Un ouvrage de 163 pages, format 125 x 195 mm, broché, publié en 1976, DDB, bon état
Reference : LFA-126718401
Lettre de France, L'Art de Vivre à la Française
M. Olivier Auriol de Bussy
04 74 33 45 19
Vente par correspondance, lors de salons à l'extérieur ou au Château de Vallin lors de manifestations culturelles. Nous vous accueillerons notamment les 13, 14 et 15 décembre 2024 (de 13 h 30 à 17 h 30 h) à l'occasion de "Livres au Château", exposition-vente de plusieurs milliers d'ouvrages, organisée au Château de Vallin, demeure historique des XIVe et XVIIIe siècles, située à Saint Victor de Cessieu, proche de La Tour du Pin, en Isère. (entrée libre)
Paris, Librairie Arthème Fayard, vers 1951; in-12, br. Les 11 volumes. L'église de la cathédrale et de la croisade, l'air des grands craquements , l'église des révolutions , l'église des temps classiques, l'église des apôtres et des martyrs, histoire sainte le peuple de la bible, l'église de la renaissance et de la réforme , un combat pour dieu, jésus en son temps, la réforme catholique , l'église des temps barbare les 11 volumes.
L'église de la cathédrale et de la croisade, l'air des grands craquements , l'église des révolutions , l'église des temps classiques, l'église des apôtres et des martyrs, histoire sainte le peuple de la bible, l'église de la renaissance et de la réforme , un combat pour dieu, jésus en son temps, la réforme catholique , l'église des temps barbare les 11 volumes.
Félix Alcan, 1930-1931, 4 vol. in-8°, vii-579, xxv-630, 616 et 735 pp, nouvelle édition, notes, index dans chaque volume, brochés, couv. lég. abîmée au tome 2, bon état
Complet — 1. Les dernières années du Pontificat de Pie IX (1870-1878) – 2. Les premières années du Pontificat de Léon XIII (1878-1894) – 3. Les signes avant-coureurs de la Séparation : les dernières années de Léon XIII et l'avènement de Pie X (1894-1910) – 4. La vie de l'Eglise sous Léon XIII. — "Ce livre [Les signes avant-coureurs de la Séparation] se rapporte à une période agitée de l'histoire des rapports de l'Eglise et de l'Etat. Après les années du ralliement, ce sont celles de l'affaire Dreyfus, des ministères Waldeck-Rousseau et Combes. L'objet essentiel du livre est la lutte contre les congrégations. C'est une suite d'événements dont l'importance pour les destinées de la France et de la République ne peut guère être exagérée. Parmi les traits dominants qui s'en dégagent, il y a d'abord la volonté très nette des républicains d'assurer dans tous les domaines la suprématie de l'Etat, et en particulier à l'égard de la religion : les uns penchent, sans grande résolution, vers la pacification intérieure ; les autres veulent continuer, par la lutte contre l'Eglise, l'effort d'émancipation de la Révolution. D'autre part, Léon XIII, désireux d'appuyer sur la France la politique de l'Eglise, s'efforce, avec les gouvernements successifs, de pratiquer une politique de conciliation ; mais, à l'intérieur de l'Eglise de France, des désaccords constants empêchent le succès de la politique pontificale et la collaboration avec les modérés. (...) L'auteur est d'une absolue bonne foi et d'une belle indépendance : il n'est que de lire, pour s'en convaincre, les deux chapitres relatifs à l'affaire Dreyfus, où le P. Lecanuet prend nettement parti pour l'innocence de Dreyfus. La documentation est abondante et ordinairement très précise : il y aurait peu d'observations