MSM, In situ, 2007,, in-8 Broché, 320 pp. Illustrations. TRES BON ETAT
Reference : 43552
LE SERPENT QUI PENSE
M. ERIC BIBAULT
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, Brepols, 2021 Paperback, 700 pages, Size:156 x 234 mm, Illustrations:1 col., 37 tables b/w., Languages: French, Latin. ISBN 9782503585284.
Summary Bernard de Clairvaux, philosophe? Une école cistercienne au XIIe siècle? Telles sont les deux questions affrontées dans chacune des parties de ce livre. Une historiographie contemporaine oppose souvent à un Abélard renouvelant la philosophie par l'accueil de la logica nova et de la dialectique un Bernard dogmatique, dernier des Pères de l'Église. Prenant le contrepied de cette caricature, la première partie affronte la première question et présente un Bernard de Clairvaux philosophe, fleuron du socratisme chrétien. Reconnu comme tel depuis Pierre Courcelle, Bernard donne toutefois à cette philosophie socratique une inflexion marquant le primat de l'humilité (Ch. I), le détour nécessaire par la charité (Ch. II) en vue de parvenir à la contemplation (Ch. IV). Entre ces deux points d'inflexion, un chapitre développe le rôle central pour lui du libre arbitre et celui de la conscience (Ch. III). Il est de coutume d'opposer le cloître et l'école au XIIe siècle. Toutefois, si nous entendons par là, non un lieu d'enseignement où l'on noterait les présents et les absents, mais un réseau d'influence intellectuelle, voire spirituelle, il devient possible de parler d'une école cistercienne. La deuxième partie recherche la présence ou non des caractéristiques humanistes mises en évidence dans la première chez divers auteurs cisterciens de ce temps. Ils sont pris d'abord parmi les plus proches de Bernard: Aelred de Rievaulx, Guerric d'Igny, Geoffroy d'Auxerre (Ch. I). Puis (Ch. II) sont examinés trois auteurs cisterciens parmi les plus philosophes du XIIe siècle: Isaac de l'Étoile, Garnier de Rochefort et Hélinand de Froidmont. Enfin (Ch. III), on en vient à trois auteurs qualifiés de «satellites» dont le rapport à l'Ordre Cistercien est plus complexe: Guillaume de Saint-Thierry, Alain de Lille et Joachim de Flore. TABLE OF CONTENTS Avant-propos. Paradoxes et apories autour de la philosophie de Saint Bernard et des cisterciens Première partie. Bernard de Clairvaux philosophe? Introduction. Saint Bernard dans l'histoire de la philosophie du Moyen Âge Chapitre I. Le premier mets: humilité du "Connais-toi toi-même" Chapitre II. Le deuxième mets: le détour de la charité et son ampleur eschatologique Chapitre III. Grandeur et misère de la volonté libre: le sujet bernardin et sa conscience Chapitre IV. Le troisième mets: de la considération spéculative à la contemplation bienheureuse Conclusion de la première partie. La philosophie de Saint Bernard Deuxième partie. Les cisterciens du XIIe siècle et la philosophie Introduction. Une école cistercienne? Chapitre V. Les plus proches de Bernard Chapitre VI. Parmi les plus philosophes des Cisterciens du XIIe siècle Chapitre VII. Satellites Conclusion. Un socratisme de cénobites? Bibliographie Index biblique Index des noms propres
DOSSIERS DE L'ARCHEOLOGIE. 1997. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 139 pages - nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc, dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Citeau l'epopee cistercienne - Avant Citeaux un monde en mutation - Citeaux les origines - Bernard de Clairvaux - l'expansion cistercienne en Europe - l'éclair cistercien - les cisterciens et le roman - réaménagements et reconstructions - économie cistercienne ou économie des cisterciens - les fils de l'eau - lieux de vie et de travail cisterciens - le grand cloître de Clairvaux - feue l'abbaye de Flines un site nu de 14 hectares - quand une abbaye ressurgit Beaupré sur la Lys - un site fossilisé Montverrat grange de Theuley - vitraux cisterciens médiévaux - carrelages cisterciens médiévaux - atlas de cîteaux - fragilisation et sclérose etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
, Brepols, 2021 Paperback, 600 pages, Size:170 x 240 mm, Illustrations:8 b/w, 20 col., 44 tables b/w., 7 maps b/w, Language: French. ISBN 9782503592701.
