‎JAMES Henri‎
‎LES AMBASSADEURS‎

‎Paris, ROBERT LAFFONT, 1967, in-8 broché, 534 pp. Coupure de presse jointe. TRES BON ETAT‎

Reference : 19431


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LE SERPENT QUI PENSE
M. ERIC BIBAULT

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5 book(s) with the same title

‎Collectif‎

Reference : 245149

(1925)

‎Ambassadeurs saisons 1925 (programme de théâtre)‎

‎Théâtre des ambassadeurs 1925 env. 10p pages in12. 1925. Agrafé. env. 10p pages. illustrations en noir et blanc publicité d'époque présentation de la pièce‎


‎Etat Correct ex libris couv. un peu défraîchie intérieur propre‎

Un Autre Monde - Val Couoesnon

Phone number : 07.69.73.87.31

EUR7.00 (€7.00 )

‎[MANUSCRIT] BRETEUIL (Louis-Auguste Le Tonnelier, baron de)‎

Reference : 185935

‎Mémoires concernant la charge & les fonctions d’introducteur des ambassadeurs. Mémoires du baron de Breteuil introducteur des ambassadeurs (titre des volumes 2 à 6)‎

‎S.l., (XVIIIe siècle) 6 vol. in-folio, environ 2200 pages, veau brun marbré glacé, dos lisses cloisonnés et fleuronnés avec pièces de titre grenat, armoiries dorées au centre des plats, coupes filetées, tranches mouchetées (rel. de l'époque). Qqs petits défauts d'usage sans gravité.‎