à faire sous ce rapport ; il est bien écrit et composé. C'est une contribution remarquable à l'histoire et de l'Eglise et de la Troisième République." (E. Coornaert, Revue d’histoire moderne et contemporaine, 1931) — "Le quatrième volume de l'œuvre du P. Lecanuet est moins strictement ecclésiastique que son titre ne paraît l'indiquer. L'histoire de la presse catholique, du mouvement social et en particulier de la démocratie chrétienne, de l'Association catholique de la jeunesse française et du Sillon touchent de près à l'histoire politique ; l'exposé des initiatives catholiques en matière d'enseignement, des discussions suscitées par la question biblique, de l'affaire Loisy, des querelles philosophiques autour de l'Eglise et dans l'Eglise, de la controverse dite de l'américanisme sont du plus haut intérêt pour l'histoire des idées. Au fond, la question qui reste posée du commencement à la fin du livre est celle de savoir si et dans quelle mesure l'Eglise s'accordera avec la société moderne, si et dans quelle mesure elle restera elle-même. Comme le pontificat de Léon XIII a correspondu, pour l'Eglise de France, dans tous les domaines, à un effort tout à fait remarquable, mais souvent combattu, même de l'intérieur, par de vives oppositions, le livre offre le plus vif intérêt." (E. Coornaert, Revue d’histoire moderne et contemporaine, 1931) — "«L'Église de France sous la Troisième République : la vie de l'Église sous Léon XIII » du R. P. Lecanuet procure aux gens d'un certain âge le plaisir quelque peu mélancolique de revivre bien des événements, des controverses, des espérances et des déceptions. Il est très intéressant : par connaissance personnelle ou par d'abondantes lectures l'auteur a su bien des choses, il rappelle ou apprend beaucoup à ses lecteurs, et l'un est presque aussi instructif que l'autre. Là est son grand mérite. Le plan est simple et clair : traiter successivement les divers ordres de questions : la physionomie de l'épiscopat ( les évêques sont classés par ordre géographique) ; les œuvres de piété et la vie proprement religieuse ; la prédication ; la presse ; l'enseignement ; la question biblique ; le mouvement philosophique ; l'américanisme ; le mouvement social ; les associations de jeunes. Cette méthode offre le grand avantage qu'elle permet de trouver sans peine les renseignements précis dont on a besoin sur un sujet donné..." (E. Jordan, Revue d'histoire de l'Église de France, 1931) — "Le titre seul de cet ouvrage, comme le nom de l'auteur, disent assez par eux-mêmes l'intérêt puissant qui s'attache à ces pages et l'esprit qui les anime. L'historien de Montalembert n'a pas à se déjuger et les querelles qui peuvent lui être faites ne sauraient atteindre le fond même de son travail. (...) L'histoire que retrace le P. Lecanuet est tout à la fois singulièrement grande et étrangement mesquine..." (Albert Vogt, Revue d'histoire de l'Église de France)
