Paris, Marcel Seheur, collection La Vie au XVIIIe siècle; 1929, in-8 broché couverture illustrée, 120 pp, nombreuses illustrations, édition numérotée 579/1850. Petites déchirures aux coiffes au niveau des charnières, sinon couverture en bon état, intérieur en TBE.
Reference : 5361
LE SERPENT QUI PENSE
M. ERIC BIBAULT
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Hamburg, bei Hoffmann und Campe 1837. 1 Bl., 39 S. Bedruckter Originalumschlag.
Goedeke VIII, 558, 53. - Wilhelm-Galley 413. - Borst 1835. - Houben I, 408. - Erste Ausgabe. Ursprünglich als Teil des 'Salons' gedacht, konnte die Vorrede wegen der Zensur in Giessen nicht erscheinen. "Sie war eine nachdrückliche Abfertigung des Denunzianten Menzel und sollte diesen zu einem Duell zwingen, was aber nicht gelang." (Houben). Campe fand mit der Vorrede bei der Zensurbehörde in Hamburg mehr Gnade und liess deshalb die Schrift dort drucken. - Vereinzelt leicht fleckig. Umschlag sauber.
nantes Imprimerie Chantreau et Fils 1955 un Menu, cartonné (2 grandes feuilles pliées en deux et reliées par un cordonnet saumon), format : 20 x 15,5 cm, 1ère page illustrée de la reproduction (en plus petit) de la gravure de 1850 en 2 tons : La France de nos Jours - Nantes - vue de la Bourse, page 2 intérieure imprimée comme suit : VILLE DE NANTES - CHAMBRE DE COMMERCE : DEJEUNER DU 17 DECEMBRE 1955 EN L'HONNEUR DES PERSONNALITES VENUES A NANTES POUR L'INAUGURATION DE LA "NOUVELLE TRAVERSEE DE LA VILLE" PAR LA LIGNE DE CHEMIN DE FER DE PARIS A QUIMPER - SALONS MAUDUIT TRAITEUR, 3 ème page déclinaisons des vins (du repas), 4ème page : Menu, 1955 Nantes Imprimerie Chantreau et Fils Editeur,
bel Exemplaire RARE ..en bon état (good condition). en trés bon état
Paris, Ambroise Dupont, 1827. Deux tomes en un volume in-12 de [XX] 259 pages et 316 pages. Ex-libris collé armorié : O'Reilly Le Havre. Très bon état intérieur. Demi-veau violet-foncé, dos à nerfs fins très richement orné de motifs floraux entrelacés, tranches marbrées. En excellent état.
Auguste Jal né à Lyon en 1795 et mort à Vernon en 1873, ex officier de marine, a participé à la rédaction du "Fureteur ou l'Anti-Minerve" (1817) et à celle du "Miroir des spectacles, des moeurs et des arts "(1821), du "Constitutionnel" et du "Courrier des électeurs". Le cabinet de cires de Curtius doit sa célébrité historique au fait que le 12 juillet 1789, les insurgés parisiens s'y emparèrent des bustes de Necker et du duc d'Orléans et les portèrent en triomphe dans les rues de la ville. Curtius, dont le véritable nom était probablement Curtz, artiste allemand de naissance, se naturalisa en France où il vint vers l'année 1770. Il se fixa à Paris et il y a passé toute sa vie, sauf quelques excursions temporaires dans les provinces et dans les pays étrangers. Il paraît que c'est à lui que l'on doit, non l'invention de la cire, fort ancienne, mais le perfectionnement des figures sculptées en cire, ou d'une composition particulière, et représentant en grandeur naturelle, avec leur costume et leurs habitudes ordinaires, et avec plus ou moins de ressemblance, des personnages morts ou vivants. Curtius établit deux salons, l'un au Palais-Royal, l'autre sur le boulevard St-Martin, et plus tard sur celui du Temple, après le théâtre de Nicolet. Tous les ans, il renouvelait les deux salons, et tous les mois il y changeait quelque chose. Le premier était plus spécialement consacré aux grands hommes, aux illustres notabilités. Dans le second étaient rangés les grands scélérats, les individus qui s'étaient fait un nom dans les classes inférieures de la société. On pense bien qu'il n'oublia point son homonyme Marcus Curtius. Comme le moderne Curtius faisait les bustes de tout ce qu'il y avait de plus distingué à la cour et à la ville, il gardait une copie des têtes les plus remarquables par leur caractère ou leur beauté, et il les exposait dans ses salons. Il modelait les rois, les grands écrivains, les jolies femmes et les voleurs. On y a vu Jannot et Desrues, le Comte d'Estaing et Linguet, le grand Frédéric et Voltaire, Catherine II et J.