‎"Qui a eu plus de part que celse a toutes ces intrigues de Cour ?" (La Bruyere à propos du Baron de Breteuil).D'une famille de grands serviteurs de l'État, frère d'un intendant des finances, il fut nommé lecteur ordinaire du roi en 1677, et employé à une mission diplomatique auprès du duc de Mantoue de 1682 à 1684. Fait alors conseiller du roi, il exerça la charge d'introducteur des ambassadeurs de 1698 à 1716 (en premier semestre). Personnage saillant de la Cour par sa position, il est évoqué par plusieurs écrivains de son époque – à son avantage sous les traits de Cléante dans l'ouvrage de sa maîtresse la présidente Ferrand, Histoire des amours de Cléante et de Bélise (1689), et dans des portraits-charges par La Bruyère et Saint-Simon.Dans le chapitre « Du Mérite personnel » des Caractères, La Bruyère écrit de lui : « Celse est d'un rang médiocre, mais des grands le souffrent ; il n'est pas savant, il a relation avec des savants ; il a peu de mérite, mais il connaît des gens qui en ont beaucoup ; il n'est pas habile, mais il a une langue qui peut servir de truchement, et des pieds qui peuvent le porter d'un lieu à un autre. C'est un homme né pour les allées et venues, pour écouter des propositions et les rapporter, pour en faire d'office [...], pour réussir dans une affaire et en manquer mille, pour se donner toute la gloire de la réussite, et pour détourner sur les autres la haine d'un mauvais succès. Il sait les bruits communs, les historiettes de la ville ; il ne fait rien, il dit ou il écoute ce que les autres font, il est nouvelliste [...] Il est entré dans de plus hauts mystères, il vous dit pourquoi celui-ci est exilé, et pourquoi on rappelle cet autre [...] Qui a eu plus de part que Celse à toutes ces intrigues de Cour ? et si cela n'était pas ainsi, s'il ne l'avait du moins rêvé ou imaginé, songerait-il à vous le faire croire ? Aurait-il l'air important et mystérieux d'un homme revêtu d'une ambassade ? »Dans ses Mémoires (année 1698), Saint-Simon insiste également sur plusieurs des mêmes points : « C'était un homme qui ne manquait pas d'esprit mais qui avait la rage de la cour, des ministres, des gens en place ou à la mode, et surtout de gagner de l'argent dans les partis en promettant sa protection. On le souffrait et on s'en moquait. »MEMOIRES CONÇUS COMME UNE SUCCESSION DE RECITS COMMENTES, suivant un ordre chronologique : le baron de Breteuil précise, pour les ambassades mentionnées, les entrées à Paris, les ordres de marches, le déroulement des audiences publiques et secrètes accordées par le roi, les visites rendues aux princes et princesses du sang, en accompagnant ses relations de remarques historiques et synthétiques sur des points d'étiquette. Certaines remarques se développent en véritables petits traités autonomes : « Des petites filles de France », « De la manière dont Monsieur reçoit un prince souverain », « Réception des généraux d'ordre [religieux] », « Cérémonial qui s'observe lorsque le roy donne le bonnet à un cardinal françois », etc.LE BARON DE BRETEUIL EVOQUE LES AMBASSADEURS DE TOUTE L'EUROPE, MAIS AUSSI DES PAYS LOINTAINS, Maroc (1699), « Moscovie, Turquie, Siam & Maroc » (annexe de l'année 1714) ou Perse (1715), et livre en regard le récit de quelques entrées d'ambassadeurs français dans les Cours étrangères, notamment à Londres et à Vienne.IL RELATE DES MOMENTS IMPORTANTS DE LA VIE DE COUR SOUS LOUIS XIV, notamment l'annonce de l'avènement du duc d'Anjou comme roi d'Espagne (« Mr, voilà le roy d'Espagne », 1700, p. 441), la cérémonie d'hommage du duché de Bar entre les mains du roi par le duc de Lorraine (1699), les négociations et réjouissances pour les mariages du duc de Mantoue (1704) ou du duc de Berry (1710), les deuils pour les morts de Philippe d'Orléans, (1701), du duc de Bretagne (1705), du grand dauphin (1711), du duc et de la duchesse de Bourgogne (1712), du duc de Berry (1714), etc.LE BARON DE BRETEUIL DONNE A TITRE DOCUMENTAIRE DES COPIES DE TEXTES AFFERENTS : une ordonnance royale, des mémoires au roi, des correspondances échangées avec le secrétaire d'État aux Affaires étrangères, un bref pontifical, des lettres d'ambassadeurs. Il livre également des extraits des mémoires de Nicolas Sainctot, introducteur des ambassadeurs durant l'autre semestre de chaque année, des passages des Mémoires de Claude Labbé de Villeras, secrétaire à la conduite des ambassadeurs sur la même période, un extrait du célèbre Journal du marquis de Dangeau, ou encore une relation écrite par Hardouin Le Fèvre de Fontenay, qui parut dans le Mercure de France en 1715 sous le titre Journal historique du voyage de l'ambassadeur de Perse en France. Il complète le tout avec quelques extraits de périodiques (Gazette, The London Gazette).AVEC LE DESSIN D'UN PLAN DE TABLE.Il existe plusieurs autres exemplaires de ces Mémoires, conservés à la bibliothèque de l'Arsenal, à la bibliothèque de Rouen, et au château de Breteuil. Plusieurs extraits en furent d'abord publiés, avant qu'Évelyne Lever en donne l'édition intégrale en 1992 (réédition en 2009).