Un ouvrage de 128 pages, format 110 x 180 mm, illustré, broché, publié en 1983, Editions La Découverte/Maspero, collection "Repères", bon état
Reference : LFA-126722545
Lettre de France, L'Art de Vivre à la Française
M. Olivier Auriol de Bussy
04 74 33 45 19
Vente par correspondance, lors de salons à l'extérieur ou au Château de Vallin lors de manifestations culturelles. Nous vous accueillerons notamment les 13, 14 et 15 décembre 2024 (de 13 h 30 à 17 h 30 h) à l'occasion de "Livres au Château", exposition-vente de plusieurs milliers d'ouvrages, organisée au Château de Vallin, demeure historique des XIVe et XVIIIe siècles, située à Saint Victor de Cessieu, proche de La Tour du Pin, en Isère. (entrée libre)
Europe 2002 2002. ouvrage grand format broché 280 pages aux éditions Yves Michel 2002. vendu 21 euros en librairie TRES BON ETAT complet et solide sans déchirures ni annotations intérieur propre et frais quasiment pas de pliures sur les couvertures; ouvrage proche de l'état neuf Le parc nucléaire français vieillissant pose la question de son renouvellement dès maintenant. L'Etat français va-t-il relancer un programme nucléaire ou opter pour des alternatives ? En démocratie tout citoyen est en droit d'être convié au débat sur la politique énergétique. Soyons vigilants Le dessous des cartes de la mise en place du programme nucléaire en France est mis en lumière dans cet ouvrage : Didier Anger dénonce la collusion entre l'Etat et le lobby nucléaire avec son cortège de mensonges et de choix imposés. L'histoire du centre de retraitement de déchets radioactifs de La Hague a valeur d'exemple. C'est ainsi que la douce France s'est dotée du parc nucléaire le plus dense d'Europe. C'est aussi le seul pays où tant de logements sont chauffés à l'électricité. Les questions majeures générées par l'industrie nucléaire restent sans réponse depuis 30 ans : déchets radioactifs retraitement des combustibles irradiés dangers pour la santé publique et l'environnement menace terroriste. Quant au coût officiel du kilowatt/heure nucléaire son calcul est une imposture En Europe la plupart des pays ont ouvert le débat et ont tourné le dos au nucléaire. Sont-ils ignorants ? Non Ils intensifient l'utilisation des énergies renouvelables. Pourquoi pas la France ? Didier Anger préconise le recours à des alternatives diversifiées et surtout décentralisées qui représenteraient
Très bon état
SORTIR DU NUCLEAIRE. 1998. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 7 pages. Texte sur 3 colonnes.. . . . Classification Dewey : 539-Physique nucléaire
Dégonfler la baudruche + Moins mais mieux : les économies d'énergie + Le nucléaire, corne d'abondance ? + Sortie du nucléaire c'est possible ! + Les chauds et froids d'EDF + Du vent, du bois, du soleil et des emplois + Le nucléaire face à l'opinion publique. Classification Dewey : 539-Physique nucléaire
RBA Editions , Grandes Idées de la Science Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 2014 Book condition, Etat : Très Bon relié, cartonnage imprimé éditeur noir, illustré d'une figure en couleurs grand In-8 1 vol. - 151 pages
nombreuses illustrations dans le texte en noir et blanc édition de 2014 "Contents, Chapitres : Introduction - Une promenade dans la neige - La radioactivité - La découverte des éléments radioactifs - La fission nucléaire - La réaction en chaine - Bibliographie et index - Lise (Élise) Meitner, née en novembre 1878 à Vienne en Autriche et morte le 27 octobre 1968 à Cambridge, Royaume-Uni, est une physicienne autrichienne naturalisée suédoise. Elle est renommée pour ses travaux sur la radioactivité et la physique nucléaire. Elle joua notamment un rôle majeur dans la découverte de la fission nucléaire, dont elle fournit avec son neveu Otto Frisch la première explication théorique. Lise Meitner est souvent citée comme l'un des cas les plus flagrants de scientifiques injustement ignorés par le comité attribuant le prix Nobel. - La longue collaboration entre Lise Meitner et Otto Hahn porte sur la radioactivité. Dès leur première année de travail en commun, unissant leurs compétences respectives de physicienne et de chimiste, ils découvrirent plusieurs isotopes. Ils devinrent réputés pour leurs travaux, notamment pour la découverte du protactinium en 1918. Indépendamment de ses travaux avec Otto Hahn, Lise Meitner mena des recherches pionnières en physique nucléaire. Elle se consacra d'abord à l'étude des spectres de rayonnements bêta et gamma. En 1923, elle découvrit ainsi la transition non-radiative connue comme l'effet Auger, appelé en l'honneur de Pierre Auger, un scientifique français qui le découvre indépendamment deux ans plus tard. Elle découvrit également l'émission de paires électron-positron lors de la désintégration bêta plus. Elle effectua différentes mesures de la masse du neutron. Un autre aspect important des travaux de Lise Meitner concernait l'étude des réactions nucléaires artificielles. Ainsi, en 1934, alors que ce sujet était en plein essor, elle impliqua les deux chimistes Otto Hahn et Fritz Strassmann dans le « projet uranium », un programme de recherche qui allait mener, quatre ans plus tard, à la découverte de la fission nucléaire. Lise Meitner supervisa également la construction d'un accélérateur de particules dans le département de physique qu'elle dirigeait ; cette tâche fut achevée en 1938, peu de temps avant son départ d'Allemagne. - À la suite de la découverte du neutron par James Chadwick en 1932, l'idée