Actes Sud - Papiers, 1990, in-8 broché, 70 pp. Théâtre. TRES BON ETAT.
Reference : 7843
LE SERPENT QUI PENSE
M. ERIC BIBAULT
06 34 99 23 95
CONDITIONS DE VENTE conformes aux usages de la librairie ancienne et moderne. Retours acceptés après accord préalable. Pas de supplément de frais de port à partir du 2e livre commandé (une même commande). FRAIS DE PORT : FRANCE : à partir de 4 € (tarif ajusté en fonction du poids des livres), de 4 € à 7€ pour les envois en tarif lettre/écopli. Gros livres expédiés en colissimo (tarif en fonction du poids) ou, de préférence, en Mondial Relais (plus économique). FRAIS DE PORT : ETRANGER : en général 4€ (Europe), 5-6 € (autres pays), tarif économique, néanmoins assez rapide, le tarif est ajusté en fonction du poids des ouvrages et de la destination. Expédition par mondial relais pour les colis lourds (Europe). - Expédition rapide après réception du règlement. Paiement par CHEQUE bancaire ou postal (payable en France uniquement), par VIREMENT bancaire ou par PayPal. - Tous nos livres sont contrôlés et nettoyés. Tout défaut est signalé. Retour offert en cas d'erreur de la librairie.
Editions Deux-trois librairie Bernardin-béchet. non daté. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Coiffe en pied abîmée, Papier jauni. 252 pages - plats jaunis avec des rousseurs - tampons sur le 1er plat - coiffes abîmées - étiquette collée sur le dos - tampon sur la page de titre - annotation sur la page de garde.. . . . Classification Dewey : 944.051-Histoire de Napoléon 1er
Collection écrivains contemporains. Classification Dewey : 944.051-Histoire de Napoléon 1er
Paris, Editions Deux-Trois, sans date, format 188x120mm, broché, 252 pages, exemplaire en bon état.
IMPRIMERIE M.RAES. VERS 1967. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 61 à 88 - quelques illustrations en noir et blanc dans et hors texte - textes sur deux colonnes.. . . . Classification Dewey : 391.1-Costume
Sommaire : les journées de kulmbach 1967 - de l'infanterie de la garde - equipage de pont de pontons - officier de la garde nationale 1828 - l'armée allemande de 1939 - 1945 - timballer du 1er lanciers polonais de la garde etc. Classification Dewey : 391.1-Costume
Paris, Librairie militaire J. Dumaine, 1866. In-8, (2) ff. [faux-titre/imprimeur, titre]-LV-(1)-491-(1)pp., demi-maroquin vieux rouge à grain long, dos à nerfs ornés, titre doré (reliure de l’époque ; petites traces de chocs sur le plat supérieur, quelques rares rousseurs ; assez bel exemplaire). L’AUTEUR : La Préface est signée G. de P.: Philippe-Gustave de Pontécoulant (Paris, 1796-Pontécoulant (Calvados), 1874), entré à Polytechnique en 1811, était Lieutenant de l’Artillerie à cheval de la Garde Impériale, en juin 1815 ; aide de camp du maréchal Gérard en 1832, il finira sa carrière comme colonel en 1849. Ce fut un éminent astronome. Son père, Louis-Gustave (Caen, 1764-Paris, 1853), militaire, puis surtout homme politique qui traversa, sans trop d’encombre, tous les régimes politiques de l’époque, de l’Ancien Régime à la Restauration : il connut quelques alertes sous la Révolution (exil en Suisse, membre des Cinq Cents : proscrit) ; tout rentra dan l’ordre après le 18 Brumaire : il sera fait comte en 1808 et , sous la Restauration, sénateur et Pair de France. Il a laissé des souvenirs. Confusion des prénoms ; certains attribuent au père l’ouvrage du fils : parmi la foule des reprints numériques, cette jolie perle ( in bookwagon, collection « Military History & Warfare », avec en sus , ce joli nom : Louis Gustave de Pont Coulant ! Cette marque de camembert n’est pas très connue…) .
