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CORNU Paul
COROT.
Paris, Louis-Michaud, Les écrits et la vie anecdotique et pittoresque des grands artistes, sans date (début 20e), in-8 broché, 190 pp. Avec 54 gravures et portraits. Couverture en état d'usage, intérieur en très bon état.
Reference : 44773
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LE SERPENT QUI PENSE
M. ERIC BIBAULT
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5 book(s) with the same title
Corot en Italie
Gallimard 1995, in-4 (28,5 x 24,5 cm) broché, 257 p. (bel état ; épuisé) Notes, bibliographie et index. Illustrée de 284 reproductions NB et couleurs, c'est la première étude critique consacrée aux superbes paysages peints et dessinés par le jeune Corot de 1825 à 1828, à Rome et dans les environs.
[Jean-Baptiste Camille Corot] - Galassi, Peter
Reference : 041103
(1991)
ISBN : 0300049579
Corot in Italy: Open-air painting and the classical landscape tradition
Galassi, Peter: Corot in Italy: Open-air painting and the classical landscape tradition. New Haven: Yale University Press, 1991. 258 pages. 284 colour and black and white illustrations. Hardback in a slipcase. 29x25cms. First critical study of Corot's celebrated Italian landscapes.
First critical study of Corot's celebrated Italian landscapes. Text in English
[Jean-Baptiste Camille Corot] - Cachin, Francoise, Philippe de Montebello and Shirley L Thomson
Reference : 090247
(1996)
ISBN : 9782711833740
Corot 1796-1875
Cachin, Francoise, Philippe de Montebello and Shirley L Thomson: Corot 1796-1875. Exhibition: New York, Metropolitan Museum; Ottawa, Musée des Beaux-Arts and Paris, Grand Palais, 1996. 496 pages, illustrated throughout in colour. Hardback. 24 x 32cms. Major retrospective, offering up-to-date research, displaying 150 masterpieces and studies of landscapes and portraits by this progressive artist, drawn from international collections. Essays discuss Corot and his collectors, and the false attribution of works. Chronology, bibliography, index. Text in French.
Major retrospective, offering up-to-date research, displaying 150 masterpieces and studies of landscapes and portraits by this progressive artist, drawn from international collections. Essays discuss Corot and his collectors, and the false attribution of works. Chronology, bibliography, index. Text in French
GUERARD H.- COROT LE PONT DE MANTES - [estampe] / H. Guérard d'après COROT
1846 Le Pont de Mantes (de la collection de Mr Defoer) gravé par Henri GUÉRARD (Paris 1846 – Paris 1897) d’après le tableau de Camille COROT (Paris 1796 – Paris 1875)- Feuille : 190 x 265 mm- Coup de planche : 165 x 230 mm,sur chine collé,bon état.
[Camille COROT] - ROBAUT (Alfred) dessinateur et graveur français, grand admirateur d’Eugène Delacroix et de Camille Corot pour lesquels, il fut à l’origine du premier catalogue des œuvres de ces deux peintres (1830-1909)
Reference : 35C20
Lettre autographe signée à Maurice Tourneux, concernant « le Dictionnaire de Vapereau, à propos de l’article COROT ». 2 pp. in-8.
Superbe lettre concernant une intéressante intervention de l’admirateur de Corot qui tient à apporter une précision concernant son choix de devenir peintre, et sur certaines dates et désignation erronées de ses tableaux. « Ce n’est pas contre le gré de ses parents que Corot s’est fait peintre. Epargner ainsi la vérité sur un tel fait, c’est faire rougir l’ombre de ce fils respectueux par excellence. S’il est vrai que pendant six ans, à la même époque, le jour où il souhaitait la fête à son père, il lui a demandé à sortir du commerce pour être peintre, il est plus vrai encore qu’il se sentait de force à atteindre indéfiniment la permission qu’on tardait lui accorder et qu’on a fini par lui donner volontiers. Certainement cette décision a été accompagnée plus tard de restrictions très fâcheuses, alors qu’en apparence elle semblât prise de bon cœur, et c’est là ce qui a ébranlé pendant plus de vingt ans le moral de l’artiste, mais enfin le fils exemplaire n’a rien fait qu’il crût absolument agréable à ses parents, et je tenais à protester en son nom. .. ». Il a constaté d’autres « erreurs relevées à la hâte. Le tableau (superbe) du Musée de Douai n’est pas de 1834, mais bien de 1848 – donné en 1849. Le tableau du Luxembourg est placé à tort entre les dates de 1839 et 1849, puisqu’il est de 1851. Enfin, ce n’est pas souvenir d’Arlem mais d’Arleux (patrie de Merlin de Douai)…».