« Je m'en vais mais l'État demeurera toujours... »RECIT DE LA MORT DE LOUIS XIV, EXTRAIT DU JOURNAL DU MARQUIS DE DANGEAU, EN COPIE ANTERIEURE A SA PUBLICATION. Cet important journal ne serait édité pour la première fois que partiellement par Voltaire en 1770 et intégralement par Soulié et Dussieux en 1854-1860. Le présent extrait (ici pp. 321-344 de l'annexe de l'année 1715) figure dans le tome XVI de l'édition Soulié (1859, pp. 127-128).« ... "Pour vous, Madame [la duchesse de Ventadour, gouvernante du futur Louis XV], j'ay bien des remerciements à vous faire du soin avec lequel vous élevés cet enfant, et de la tendre amitié que vous avez pour luy, je vous prie de luy continuer, et je l'exhorte à vous en donner toutes les marques possibles de reconnoissance". Après quoy il a encore embrassé le dauphin par deux fois, et en fondant en larmes, il luy a donné sa bénédiction, le petit prince mené par la duchesse de Vantadour sa gouvernante en est sorty en pleurant, et ce tendre spectacle nous a tiré des larmes à tous.Un moment après le roy a envoyé quérir le duc du Mayne, et le comte de Toulouze, et leur a parlé la porte fermée, il a fait la même chose avec le duc dOrléans qu'on a été quérir dans son apartement où il étoit retourné. Dans le moment que ce prince sortoit de de sa chambre, Sa Majesté l'a rapellé jusqu'à deux fois.A midy et demy le roy a entendu la messe dans sa chambre avec la même attention qu'il a accoutumé de l'entendre le jour qu'il a pris médecine, les yeux toujours ouverts, en priant Dieu avec une ferveur surprenante... La messe finie, il a fait approcher de luy le cardinal de Rohan et le cardinal de Bissy auxquels il a parlé pendant une minute, et en finissant de leur parler, il a adressé la parolle à haute voix à tous ce que nous étions de ses officiers dans la ruelle, et auprès de son balustre, nous avons tous aproché de son lit, et il nous a dit :« MESSIEURS, JE SUIS CONTENT DE VOS SERVICES, vous m'avez fidellement servuy et avec envie de me plaire. Je suis fâché de ne vous avoir pas mieux récompensé que j'ay fait, les derniers tems ne l'ont pas permis.JE VOUS QUITTE AVEC REGRET, SERVEZ LE DAUPHIN AVEC LA MEME AFFECTION QUE VOUS M'AVEZ SERVY. C'est un enfant de cinq ans qui peut essuyer bien des traverses, car je me souviens d'en avoir beaucoup essuyé pendant mon jeune âge.JE M'EN VAIS MAIS L'ETAT DEMEURERA TOUJOURS, soyez y fidèlement attachez et que votre exemple en soit un pour tous mes autres sujets, soiés tous unis, et d'accord, c'est l'union et la force d'un Etat.ET SUIVEZ LES ORDRES QUE MON NEVEU [LE FUTUR REGENT] VOUS DONNERA. IL VA GOUVERNER LE ROYAUME, J'ESPERE QU'IL LE FERA BIEN. J'ESPERE AUSSY QUE VOUS FEREZ TOUS VOTRE DEVOIR, QUE VOUS VOUS SOUVIENDRES QUELQUES FOIS DE MOY".AUX DERNIERES PAROLLES NOUS SOMMES TOUS FONDUS EN LARMES, et rien ne peut exprimer les sanglots, l'affliction et le déespoir de tout ce que nous étions... » (pp. 332-333).« M. de Saint-Simon répondit brusquement que non... »LA CASSATION DU TESTAMENT DE LOUIS XIV SOUS LA PRESSION DU REGENT ET DES DUCS DONT SAINT-SIMON EN 1715.« Relation de ce qui s'est passé au Parlement le lundy 2e septembre 1715. Messieurs les ducs avoient préparé leurs contestations contre ce qu'ils prévoyaient se devoir passer et même avoient prévenu M. le duc d'Orléans... M. le duc d'Orléans ayant entendu la messe vint à la Grande Chambre accompagné de messieurs les princes du sang. Avant que de prendre place, il parla quelque tems debout assés bas à M. le premier président en faveur des ducs. Aussitost M. l'archevêque et duc de Reims fit les remontrances sur la contestation présente sur les protestations par écrit qui fut remise...M. LE DUC DE SAINT-SIMON ELEVA SA VOIX POUR SOUTENIR LA PROTESTATION et demander qu'il luy en fut donné acte. Il interpella M. le duc d'Orléans s'il n'avoit pas promis à messieurs les ducs de faire régler leurs prétentions avant que l'assemblée fut fermée. M. le président de Novion prit la parolle, et dit qu'à l'occasion d'une assemblée aussy auguste convocquée pour les plus importantes affaires de l'Etat, il étoit hors de propos de mêler une contestation qui étoit entre des particuliers. M. le premier président dit que pour finir il n'y avoit qu'à donner acte à messieurs les ducs, que ce qui se passeroit dans la journée ne pouroit nuire à leurs prétentions.CELA AINSY APAISE, M. LE DUC D'ORLEANS PARLA EN CES TERMES : "Messieurs, après tous les malheurs qui ont