Paris, Jules Didot l'aîné, 1834, in-12 demi-basane, XI + 257 pp, & pp 25-35. Impression sur vergé. Edition originale de la correspondance intime de Louise-Adélaïde de Bourbon, dite Mademoiselle de Condé, adressée à son ami le marquis Nicolas-Louis Magon La Gervaisais. Suivies d'une Note destinée à être mise en tête du recueil de lettres. Couverture usagée (dos manquant), intérieur en bon état (rousseurs éparses).
Reference : 45718
LE SERPENT QUI PENSE
M. ERIC BIBAULT
06 34 99 23 95
CONDITIONS DE VENTE conformes aux usages de la librairie ancienne et moderne. Retours acceptés après accord préalable. Pas de supplément de frais de port à partir du 2e livre commandé (une même commande). FRAIS DE PORT : FRANCE : à partir de 4 € (tarif ajusté en fonction du poids des livres), de 4 € à 7€ pour les envois en tarif lettre/écopli. Gros livres expédiés en colissimo (tarif en fonction du poids) ou, de préférence, en Mondial Relais (plus économique). FRAIS DE PORT : ETRANGER : en général 4€ (Europe), 5-6 € (autres pays), tarif économique, néanmoins assez rapide, le tarif est ajusté en fonction du poids des ouvrages et de la destination. Expédition par mondial relais pour les colis lourds (Europe). - Expédition rapide après réception du règlement. Paiement par CHEQUE bancaire ou postal (payable en France uniquement), par VIREMENT bancaire ou par PayPal. - Tous nos livres sont contrôlés et nettoyés. Tout défaut est signalé. Retour offert en cas d'erreur de la librairie.
1838 Paris. Benjamin Duprat. 1838. 2 ouvrages en 1 volume in-8, pleine percaline bleue à la Bradel, dos lisse orné.XIV pp. ; (3) ff. ; 274 pp. ; (1) f.
Seconde édition illustrée d’1 fac-similé de lettre du marquis de la Gervaisais.Exemplaire unique ayant appartenu à Paul Viollet, écrivain qui fut à l’origine de la publication de la 3ème édition de ces lettres.Il est enrichi de très nombreuses notes manuscrites marginales au crayon et de 45 feuillets écrits à l’encre sur papier blanc ou bleu, intercalés entre les pages concernées par ces notes.Viollet se sert de l’ouvrage comme support, qu’il complète de passages repris dans la première édition de 1834, pour réaliser la trame de cette nouvelle édition qui sera publiée chez Didier en 1878 avec une introduction écrite de sa main. Le titre du premier chapitre est biffé et remplacé au crayon par : « Lettres intimes de Mademoiselle de Condé à M. de la Gervaisais », qui deviendra le titre de cette nouvelle édition.Cette ultime version de la correspondance intime entre Louise-Adélaïde de Bourbon, religieuse de son état, et Nicolas III Magon de la Gervaisais avec qui elle entretient une amitié profonde, reste donc la plus complète. Relié à la suite : MARSOLLIER DES VIVETIERES. B.J. Nina ou la folle par amour. Paris. Brunet. 1786. 58 pp. ; (3) ff. Comédie représentée pour la première fois le 15 Mai 1786, et à laquelle la princesse assiste le 12 Aout 1786. (P.13). Elle s’identifiera par la suite à Nina au point de signer plusieurs lettres « Nina folle ».Quelques rares mouillures et rousseurs.
Paris, Duprat, Paris, Duprat1838 ; in-8, demi-veau brun, nerfs et filets dorés, non rogné. (Relié vers 1860) XIV pp., 3 ff. n. ch., 274 pp., 1 f.Ces lettres, publiées par Ballanche, avaient d’abord paru chez Renouard en 1834.Elles sont de Louise Adélaïde de Bourbon, dite Mademoiselle de Condé (1757 - 1824). Dans sa jeunesse, elle s’était liée d’amitié platonique avec Nicolas Magon de la Gervaisais, un gentilhomme breton qu’elle avait connu dans la station thermale de Bourbon L’Archambault. Elle a correspondu avec lui de juillet 1786 à janvier 1787. En raison des bruits qui couraient sur leur liaison, la jeune femme dut interrompre cette correspondance sur ordre de son père. Cette édition est augmentée d’appréciations (pp. 215-233) par François de La Bouillerie, Brifaut, C. A. de Trucy et Olympe Chodzko, d’un précis de la vie de la princesse de Condé et d’une esquisse de caractère. Sans le feuillet de fac-simile annoncé au titre.Exemplaire provenant de la bibliothèque du numismate Guillaume Combrouse (1808-1873) avec son cachet portant la devise Pernnitati Galliarum.
Benjamin Duprat, Paris. 1839. In-8. Relié. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 274 pages. Illustré d'un fac-similé en noir et blanc sur planche dépliable en fin d'ouvrage. Bandeaux, lettrines et culs-de-lampe ornés en noir et blanc. Titre doré sur le dos. Etiquette de code sur la couverture. Quelques tampons de bibliothèque. Page de faux-titre déchirée avec un manque sur le bord.. . . . Classification Dewey : 846-Lettres, correspondance littéraire
3e édition; Avec un fac-similé. Classification Dewey : 846-Lettres, correspondance littéraire
Paris Jules Didot 1834
grand in-12, 2 f., xj et 257 pp. Couverture imprimée. :: Édition originale. « Édition vendue au profit de l’hospice de Marie-Thérèse » (verso du faux titre). :: Correspondance amoureuse adressée à Nicolas Louis Marie Magon marquis de La Gervaisais. Une passion sans espoir à laquelle le peu scrupuleux marquis n'hésita pas à donner de la publicité en favorisant l'édition de ces lettres (il en donnera lui même une seconde édition en 1838). :: Reliure postérieure, demi-chagrin bordeaux, dos lisse orné, couverture conservée. Ex-libris d’un collectionneur. Bon exemplaire malgré quelques rousseurs. (Ancienne collection Jean Leduc)
Imprimerie de Jules Didot l'aîné, Paris 1834, 10,5x17,5cm, relié.
Édition originale, publiée par Pierre-Simon Ballanche, de la correspondance intime de Louise-Adélaïde de Bourbon, dite Mademoiselle de Condé, adressée à son ami le marquis Nicolas-Louis Magon La Gervaisais. Elle renferme 2 lettres de 4 pages chacune, en fac-similé. Reliure de l'époque en plein veau glacé bleu, dos lisse orné de caissons géométriques et de dentelles dorés, encadrements et fleurons en écoinçons dorés sur les plats, stries dorées sur les coins, roulette florale dorée en encadrement des contreplats, toutes tranches dorées. Indication manuscrite à la plume sur le faux titre. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85