Table ( extrait); le Christianisme dans l'Empire Païen (70-313), le temps des persécutions, la vie Chrétienne dans les premiers siècle, l’Église et les grands migrations des peuples en occident ( V-Xe siècle), décadence de l’Église ( IX-Xe siècle), la Chrétienté médiéval (XI-XIVe siècle), l'art au Moyen-age, la réforme catholique, le concile de Trente, depuis la Révolution jusqu'à nos jours. vol in-8, 210x135, relié pleine percaline, 512 pp, bel état illustrations in et hors texte Alfred Card 1941 L'histoire de l'Église fait référence à l'évolution et au développement du christianisme depuis ses débuts jusqu'à aujourd'hui. Voici une vue d'ensemble générale de l'histoire de l'Église chrétienne : Les Débuts (Ier siècle) : La fondation du christianisme remonte au Ier siècle après Jésus-Christ. Jésus de Nazareth, considéré comme le Christ et le fondateur du christianisme, a enseigné en Palestine au début du Ier siècle. Les apôtres, disciples de Jésus, ont joué un rôle central dans la propagation des enseignements chrétiens après sa mort et sa résurrection. La Période Apostolique (Ier siècle) : Les apôtres ont évangélisé différentes régions, établissant des communautés chrétiennes. Les lettres apostoliques, incluses dans le Nouveau Testament, témoignent des premières pratiques et croyances chrétiennes. Les Pères de l'Église (IIe-Ve siècles) :Les Pères de l'Église, tels que Augustin d'Hippone et Irénée de Lyon, ont contribué à la théologie chrétienne et à la définition de la doctrine. L'Église a dû faire face à des défis théologiques et doctrinaux, comme l'hérésie. le Concile de Nicée (325) : Le concile a été convoqué pour résoudre les controverses théologiques, en particulier la question de la nature du Christ.Il a abouti à la formulation du Credo de Nicée, qui énonce les principes fondamentaux de la foi chrétienne. Le Schisme d'Orient et d'Occident (1054) :La division entre l'Église catholique romaine et l'Église orthodoxe orientale a abouti à un schisme, marquant la séparation entre l'Orient et l'Occident. La Réforme (XVIe siècle) : Des réformateurs tels que Martin Luther, Jean Calvin et Ulrich Zwingli ont critiqué certaines pratiques de l'Église catholique romaine. La Réforme a conduit à la création de diverses confessions protestantes. Les Temps Modernes (XVIIe-XIXe siècles) :Les mouvements missionnaires ont contribué à la propagation du christianisme dans le monde entier. L'Église a également dû faire face aux défis de la rationalité et des Lumières. Le Concile Vatican II (1962-1965) :Le concile a introduit des réformes significatives dans l'Église catholique, favorisant une ouverture au monde moderne. L'Église Contemporaine : Les Églises chrétiennes contemporaines font face à des questions telles que la sécularisation, le dialogue interreligieux et les questions éthiques contemporaines. L'histoire de l'Église est complexe et diversifiée en raison des nombreux événements et développements survenus au fil des siècles, marqués par des conflits, des réformes, des découvertes théologiques et des interactions avec la société et la culture environnantes. ref/268
[Librairie Adrien Le Clerc et CieSagnier et Bray, etc.] - CORAIL, R.P. Alphonse ; R.P. Crozes ; R.P. Van den Brulen ; Mgr de Rovérié de Cabrières ; R.P. Farjou ; Monseigneur Gastaldi Archevêque de Turin ; R.P. Caussette ; Abbé Félix Laprie ; Mgr. Landriot ; Mgr l'Evêque de Poitiers ; R.P. Adolphe Perraud ; S. G. Mgr. Gaspard Mermillod ; R.P. Alexis-Louis de Saint-Joseph ; R.P. Henri VADON
Reference : 37096
(1871)
