et 4 décembre 1851 sur les événements politiques.070. MÉMOIRE pour Jean-Antoine Ferlay… contre J.-B.-M.-S. Bancel. Valence, Chenevier et Chavet, s.d. (1851), in-8, 56 pp.071. La NAPOLÉONADE, ou la plus vraie des légitimités,en deux épreuves, 1848 à 1851 (par un ancien militaire). Grenoble, 1852, 14 pp.072. CHAPUYS-MONTLAVILLE (Préfet de l’Isère). 2 circulaires aux maires, des 15 et 16 décembre 1851. Grenoble, Allier, s.d., in-4.073. TABLEAU des votes du 21 décembre, pour le département de l’Isère, par arrondissements, cantons et communes. Grenoble, Redon, s.d., 42 x 30.074. ÉLECTIONS de 1852 à Valence et à Grenoble. Ensemble de tracts et de circulaires.075. [AFFICHES ÉLECTORALES]. 3 affiches de convocation pour les élections dans la Drôme en 1851-1852. Valencce, Chenevier et Chavet, 1851-1852, 62 x 50.076. [AFFICHE]. Élection des députés au corps législatif. Arrêté relatif à la tenue des assemblées électorales. Grenoble, Allier, février 1852, 70 x 47.077. [AFFICHE]. Élection au corps législatif. Le seul candidat recommandé par le gouvernement pour l’arrondissement électoral de Grenoble, est M. Joseph Arnaud. Grenoble, Allier, février 1852, 70 x 47. Déchirure au centre avec manque.078. Aux Électeurs de l’arrondissement de Grenoble. Grenoble, le 6 février 1852. Grenoble, Redon, s.d., in-4, 1 page.079. Commission Napoléonienne. Électeur des campagnes. Grenoble, Baratier, s.d., in-8, 3 pp.080. [AFFICHE]. Vote sur le Senatus-Consulte du 7 novembre 1852 qui défère l’Empire au prince Louis-Napoléon Bonaparte sous le titre de Napoléon III, Empereur des Français. Valence, Chenevier et Chavet, 1852, 60 x 46.080 bis. BÉRARD (Préfet de l’Isère). 3 circulaires adressées aux maires, les 10 et 11 novembre 1852 et le 3 décembre 1852. 081. [AFFICHE]. Électeurs de la Drôme (appel à voter pour Louis-Napoléon). Valence, Chenevier et Chavet, 1852, 60 x 48.082. MICHAL (V.). Le Moyen de faire fortune. Grenoble, Maisonville, 1856, in-12, 52 pp.083. SAINT-ROMME (H.) A mes Juges et à mes concitoyens (contre les calomnies de napoléon Chancel). Grenoble, Maisonville, s.d. (1858), in-8, 38 pp.084. BERTRAND (Abbé I.). Journalistes et Journaux. Paris, Douniol, Valence, Favier, 1860, in-12.085. CHANCEL (Napoléon). Je ne puis me taire!! Deuxième mémoire dédié à mes concitoyens. S.l., 1862, in-8, 120 pp. Joint A mes concitoyens. Post-scriptum. 4 pp. (contre M. Saint-Romme).086. LEBLOND. Lettre d’un électeur de Grenoble à MM. les électeurs de la 1ère circonscription du département de l’Isère. Grenoble, 1865, in-8, 1863, 8 pp.087. PÉRIER (Casimir). Protestation contre les opérations électorales de la première circonscription du département de l’Isère adressée à Messieurs les membres du corps législatif. Troyes, 1863, in-8, 47 pp. 088. LETTRE d’un paysan à l’Empereur Napoléon III. Grenoble, Prudhomme, 1867, in-8, 14 pp.089. KLÉBER (Alphonse). Aux électeurs de la 2e circonscription électorale de l’Isère. S.l., 1867, in-4, 4 pp.090. BON (L.-P.). Épître première aux électeurs. Grenoble, 1867, in-8, 16 pp.091. PERACHE (J.). Le Guide de l’Électeur. Valence, Chaléat, 1869, in-16, 110-(1) pp.092. [AFFICHE]. Mensonge de la dernière heure. (Contre M. Bancel). Valence, Chenevier et Chavet, 1869, 56 x 44.093. BERGER. Mes chers compatriotes. Valence, Chenevier et Chavet, 1869, in-4, (3) pp.094. MORIN (Théodore). A mes concitoyens de la 3e circonscription électorale de la Drôme. Nyons, 1869, in-4, (3) pp.095. 