se propagea dans la communauté scientifique que des éléments plus lourds que l'uranium (le plus lourd des éléments rencontrés sur Terre à l'état naturel) pouvaient être produits en laboratoire. Ce fut le départ d'une course effrénée entre les différentes équipes de physique nucléaire : les groupes d'Ernest Rutherford (Royaume-Uni), Irène Joliot-Curie (France), Enrico Fermi (Italie), Otto Hahn et Lise Meitner (Allemagne) se lancèrent dans la compétition. L'enjeu, tel qu'il était alors perçu, n'était autre que l'honneur d'être les premiers à produire ces éléments inconnus, et l'espoir de voir un tel résultat récompensé par un prix Nobel. Personne n'envisageait à ce moment de possible application pour ces recherches. Lorsque Lise Meitner fut contrainte de fuir l'Allemagne en 1938, elle poursuivit sa collaboration avec Otto Hahn par correspondance. Les deux scientifiques se rencontrèrent clandestinement à Copenhague en novembre 1938, afin de planifier une nouvelle série d'expériences. De retour à Berlin, Hahn réalisa ces expériences difficiles avec Fritz Strassmann ; ils mirent en évidence la présence de baryum parmi les éléments produits à la suite du bombardement de l'uranium avec des neutrons. Ils envoyèrent le manuscrit exposant ces observations à la revue Naturwissenschaften en décembre 193816. Simultanément, ils envoyèrent une lettre à Lise Meitner pour lui faire part de leurs résultats expérimentaux. Étant donnée la situation politique, Lise Meitner ne pouvait figurer comme coauteur de la publication, malgré son rôle majeur dans le déroulement de ces recherches. La possibilité que l'uranium se brise en éléments plus légers sous l'effet d'un bombardement de neutrons avait été suggérée plusieurs années auparavant, notamment par Ida Noddack en 1934. La première explication théorique de ce phénomène fut apportée par Lise Meitner et son neveu Otto Frisch en février 1939, en employant le modèle de la goutte liquide de Niels Bohr pour décrire le noyau atomique. Ils expliquèrent comment le noyau d'uranium peut se scinder en deux parties, un noyau de baryum et un de krypton, tout en éjectant plusieurs neutrons et une grande quantité d'énergie. Ces prédictions furent confirmées expérimentalement par Frisch. Ils purent également expliquer pour quelle raison aucun élément plus lourd que l'uranium n'existe à l'état naturel : avec l'augmentation du nombre de protons, la répulsion coulombienne devient si forte qu'elle l'emporte sur l'attraction de la force nucléaire qui lie les nucléons entre eux. (source : Wikipedia)" bel exemplaire, frais et propre
Presses Universitaires de France - P.U.F. Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1977 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée à rabats éditeur noir, illustrée d'une figure rose foncé grand In-8 1 vol. - 439 pages
quelques figures dans le texte en noir et blanc 1ere traduction en français, 1977 Contents, Chapitres : Avant-propos, préface et chronologie - Energie nucléaire dans la guerre et dans la paix - Les débuts de l'énergie atomique - Le chemin de Genève - Politique atomique en Allemagne - Démarrage avec de l'uranium naturel et de l'eau lourde - Le premier programme atomique allemand - Nouveau départ de la recherche nucléaire allemande - Réacteurs à eau légère - Le cycle du combustible - Le traité de non-prolifération des armes atomiques - Le réacteur à neutrons rapides - Passage par la filière uranium-graphite pour arriver au réacteur à haute température - Fusion nucléaire, une alternative ? - Protection contre les rayons et sécurité des réacteurs - Crise de l'énergie dans le monde - Seule issue : L'énergie nucléaire - La tâche qui demeure - Bibliographie et index - Karl Eugen Julius Wirtz (né en 1910 à Cologne - mort en 1994) est un physicien nucléaire allemand. Professeur de physique dans plusieurs universités, il est surtout connu pour avoir été fait prisonnier par les forces alliées brittano-américaines à Farm Hall pendant six mois lors de l'opération Epsilon. - En 1937, Wirtz devient membre de l'équipe scientifique du Kaiser-Wilhelm Institut für Physik situé à Dahlem-Berlin. En 1940, il travaille sur le réacteur à couche horizontale de Friedrich Bopp et Erich Fischer. En 1941, il devient Privatdozent à l'université Humboldt de Berlin. Au printemps 1945, il est enlevé par les forces alliées dans le cadre de l'opération Epsilon. Il est détenu six mois à Farmhall. En 1946, il travaille à Göttingen à l'Institut Max-Planck de physique, issu du Kaiser-Wilhelm Institut für Physik. De 1948 à 1957, il est également professeur extraordinaire à l'université de Göttingen. À partir de 1950, il devient membre scientifique de la Société Kaiser-Wilhelm-Gesellschaft. De 1957 à 1979, Wirtz est professeur régulier de physique appliquée aux réacteurs à l'Institut de technologie de Karlsruhe et directeur de l'Institute of Neutron Physics and Reactor Technology au centre de recherche nucléaire de Karlsruhe, fondé en 1957. De 1965 à 1967, il est à la tête du conseil scientifique du Karlsruhe Center for Nuclear Research. De 1974 à 1976, il est doyen de faculté de génie mécanique de l'Institut de technologie de Karlsruhe. (source : Wikipedia) - Karl Winnacker, 1903-1989, est un chimiste allemand. infime accroc sur le mors du plat inférieur de la couverture qui reste en bon état, sinon bon état, intérieur frais et propre, papier à peine jauni
1975 1975. L'énergie nucléaire - Yves Chelet/ Le rayon de la science 1975
Bon état