1 vol. in-8 reliure demi-basane bleure, dos à 4 nerfs orné (fleruons), contient : Discours prononcé à N.-D.-des-Victoires le jour du couronnement de l'Image de la Sainte Vierge (9 juillet 1853) par le R.P. Alphonse Corail, Sagnier et Bray, Paris, 1853, 45 pp. et 1 f. [ Suivi de : ] Panégyriques des Bienheureux Martyr dominicains et Jésuites Pierre Sanz et ses Compagnons OP, Adolphe d'Acquaviva et ses Compagnons, S.J. prononcés dans l'Eglise Métropolitaine de Toulouse les 9, 10 et 11 avril 1894 par le R.P. Crozes, le R.P. Van den Brule et S.G. Mgr de Rovérié de Cabrières Evêque de Montpellier, Imprimerie Viallele et Cie, Toulouse, 64 pp. [ Suivi de : ] Christophe Colomb. Discours prononcé en l'Eglise Métropolitaine de Toulouse le 16 octobre 1892 par le R.P. Farjou, Imprimerie et Librairie A. Loubens, Toulouse, 1892, 52 pp. [ Suivi de : ] Le Bienheureux Pierre Sanz et ses Compagnons, Martyrs de l'Ordre de Saint Dominique. Panégyrique prononcé dans l'Eglise primatiale Saint-André de Bordeaux le 15 Novembre 1893, par le R.P. Farjou, Imprimerie R. Coussau & F. Coustalat, Bordeaux, 1894, 29 pp. et 1 f. [ Suivi de : ] Saint Thomas d'Aquin. La Science et la Sainteté. Panégyrique de Saint Thomas d'Aquin de l'ordre de Saint Dominique prononcé par Monseigneur Gastaldi Archevêque de Turin. Traduit de l'Italien par l'Abbé Didier, Librairie Internationale Catholique et Scientifique, Chv. L. Romano, Turin, 1883, 26 pp. et 2 f. [ Suivi de : ] Discours prononcé par le R.P. Caussette le 3e jour du triduum des fêtes de la béatification du B. Pierre Lefèvre (3 février 1874), Imp. Hébrail, Durand, Delpuech, Toulouse, 29 pp. [ Suivi de : ] Discours prononcé aux Fêtes publiques de La Trappe de N.-D. du Désert le jour de Saint Bernard (1874) par le R.P. Caussette. Saint Bernard & son oeuvre, Edouard Privat, Toulouse, 1874, 41 pp. [ Suivi de : ] Panégyrique de l'Abbé Louis Beaulieu missionnaire en Corée martyrisé le 8 mars 1866 prononcé dans l'Eglise de Langon le 2 mai 1867, par l'Abbé Félix Laprie, Typographie Ve Justin Dupuy et Comp., Bordeaux, 1867, 47 pp. [ Suivi de : ] Eloge funèbre de Charles-Théodore Baudry, Evêque de Périgueux et de Sarlat, prononcé à Périgueux le 16 juin 1863 par Mgr. Landriot. Seconde édition, Victor Palmé, Paris, Bounet, Périgueux, Deslandes, La Rochelle, 1863, 58 pp. et 1 f. [ Suivi de : ] Oraison funèbre de Monseigneur J.-B.-A. George-Massonnais Evêque de Périgueux prononcée par Mgr l'Evêque de Poitiers, Vor Palmé, Paris, H. Oudin, Poitiers, 1861, 32 pp. [ Suivi de : ] Oraison funèbre de Monseigneur Darboy Archevêque de Paris, fusillé à La Roquette par ordre de la Commune le 24 mai 1871. Prononcé dans l'Eglise métropolitaine de Notre-Dame le mardi 18 juillet 1871 par le R.P. Adolphe Perraud, Librairie Adrien Le Clère et Cie, Paris, 1871, portrait en frontispice et 80 pp. [ Suivi de : ] Oraison funèbre de Monseigneur de La Bouillerie prononcée par S. G. Mgr. Gaspard Mermillod le 11 septembre 1882 dans l'Eglise primatiale de Bordeaux, Revue catholique de Bordeaux, 553-598 pp. [ Suivi de : ] Eloge funèbre historique du T.R.P. Dominique de St-Joseph Général des Carmes-Déchaussés et Restaurateur de son ordre en France, de nos jours, prononcé dans l'Eglise du Noviciat du Broussey le 11 août 1870 par le R.P. Alexis-Louis de Saint-Joseph, L. Pomiès, Carcassonne, 1870, 50 pp. [ Suivi de : ] Oraison funèbre de Notre Tr-s-Saint-Père le Pape Pie IX par le R.P. Henri Vadon. Deuxième édition, Lecoffre Fils et Cie, Paris, Lyon, 1878, 58 pp.
Bon état (anciens cachets d'institution religieuse, petite étiquette de cote au plat sup.) pour ce recueil de discours et d'oraison funèbre (toutes, hormis 2, en édition originale), dont la très rare édition originale de l'oraison funèbre de Mgr. Darboy.