LE LIVRE : Édition originale : Barbier (IV, col. 554), Quérard (Supercheries littéraires, II, 189), Tulard (1174), BNF (34081825, Gallica, sans les cartes), manque à la Médiathèque de Caen. Présentation « originale » : à la suite des textes préliminaires ( Pélerinage à Waterloo en 1865 - signé G. de P. -, et Avant-Propos ), on trouvera VI chapitres, suivis chacun, d’un Appendice , contenant des Pièces historiques ; in fine, Notes et Observations , dont un jugement sans appel , Le maréchal Ney et le maréchal Grouchy en 1815 (pp. 463-479). Exemplaire bien complet des trois cartes hors-texte à pleine page. COMMENTAIRE : ce texte est le fruit du sentiment d’injustice ressenti par l’auteur qui par trois fois avait foulé le sol belge : en 1815, il était dans la Garde ; en 1832, la topographie modifiée pour construire « l’énorme pyramide que couronne le ridicule lion belge » ; la troisième fois, ce sera son « Pèlerinage». RÉVISION : Pontécoulant, zélateur acharné de l’empereur, règle ses comptes avec les historiens, d’abord les amis, qui « n’ont voulu voir, de la campagne de 1815, que la terrible catastrophe qui la termina , occultant « la beauté du plan, l’audace du début, aux heureux succès, enfin, qui avaient couronné ses heureux commencements » : Gourgaud et Las Cases qui « néglige des détails honorables pour nos armes », bien que sa relation ait été dictée par Napoléon… Thiers, dont le texte « est un ouvrage d‘imagination plutôt qu’une œuvre historique », truffée « d’assertions hasardeuses quand elles ne sont pas absolument fausses ». Suivent les « écrivains honorables, Lamartine, Thibaudeau, Norvins, Vaudoncour », grâce à qui « cette dernière campagne fut aussi glorieuse pour sa renommée que ses plus belles victoires » !! Mais, hélas, « une nouvelle école s’est formée (…) fortement appuyée sur des influences de parti » qui ont entraîné « des relations malveillantes de la campagne de 1815 ». Ce sont les républicains: Edgar Quinet et, surtout, Jean-Baptiste -Adolphe Charras (1810-1865), auteur de l’Histoire de (…) Waterloo, Bruxelles, Méline 1858 : « on a vu un militaire jeune encore, sans nom dans l’armée, sans précédents, sans autorité, porté à un grade élevé par le malheur des révolutions (…) se poser en juge souverain du plus grand capitaine des temps anciens et des temps modernes » (p.XIV). D’où ce « précis rectifié de la campagne de 1815 ». S’agirait-il d’une vengeance post-mortem ? Charras, ardent républicain modéré vient de mourir en exil (en janvier 1865), Pontécoulant peut reprendre à son compte l’éloge funèbre prononcée par Napoleon III « C’est un grand débarras » ; l’amusant, dans cette histoire, c’est que ces deux-là se connaissaient très certainement : en juillet 1830, Charras était jeune officier d’ordonnance du Maréchal Gérard, deux ans avant Pontécoulant ; ce dernier, moins jeune, s’est-il fait un nom dans l’armée ? Alors, impartiale la révision ? la couleur est annoncée (p.XIX) : nous nous sommes « écarté quelquefois des règles d’une froide impartialité, lorsqu’il s’agira de raconter les habiles manœuvres ou les savantes conceptions de ce génie hors ligne (…). Cette partialité (…) ne serait que l’expression de notre profonde admiration pour les mérites transcendants de Napoléon ». Souvenirs militaires? Devoir de mémoire ? Non. Néanmoins, malgré les emportements hagiographiques de l’auteur ce livre propose de « Rares et intéressants mémoires » (Clavreuil/cat. 320, 1990, n°1109). Superbe exemplaire, agrémenté d’un ex-dono de l’auteur sur le faux-titre. BUR (C6)
Imp.Crété. 1914. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Agrafes rouillées, Intérieur acceptable. 15 pages agrafées - nombreuses photos en monochrome dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : L'interrogatoire d'un officier de la garde - quelques hommes politiques d'Allemagne - le roi d'Angleterre sur le front - ce qui se passe chez nos ennemis - l'anniversaire de la bataille de Champigny - départs de troupes et arrivées de prisonniers à Alger - un nouveau crime des barbares - nos alliés les russes avancent sur un front qui s'étend de la baltique à la roumanie - après les combats dans l'est - les champs de repos - l'aviation et la guerre - dans les flandres occidentales - en marge de la guerre - après 4 mois de guerre - les opérations navales. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues