Un ouvrage de 30 pages, format 175 x 245 mm, illustré, relié cartonnage couleurs, publié en 1980, Hachette, Collection "Histoire Juniors", bon état
Reference : LFA-126712552
Histoire de Louis XI pour les enfants
Lettre de France, L'Art de Vivre à la Française
M. Olivier Auriol de Bussy
04 74 33 45 19
Vente par correspondance, lors de salons à l'extérieur ou au Château de Vallin lors de manifestations culturelles. Nous vous accueillerons notamment les 25 et 26 Janvier 2025 (de 13 h 30 à 17 h 30 h) à l'occasion de "Livres au Château", exposition-vente de plusieurs milliers d'ouvrages, organisée au Château de Vallin, demeure historique des XIVe et XVIIIe siècles, située à Saint Victor de Cessieu, proche de La Tour du Pin, en Isère. (entrée libre)
Paris, Librairie Renouard, 1883-1909. 11 vol. in-8, demi-chagrin rouge, dos à nerfs, armes du comte d'Antioche dorées en queue du dos, tranches mouchetées (quelques petites épidermures et taches, quelques petites rousseurs).
Édition de la correspondance de Louis XI, publiée pour la Société de l'Histoire de France par Joseph Vaësen, Étienne Charavay et B. de Mandrot. Ex-libris héraldique du comte d'Antioche. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
A Paris, Chez les frères Guerin, 1745. 3 volumes in-8 de XXXIV-[4]-458 + 548 + 476-[60] pages, plein veau brun, dos à nerfs ornés, plats encadrés d’un filet à froid et ornés aux armes des Ducs de Montmorency-Luxembourg. Accrocs aux coiffes, accroc au mors du 1er plat vol. 1 et 2, dos frottés.
1 portrait de Louis XI en frontispice, bandeaux et culs-de-lampe. Charles François Frédéric de Montmorency-Luxembourg, capitaine des gardes du corps du Roi, gouverneur de Normandie, maréchal de France, né le 31 décembre 1702. Aide de camp et ami de Louis XV. Il avait épousé, en secondes noces, Mle de Villeroi. C’est chez lui que J.-J. Rousseau demeura quelques temps à Montmorency. Il mourut le 18 mai 1764. Le maréchal de Luxembourg mourut en janvier 1787. Il avait l’une des plus belles bibliothèques de Paris.
Paris, Boivin & Cie éditeurs, ancienne Librairie Furne, sans date. Grand in-4 de [4]-79 pages montées sur onglets, pleine percaline bleue, premier plat orné d'une composition représentant Louis XI pensif, du titre doré et d'un semis de fleurs de lys, tranches dorées, tire doré au dos. Second plat griffé, noms de possesseurs sur garde, 2 feuillets déchirés et réparés (un au scotch).
Illustré d'aquarelles en couleurs (chromotypogravure) de Job in-texte ou à pleine page, certaines à double page.
Lib. Renouard. 1883-1903. In-8. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos abîmé, Quelques rousseurs. XXIV + 390 + 396 + 389 + 375 + 404 + 386 + 336 + 381 pages. Certains cahiers non-coupés. Plats déchirés, pliés, dont certains désolidarisés. Manque important 2e plat du tome 1. Tomes 6, 7 : légères traces de mouillure. Tome 8 : 1er plat manquant. Dos pliés, mors fendus, quelques manques en coiffes.. . . . Classification Dewey : 846-Lettres, correspondance littéraire
1. Lettres de Louis Dauphin, 1438-1461- 2. Lettres de Louis XI, 1461-1465 - 3. Lettres de Louis XI, 1465-1469 - 4. Lettres de Louis XI, 1469-1472 - 5. Lettres de Louis XI, 1472-1475 - 6. Lettres de Louis XI, 1475-1478 - 7. Lettres de Louis XI, 1478-1479 - 8. Lettres de Louis XI, 1479-1480 Classification Dewey : 846-Lettres, correspondance littéraire
Bloud et Cie, 1908, in-8°, ix-252 pp, broché, couv. défraîchie, bon état (Nouvelle bibliothèque historique). Peu courant
"On sait quel infatigable voyageur fut Louis XI. II n'était jamais en place et cette activité fébrile fit certainement une partie de sa politique et de ses succès. M. Navarre a eu l'idée ingénieuse de nous montrer en Louis XI le pèlerin, car ce souverain cauteleux et peu scrupuleux tenait à se mettre en règle avec le ciel par ses dévotions envers la Vierge et les saints. C'est le Louis XI saint homme que nous montre M. Navarre, avec une abondance de détails qui ne laisse rien à désirer. Son seul tort est de conclure de la dévotion de Louis XI à sa piété. Certainement il croyait, mais croire et être religieux sont deux. On peut être dévot et brigand..." (Gabriel Monod, Revue Historique, 1908) — "Parmi les nombreux ouvrages d'histoire consacrés à Louis XI et qui l'étudieut sous tous les rapports possibles, à toutes les époques et dans toutes les circonstances de sa vie, on en eût jusqu'ici trouvé difficilement un, croyons-nous, consacré uniquement à sa dévotion. Eh bien ce Louis XI dévot, ce Louis XI au chapeau chargé de médailles de plomb, ce Louis XI-là a tenté la curiosité érudite de M. Marcel Navarre ; et c'est là, certes, un sujet attachant. Que le plus grand politique du Moyen Age en ait été peut-être aussi le plus grand dévotieux, il y a là deux aspects dont il vaut d'étudier les rapports. Ils sont peu conciliables à première vue. Louis XI n'hésita jamais à se parjurer, c'est un fait que l'ouvrage de M. Navarre n'infirme point ; et, après Péronne, le Téméraire pouvait demander « Par quel Dieu jurera-t-il dont il n'ait déjà mérité la colère ? » Mais la vérité d'une physionomie gît dans la conciliation de ses aspects les plus opposés. Il sentait que le sens des choses était pour lui, ce Louis XI, ce faiseur d'unité nationale. Il multipliait les pèlerinages, du Nord au Midi, au Mont Saint-Michel, à Soulac, à Rocamadour, à Saint-Denis en France, à Notre-Dame de Hal (après l'humiliation de Péronne), à Notre-Dame de Celles, Notre-Dame de Béhuart, Notre-Dame de Fourvière, etc., etc. M. Marcel Navarre a recueilli minutieusement tous les faits (autant que possible), classés d'après les dates mêmes de la vie de Louis XI. Tous les gestes de la dévotion de Louis XI sont là, mis à leur place dans la série de ses guerres, de ses négociations, de ses entreprises, des vicissitudes de sa fortune. De la sorte, le lecteur aura toutes les pièces en mains, et grâces en soient rendues à M. Marcel Navarre, qui lui permettront de conclure sur la valeur de la piété de Louis XI, sur la fonction en quelque sorte de cette piété non seulement dans la religion de l'homme, mais encore dans la politique du roi, dont, selon nous, elle ne reste pas distincte." (Edmond Barthèlemy, Mercure de France, 1908)