Fayard, 1960, fort in-12, 1045 pp, biblio, tableaux chronologiques, index, broché, bon état (Coll. Les Grandes études historiques). Edition originale sur papier Alfa des Papeteries Navarre
"Cet ouvrage constitue la première partie du tome VI de l'« Histoire de l'Eglise du Christ » que M. Daniel Rops publie depuis une vingtaine d'années. C'est l'œuvre d'un excellent historien, mais d'un historien « engagé ». Historien engagé, c'est-à-dire qui croit non seulement à la vérité de l'Eglise catholique, mais qui écrit pour la défendre. Engagé, donc subjectif, mais impartial. Daniel Rops conçoit avec raison « les révolutions » comme un immense mouvement qui atteint tout le monde occidental. Dans ce gros ouvrage, un peu plus du quart est consacré à ce que, traditionnellement, on appelle « la Révolution française ». Le récit est clair, vivant, assez bien documenté, les erreurs sont rares. Daniel-Rops rend hommage au clergé constitutionnel dont il s'est efforcé de comprendre et de faire comprendre l'attitude. Pour l'auteur, la révolte de la Vendée est essentiellement d'origine religieuse. « Le sabre et l'esprit » : tel est le titre du chapitre qui retrace l'histoire de l'Eglise sous Napoléon. Pour Daniel-Rops, Napoléon ne manifestait aucune sincérité dans ses démonstrations religieuses, c'était un athée, tout au plus un vague déiste. Il a voulu faire de l'Eglise une espèce de police supplétive, et y a, en France, en partie réussi. Les luttes entre Pie VII et Napoléon sont retracées avec beaucoup de clarté, jamais l'abondance de la documentation ne vient masquer les lignes directrices de cette histoire. Ainsi que nous le disions, les trois quarts du volume sont relatifs à la période qui s'étend de 1815 à 1870. Il est impossible ici de les analyser en détail. Signalons les très belles pages que Daniel Rops consacre à Lamenais, et le chapitre consacré à Pie IX, beaucoup plus favorable à ce pape que le livre du chanoine Aubert dans l'« Histoire de l'Eglise », de Fliche et Martin. Le livre de Daniel-Rops est une histoire de l'Eglise au sens le plus général du terme : l'auteur ne se borne pas à étudier l'histoire des papes et celle des relations entre l'Eglise et les Etats, mais aussi, quand c'est possible, la foi et la pratique religieuses, l'art religieux, les missions et les œuvres. Une bibliographie fort complète, des tableaux chronologiques et un index terminent l'ouvrage et en font un bon instrument de travail." (Jacques Godechot, Annales historiques de la Révolution française, 1961) — "Ces mille pages d'une typographie serrée nous conduisent des États généraux de 1789 aux dernières années du règne de Pie IX. C'est bien, pour l'Église elle-même, l'ère des révolutions : si féconde en bouleversements de toutes sortes, la rupture politique qui anéantit la monarchie française atteint profondément la tradition chrétienne ; elle sera suivie d'autres révolutions où « le social » se mêlera de plus en pîus au politique, sans épargner toujours la vie religieuse ; et nous nous retrouverons, à l'issue de cette période, en face d'une Église, à certains égards renouvelée, qui aura perdu, en son centre, son domaine temporel, mais renforcé son autorité doctrinale. Un siècle si plein de violences ne pouvait être, dans l'ordre de l'esprit et tout spécialement de la foi, qu'un siècle tourmenté. (...) Bien construit, s'efforçant de ne laisser dans l'ombre aucun des grands problèmes qui ont surgi en marge de tous les courants religieux du siècle et leur ont communiqué souvent un peu de leur propre vigueur, riche en portraits suggestifs et en tableaux impressionnants, bourré de noms et de faits (voire de menus faits), sans négliger pour autant d'opportunes synthèses, ce livre substantiel est vivant comme la vie qu'il retrace." (Charles Ledré, Revue d'histoire de l'Église de France, 1961) — "Avec ce huitième volume de son « Histoire de l'Eglise du Christ », D.-R. couvre la période qui s'étend de 1789 à 1870. Comme les précédentes, cette synthèse repose sur une abondante bibliographie. L'ouvrage se termine par un tableau chronologique, un index des noms et une table des matières détaillée, qui en facilitent la consultation." (Revue française de science politique, 1961)