accablé la France, et la perte que nous venons de faire d'un grand roy, notre espérance est en celuy que Dieu nous a donné. C'est à luy seul, Messieurs, que nous devons à présent nos hommages, et une fidelle obéissance. C'est moy comme le premier de ses sujets qui doit donner l'exemple de cette fidélité inviolable pour sa personne... » Le manuscrit donne ensuite la teneur complète du testament de Louis XIV, et poursuit :« PENDANT LA LECTURE DU TESTAMENT, M. LE DUC D'ORLEANS NE PUT S'EMPECHER DE MARQUER SA SURPRISE PAR SES GESTES. M. le duc d'Orléans présenta ensuite à M. le premier président les codiciles du roy que M. le le chancelier luy avoit remis entre les mains ; ils furent donnés à M. de Dreux qui en fit la lecture ainsy qu'il ensuit : "Par mon testament déposé au Parlement, j'ay nommé le duc du Mayne [fils naturel légitimé de Louis XIV] pour tuteur du dauphin... Mon intention est que... il ayt toute l'autorité sur les officiers de la Maison du jeune roy, et sur les troupes qui la composent..."M. le duc du Mayne demanda d'être déchargé de la garde du roy qui luy étoit confiée, et qu'il ne devoit plus répondre de la sûreté de la personne du roy, et s'en tint au seul titre de surintendant de l'éducation du roy. Il requit sur cela les conclusions de Mrs les gens du roy... Mrs les ducs interrompirent les opinions croyant qu'elles étoient finies, et demandèrent qu'il leut fut donné acte de leurs protestations.M. LE DUC DE SAINT-SIMON INSISTANT TOUJOURS, M. DE VILLARS PRIT LA PAROLLE, et dit que le feu roy devant sa mort luy avoit fait l'honneur de luy déclarer quels étoient ses sentimens sur les contestations de Mrs les ducs, et qu'elle ne pouvoit être décidée qu'à leur avantage. M. le premier président luy répondit que le feu roy, avant de mourir, l'avoit assuré de tout le contraire...M. LE DUC DE SAINT-SIMON DEMANDANT TOUJOURS QU'IL LUY FUT DONNE ACTE, ET DISANT QUE CE N'ETOIT QUE SUR LA PAROLLE QUE M. LE DUC D'ORLEANS AVOIT DONNE à Mrs les ducs que ce qui se passeroit dans la journée ne pouroit leur nuire ny préjudicier, que Mrs les ducs avoient bien voulu se soumettre, M. le président de Novion luy demanda où il vouloit que cet acte fût déposé. M. le duc de Saint-Simon dit que ce devroit être au greffe. "Sur ce pied-là, répondit M. de Novion, vous nous reconnoissez donc pour vos juges.M. DE SAINT-SIMON REPONDIT BRUSQUEMENT QUE NON... M. le duc d'Orléans dit qu'il recevroit l'acte de protestation... M. le duc du Mayne fut déchargé de la garde du roy contre l'avis seul de M. le comte de Toulouze [autre fils naturel légitimé de Louis XIV] qui dit qu'il ne pouvoit donner un avis si contraire aux dernières volontés du feu roy. Ce fut ainsi que finit la séance... » (pp. 344, 346-347, 358-359, 365-367).« Une boëte de diamans avec le portrait du roy »Le baron de Breteuil consacre plusieurs passages aux présents et gratifications diplomatiques, pratique qu'il juge nécessaire mais dont il estime qu'elle doit être en nature et non sous forme monnayée pour en éviter les abus. « LE ROY M'AYANT FAIT REMETTRE ENTRE LES MAINS LE PRESENT QUE SA MAJESTE AVOIT ORDONNE POUR L'AMBASSADEUR DE VENIZE, concistant en une chaîne et une médaille du roy d'or, du poids de deux mil écus, et une boëte de diamans avec le portrait du roy d'environ quatre cent pistolles, et encore une chaîne et une médaille d'or du poids de cinq cens écus pour le secrétaire de l'ambassade, je portay ce présent à l'ambassadeur... et en même temps je fis porter par mon secrétaire à Bianchi secrétaire de l'ambassade de Venise celuy qui luy étoit destiné...LE CARACTERE BAS DE FEU BONNEUIL MON PREDECESSEUR, FORT DISSEMBLABLE DE SON PERE, AVOIT LAISSE INTRODUIRE DEPUIS PLUSIEURS ANNEES UN COMMERCE MERCENAIRE, OU POUR MIEUX DIRE INFAME, au lieu des présens qui ont été en usage de tout tems, il prenoit de l'argent manuellement des ambassadeurs et du moindre envoyé... [Note corrective en marge : « Bonneuil le père étoit homme de mérite qui faisoit sa charge avec dignité, mais sur la fin de sa vie, les besoins que les débauches attirent à un vieillard le firent relâcher de la noblesse avec laquelle il avoit fait sa charge auparavant... » (février 1699, pp. 667-669).JOINT, 2 pièces : un court mémoire concernant un point d'étiquette, et une copie d'extraits des mémoires de Sainctot concernant la réception d'une ambassadrice. Avec en outre de nombreux marque-page manuscrits anciensEXEMPLAIRE AUX ARMES DES MARQUIS DE VERNEUIL (armoiries dorées sur les plats, OHR, pl. n° 2200, fer de grand format).(Cette fiche a été rédigée par M. Pierre Gheno, collaborateur de la Librairie Les Neuf Muses). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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EUR15,000.00 (€15,000.00 )