-J. Rousseau, Hayder-Aly et l'aéronaute Blanchard, Francklin et Cagliostro, la Comtesse de la Mothe-Valois et Mesmer, Buffon et Mlle Contat, la famille royale assise à un banquet et Louis XVI à côté de son beau-frère Joseph II, la réception des ambassadeurs de Tippou-Saïb, etc. L'aboyeur criait à la porte : Entrez, messieurs et dames, venez voir le grand couvert ; entrez, c'est tout comme à Versailles. Il n'en coûtait que deux sous ; pour douze sous, on approchait, on circulait près des figures ; et malgré la modicité des prix, Curtius faisait des recettes de 300 fr. par jour. On voyait aussi chez lui des objets précieux en peinture et en sculpture, des monuments antiques, des momies, des raretés telles que la chemise que portait Henri IV lorsqu'il fut assassiné, avec les certificats qui prouvaient l'authenticité de cette pièce ; enfin, toutes les nouveautés qui firent sensation à diverses époques. Curtius se montra patriote dès le commencement de la Révolution ; il exposa les figures de Lafayette, Bailly, Mirabeau et autres députés de l'assemblée constituante, celles des principaux détenus et vainqueurs de la Bastille, et deux modèles de cette forteresse-prison, l'un dans son état naturel, l'autre avec ses ruines. Mais Curtius devint girouette, comme bien des gens qui ne s'en vantent pas, et qui en ont fait comme lui un métier lucratif. Il offrit à l'hommage ou à l'horreur du public les grands hommes du jour, les grands hommes à la mode, triomphants ou victimes, et leur décernant l'apothéose ou le châtiment, suivant les circonstances. On vit ainsi tour à tour, dans ses salons, les girondins et les montagnards, Vergniaux et Danton, le duc d'Orléans et Philippe-Egalité, Marat et Charlotte Corday, le père Duchesne et Robespierre, madame Roland et le capucin Chabot, madame Tallien et Barras, Dumouriez et Talleyrand, Bonaparte, sa famille, ses maréchaux, ses favoris , et quelques-uns de ses chambellans et de ses sénateurs.
, , 1815-1829. In-12 manuscrit (15,5 x 9,5 cm) de (90) ff. à 35 lignes par page sous vélin portefeuille, lacet (reliure de l'époque).
Carnet manuscrit qui consigne par ordre chronologique quinze années de concerts (1815-1829) exécutés dans des salons musicaux. Le registre est tenu par un dénommé Dobelaire (Dobbelaere ?) à la fois hôte ("chez moi") et exécutant dans de nombreux salons. Les noms surtout flamands des commanditaires, peu nombreux mais fidèles (Heyndrix, Van Bosterhaut, Velder, Le Fevre, Stauthamen, Van Poukes) indiquent que la scène se déroule en Belgique où la vie musicale intense perpétua la tradition des salons musicaux entre les deux révolutions de 1789 et 1830. A Liège fut créée en 1826 l'Ecole Royale de musique sur le modèle du Conservatoire parisien.Le registre, immuable pour la période, est établi sur cinq colonnes dont la date, le nom du compositeur, la formation (codée : un triangle pour trio, un carré pour quatuor, un pentagone pour un quintet), l'opus, la réception suivie parfois de la mention "payé". Ainsi en 1815, l'orchestre a joué 71 fois à raison de 4 à 8 pièces exécutées par soirée et un programme toujours renouvelé. C'est une source exceptionnelle sur le répertoire joué dans les salons musicaux à l'époque romantique par les orchestres de musique de chambre qui, avec Haydn, Mozart, Haendel ("Haenzl") Boccherini ("Boquerini") Beethoven ("Vanbeetoven" mort en 1827) Schubert (mort en 1828), renseigne sur leurs nombreux contemporains méconnus voire oubliés : Franz Vincenz Krommer, Jean-Englebert Pauwels, Daniel Gotlieb Steibelt, Felice Alessandro Radicati, Jean-Louis Tulou, Giovanni Battista Viotti, Jean-Jacques Dreuilh, Marie-Alexandre Guénin, Étienne-François Gebauer, Dieudonné-Pascal Pieltain, Antonio Bartolomeo Bruni, Jean Schadeck, Franz Ignaz Danzi, Anton Ferdinand Titz, Georg Jakob Strunz, Giuseppe Maria Gioacchino Cambini, François-Xavier Blyma, Adalbert Gyrowetz etc. etc. Ainsi ce carnet de concerts, minutieusement tenu, offre un inventaire des compositeurs du temps - fort rare par ailleurs, seuls les journaux rendaient compte de la vie musicale - révélateur des goûts musicaux des amateurs, où l'on voit que les grands compositeurs ne se taillaient pas nécessairement la part du lion.Témoignage manuscrit de la plus grande rareté sur la vie musicale à l'époque romantique. Mouillure sur les derniers feuillets, vélin sali. [Voir : José Quitin, La Musique à Liège entre deux révolutions 1789-1830, Sprimont, Mardaga, 1997].
[CUISINE] Salons TURCAUD, 4, Rue Voltaire, Nantes - RESTAURANT - TRAITEUR
Reference : 22683
(1907)
nantes Michel TURCAUD 1907 une Menu, tissé mécaniquement en blanc, noir et gris, format : 9,5 x 27 cm, avec en haut la représentation de l'intérieur des salons Michel TURCAUD, 4, rue voltaire à Nantes et au dessous l'impression tissée de la date du déjeuner du déroulé du Menu avec les Vins et du nom du restaurateur, DEJEUNER DU 19 NOVEMBRE 1907 - SALONS TURCAUD (MICHEL TURCAUD, 4 RUE VOLTAIRE A NANTES)
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