Paris, Hachette, 1882, in-12 demi-maroquin, dos 5 nerfs très richement orné, 251 pp. Ex-libris. EO de ce condisciple d'Arthur Rimbaud et de Jules Mary. Il publia aussi sous les pseudonymes de Paul Anthelme et de Paul Delion. Rare. Couverture en très bon état, intérieur en très bon état.
Reference : 42771
LE SERPENT QUI PENSE
M. ERIC BIBAULT
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Sans date. Pearl Buck: Le Patriote illustrations de André Hofer/Gründ Collection Mazarine . Pearl Buck: Le Patriote illustrations de André Hofer/Gründ Collection Mazarine
Etat correct
Reference : 400124655
Sans date. C. Allary LE PETIT PATRIOTE Récit d'un aubergiste Alsacien illustré par Weber
Paris 1947 Librairie Gründ Mass Market Paperback
Le Patriote, Buck Pearl, sur papier Vélin pür chiffon, lafuma, numéroté 477/1000, non coupé, 329 pp, broché, bon état
S.n., s.l. 1756, 3 ouvrages en un Vol. in 8 (12,5x19,5cm), (8) 228pp. (2) ; 119pp. ; (6) 230pp., relié.
Edition originale de ces trois rares mémoires sur le protestantisme, tous les trois sont parus sans indication éditoriale. Reliure en plein veau blond d'époque. Dos lisse orné. Pièce de titre en maroquin rouge. Une tomaison est présente, le livre devait être rangé parmi une collection de pamphlets et mémoires. Mors fendus et ouverts. Coiffes élimées. Coins émoussés. Novi de Cabeirac étudie dans son mémoire les effets de la Révocation de l'édit de nantes. On sait qu'il fut fanatiquement intolérant, même si son étude de la démographie et de l'économie est sérieuse. Le second mémoire plaide la cause des protestants auprès du pouvoir royal et dénonce l'horreur des crimes qui furent perpétrés contre eux. L'identité de l'auteur fait encore débat. L'oeuvre est parfois attribuée à Antoine Court, personnage central de l'Eglise du Désert. Né en 1695 sur les confins ardéchois des Cévennes et mort en 1760 à Lausanne, ce dernier est au cur des drames engendrés par la révocation de l'édit de Nantes. Prédicant clandestin, puis consacré pasteur par un ancien camisard, Pierre Corteiz, Antoine Court est au sortir de la révolte cévenole l'un des restaurateurs du protestantisme français. Dénonçant le prophétisme, il organise aux Montèzes, près de Monoblet, en pays cévenol, le premier synode du Désert afin de rétablir la discipline des églises réformées. Hostile à la violence et adepte de la résistance passive, Court défend tout au long de sa vie la cause de la communauté protestante française et la liberté de conscience. A cette fin, il publie le Patriote Français et Impartial, en 1752 13 . Dans son Histoire des troubles des Cévennes, paru l'année de sa mort, il s'affirme comme l'un des premiers historiens réformés de la guerre des camisards 14 . Antoine Court avait donc publié en 1752 ce livre intitulé Le patriote français et impartial en réponse à la lettre de l'évêque d'Agen au contrôleur général Machault d'Arnouville, promouvant une attitude d'intolérance à l'encontre des réformés. Il est vrai que la Lettre d'un patriote, diffusée quatre ans plus tard, présente quelques similitudes avec l'ouvrage précédent. Outre le mot patriote qui ne laisse d'interroger, certaines parties semblent très proches15 . Mais quelles raisons auraient pu pousser Antoine Court à réitérer quatre ans plus tard sa défense de la communauté protestante dans un ouvrage assez similaire quoique beaucoup plus réduit ?" (Lien vers l'artcle en pied de cette notice). Le troisième mémoire veut venger la religion catholique et attaque les écrits et les personnes qui osent défendre les protestants, et nie les effets négatifs de la Révocation de l'édit de Nantes. C'est en défense contre le second mémoire de ce recueil : Lettre d'un patriote, que Novi de Caveirac écrira son fameux Apologie de Louis XIV. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Strasbourg, Imprimerie de P.J. Dannbach, 1820. Prospectus, 34 livraisons et et 1 numéro spécial reliés en 1 vol. in-folio à deux colonnes par page en caractères latins et gothiques, demi-basane marbrée, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Collection très rare avec son prospectus, de la première livraison publiée le dimanche 16 janvier 1820 au n°35 et dernier daté mercredi 5 avril 1820, suivie de la feuille imprimée le 6 avril 1820 Le Patriote alsacien et le Courrier du Bas-Rhin.Trihebdomadaire alsacien bilingue français et allemand, témoin des soubresauts de la liberté de la presse au tournant de 1820, fondé après la loi de Serre et suspendu après le retour des Ultras. Directeur et rédacteur : C. Marchand "jusqu'à présent attaché à la rédaction du Censeur européen".« Plusieurs autres départements jouissent des bienfaits de la liberté de la presse. Pourquoi ne suivrait-on pas cet exemple en Alsace (…) La feuille que je rédigerai offrira principalement au lecteur des nouvelles étrangères, des nouvelles de Paris et des nouvelles du département du Bas-Rhin (…) soit en matières d'impôts, soit en matière de commerce et d'agriculture (…) Le Patriote Alsacien aura des relations sûres avec l'Allemagne (…) Strasbourg l'une de nos premières places fortes offrira souvent au rédacteur du Patriote alsacien l'occasion d'entretenir ses lecteurs des devoirs du citoyen et de ceux du soldat (…) il sera heureux de pouvoir rendre hommage à l'excellent esprit qui anima toujours les habitants de cette cité et au dévouement dont nos braves sont prêts à donner l'exemple pour conserver les institutions, sans lesquelles il n'est de sécurité pour personne, et avec lesquelles on assure les prospérités de tous. Le Patriote alsacien sera imprimé en français et en allemand dans un format beaucoup plus grand que celui des feuilles déjà publiées à Strasbourg (…) Strasbourg le 5 janvier 1820 » (Prospectus).L'édition spéciale du 6 avril 1820 reliée en fin d'exemplaire (1 feuillet) opposa C. Marchand à Engelhard du "Courrier du Bas-RhIn" dont le journal continua à paraître malgré les restrictions.Tous les numéros portent le Timbre Royal et le Timbre à l'extraordinaire du Bas-Rhin. La 4e livraison manque. Discrètes restaurations, rousseurs, pâles mouillures.