1869. Election au corps législatif, 4eme circonscription de l’Isère. MÉMOIRE contre l’élection de M. Edouard Marion, ex-agent de change à Paris. Bourgoin, Moulin, 1869, in-4, 19 pp.096. ÉLECTION de M. le Vte Monier de la Sizeranne. Réfutation du Mémoire de M. Crémieux et de la protestation d’un certain nombre d’électeurs de la 2me circonscription de la Drôme. 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LAFOSSE (Calixte). L’Allobroge. Chants plébéiens. Romans, Rosier, 1872, in-16, 32 pp.105. DUCROS (Conseiller municipal à Romans). Prêtres et nobles. Réponse à Mgr de Ségur. Valence, Chaléat, 1872, in-12, 32 pp.106. DUCROS (J.-P.). Le Grand règne du Christ et de ses martyrs ou sa République. Valence, Chaléat, 1872, in-12, 120 pp.107. ROGUIER (Jules). Question de l’enseignement primaire. Réponse à M. Ducros. Valence, Berger & Dupont, 1872, in-8, 18 pp.108. Le GOUVERNEMENT de la Défense Nationale et le département de l’Isère. Dépêches télégraphiques officielles. Grenoble, Maisonville, 1875, in-12, 64 pp.109. RÉPONSE d’un bourgeois savoyard à la lettre d’un gentilhomme dauphinois. Au sujet du livre de M. René Maral. Grenoble, Drevet, 1876, in-12, 16 pp.110. MAUREL DE ROCHEBELLE (A.). La Conduite de Grenoble. Par un bon pèlerin. Grenoble, Dardelet, 1875, in-8.111. LETTRE d’un gentilhomme dauphinois. A Monsieur René Maral, prêtre, réfugié à Genève. Grenoble, Drevet, 1876, in-8, 15 pp.112. MAUREL DE ROCHEBELLE (A., Conseiller municipal de Meylan). Le Réveil est mort. Des lampions! Oraison funèbre du Réveil du Dauphiné. Chambéry, Bottero, 1877, in-12, 36 pp.113. MORELLET. La Vérité sur le radicalisme, le républicanisme et l’état de siège. Voies et moyens. Grenoble, 1877, in-8, 69 pp.114. DOSSIER sur les élections de 1877-1878 à Valence. Tracts et lettres autographes signées.115. CHALAMET (Dr C.). Enfants assistés. Du rétablissement des tours. Rapport présenté au Conseil Général de la Drôme. Valence, Chenevier et Pessieux, 1878, in-8, 15 pp.116. ARNAUD (A.). La Candidature de M. Vogeli. Grenoble, 1878, 12 pp.117. EYMARD-DUVERNAY (Ad.). Élections sénatoriales de l’Isère, du 5 janvier 1879. 8 pp.118. Les JÉSUITES et la propriété. Lettres grenobloises. Aux conservateurs. Grenoble, 1880, in-8, 16 pp.119. Un ŒUF de Pâques Dauphinois. Ditel et fantaisiste. Dédié à un Petit-Boutien. Par un gros-boutien. Vienne, Savigné, 1880, in-8, 30 pp.120. OBSERVATIONS sur un double projet de mairie et d’école de filles dans la commune de Voreppe. Grenoble, Maisonville, 1881, in-8, 15 pp.121. DOSSIER sur les élections municipales à Valence de 1884 à 1888. Tracts et listes électorales.122. LAURENS (Ch.). Situation politique et financière de la France. Appel à tous les citoyens indépendants! Valence, Imp. Valentinoise, 1885, in-12, 32 pp.123. FERLAY (Marius). Le Candidat malgré lui. Nouvelle historique tirée des récentes aventures politiques du vicomte de La Brunetière. Valence, Imp. Valentinoise, 1885, in-8, 56 pp.124. La LANTERNE DAUPHINOISE. Les élections dans l’Isère par Diogène Boisvert.. Journal électoral bi-hebdomadaire. Grenoble, 1889, 7 numéros brochés ensemble.125. [AFFICHE]. Les Candidats de l’Union Conservatrice aux électeurs du département de la Drôme. Valence, 1885, 44 x 31 sur papier orange.126. [AFFICHE]. Élections législatives du 4 octobre 1885. Profession de foi des candidats de l’Union Conservatrice. Valence, 1885, 84 x 60 sur papier orange.127. DOSSIER de l’Union Conservatrice. Lettres autographes signées et tracts.Joint quelques tracts politiques, documents électoraux ou municipaux et journaux de l’époque. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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