Summary Tous les groupes humains produisent afin d'assurer leur subsistance, mais il n'y a pas de « travail » ni a fortiori de « travailleurs » dans nombre de sociétés, au sens du moins que ces notions ont pris en Europe à l'époque de l'industrie et de l'économie politique. Reste que beaucoup d'historiens considèrent le monachisme du Moyen Âge comme une sorte de laboratoire des formes du « travail » en Occident, du reste à l'origine du processus de « croissance » qui caractérisa cette partie du monde. Les quatorze auteurs de ce volume ont entrepris de reprendre sur nouveaux frais la question des représentations et des pratiques du labeur, en examinant tout à la fois les modèles, les règlements et les rapports sociaux à l'oeuvre au sein des monastères occidentaux, depuis les premiers écrits latins et les premières traces archéologiques jusqu'au développement des établissements cisterciens aux XIIe-XIIIe siècles. Plusieurs contributions s'efforcent de reconstituer les catégories médiévales de l'activité humaine tout en interrogeant les modalités concrètes d'exploitation des ressources. L'ouvrage accorde une large place aux débats historiographiques en s'attachant notamment à saisir la genèse, entre xixe et xxe siècle, de la figure du « moine civilisateur » et de l'idéal du « travail monastique », souvent bien éloignés des réalités du Moyen Âge. TABLE OF CONTENTS Introduction Michel Lauwers, « Travail » , monastères et rapports de production I. Les mots et le sens des activités humaines Nicolas Perreaux, oeuvrer, servir, souffrir. Recherches sur la sémantique des activités laborieuses dans l'Europe médiévale. Isabelle Rosé, Opus, opera, labor. Les mots et le sens des « occupations manuelles » dans la Règle de saint Benoît et dans ses commentaires carolingiens. Emmanuel Bain, Paul: un modèle pour le travail des moines ? (IVe-IXe siècle) Ludolf Kuchenbuch, Opus, labor, ars, merces, servitium, ou un quintette sur le banc d'essai. À propos de la sémantique du « travail » dans la Schedula diversarum artium (vers 1122-1123). Stéphanie Le Briz-Orgeur, Étymologie et les usages de mots désignant le « travail » en langue d'oïl (xie-xvie siècles). II. Organisation du labeur et exploitation des ressources Michel Lauwers, Le monachisme comme entreprise agricole ? Subsistance et rapports de production dans les monastères de l'Occident médiéval. Carlo Citter, Établissements monastiques, environnement et exploitation des ressources dans le haut Moyen Âge : analyses spatiales et postdictives. Nicolas Schroeder, Servitium et opus. Le « travail » des dépendant.e.s de l'abbaye de Wissembourg (c. 860-870) entre sociologie et anthropologie historiques. Lorenzo Tabarrini, Monastère, tenanciers et « travail forcé » dans les campagnes de Florence au Moyen Âge central (ca. 1000-1250): le cas de la Badia a Settimo. III. Une révolution cistercienne ? Cécile Caby, Les Cisterciens aux champs : une controverse monastique du xiie siècle. Didier Panfili, Les convers cisterciens : frères ou serfs ? Du discours à la pratique sociale (vers 1130-vers 1230). Alessia Trivellone, Le labor manuum dans les miniatures de Cîteaux à l'épreuve de l'exégèse. Stéphanie Le Briz-Orgeur, Représentations d'activités de production dans l'oeuvre vernaculaire de quelques poètes cisterciens des xiie-xive siècles. Épilogue Alain Rauwel, Ordonner le monde : le mythe du moine civilisateur entre histoire et apologétique. Patrick Henriet, Le monachisme n'est pas un humanisme. Un devoir inédit du jeune Adalbert de Vogüé sur le travail des moines (mai 1949).
Broché couverture à rabats, 28X25 cm, 1997, 206 pages, nombreuses illustrations en noir et en couleurs, éditions le moniteur. Très bon état.
Bulletin de la Société Départementale d'Archéologie et de Statistique de la Drôme
Reference : 36073
(1994)