‎MONTANUS Arnoldus Van Bergen ou Van den Berg, dit‎

Reference : 10841

(1680)

‎AMBASSADES MÉMORABLES DE LA COMPAGNIE DES INDES ORIENTALES DES PROVINCES UNIES VERS LES EMPEREURS DU JAPON. Contenant plusieurs choses remarquables arrivées pendant le voyage des ambassadeurs; et de plus, la description des villes, bourgs, châteaux, forteresses, temples & autres bâtimens : des animaux, des plantes, montagnes, riviéres, fonteines; des moeurs, coutumes, religions & habillemens des Japonois : comme aussi de leurs exploits de guerre, & les révolutions tant anciennes que modernes que ces peuples ont essuyées. Le tout enrichi de figures dessinées sur les lieux, & tiré des mémoires des ambassadeurs de la Compagnie‎

‎Amsterdam Jacob de Meurs 1680 -in-folio plein-veau 2 parties reliées en un volume, reliure plein veau havane (binding full calfskin) in-folio (359 x 240mm), dos à nerfs (spine with raised bands) décoré or (gilt decoration) filets or (gilt line) et filets à froid (blind-stamping line decoration), entre-nerfs à compartiments or à fleuron central dans un encadrement d'un filet or et un filet perlé or avec rinceaux aux angles, titre frappé or (gilt title), pièce de titre sur fond rouge-foncé (label of title) avec filet or (label of title with gilt line), coiffes anciennement restaurées mais proprement (head and tail of the spine restored), dos frotté avec manques de dorure, plats décorés à froid (cover blind-stamping) d'un double filet à froid en encadrement, angles et charnières anciennement restaurées (corners and joints renovated), toutes tranches lisses (all edges smoothes), orné d'un Titre frontispice gravé (with 1 engraved frontispiece) papier restauré en marge + une gravure en bas de la page de titre + 25 gravures hors-texte (full page engraving) en noir sur 26 (manque la gravure page 222/223 "le temple de Dayro" dont j'ai mis une photocopie à la place) et 70 gravures in-texte en noir + lettrines et fronts de chapitres gravés sur bois en noir (engraved initials and head-pieces), la gravure : "Le Chateau d'Osacca" qui devait se trouver initialement page 220/221 à été reliée page 120/121 avec la gravure du "palais de Dayro à Miaco", autre erreur : le relieur à inséré la gravure : " Entrée des Ambassadeurs à Mia" page 138/139 alors qu'il aurait du la placer page 138/139 de la 2ème partie ou c'était sa place, présence d'une tache brune claire n'empéchant a aucun moment la compréhension du texte de la page 63 à la page 70 sur une surface de 3 centimètres carrés environ, réparation ancienne du bas de la page 79/80 une partie du texte de la page 80 est manuscrit à l'encre brune, quelques reparations anciennes en bas de page n'atteignant pas le texte ou au dos de certaines gravures mais n'atteignant jamais la gravure, très rares et légères rousseurs (rares and lights redness marks), (4 p. de préface + 227 + 8 pages de tables + un page blanche) + (146 + 6 pages de tables) Pages avec Approbation & Privilège du Roy, 1680 Amsterdam Jacob de Meurs Editeur, ‎


‎Autre auteur : Van Meurs, Jacob. Éditeur scientifique ..... Note : Titre front. : "Ambassades vers les empereurs du Japon". Titre de départ de la 1re partie : "Ambassade memorable de la compagnie des Indes Orientales des Provinces Unies a l'empereur du Japon". Titre de départ de la 2e partie : "Ambassade memorable de Batavia a la cour de l'empereur du Japon". Titre courant : "Ambassade memorable a l'empereur du Japon". - Par Arnoldus Van Bergen. Épître dédicatoire à Louis XIV du libraire Jacob Van Meurs. - Même ill. que dans l'éd. originale parue avec nom d'auteur, Amsterdam, Jacob Van Meurs, 1669 ...... Le Japon était le plus difficile d'accés des pays de la Terre. Peu d'Européens, aprés François-Xavier, y avaient été admis; mais les ambassades hollandaises dont il s'agit ici ont accédé à de nombreuses informations qui étaient encore inconnues de tous à cette époque. MEURS, Jacob de : traducteur. Cet abondant ouvrage est une compilation faite à partir des carnets des ambassadeurs qui eurent l'honneur d'être admis dans l'Empire japonais. Boucher de la Richarderie voit dans cet ouvrage un mélange d'écrits issus des jésuites et d'illustrateurs fantaisistes. Cependant, la richesse de cet ouvrage est sa polyvalence d'intérêt : les Japonais y sont décrits de manière détaillée quant à leur culture, leur religions, leurs moeurs. Les villes du pays sont décrites et l'histoire récente de cet Empire est évoquée.........Édition originale en francais, dédiée à Louis XIV de ce livre remarquable sur le Japon du XVIIème siècle. Le texte a été compilé par Arnoldus Montanus d'aprés les journaux de bord et récits des Ambassadeurs. Référence(s) : CG, CXVII, 1080. - Brunet Anonymes......Cordier. Bibl. Japonica, p. 385; Alt-Japan-Katalog 1053; Landwehr, 'VOC', 525.......Ce travail est une riche compilation de descriptions de émissaires de la Compagnie des Indes orientales néerlandaises et leurs rencontres avec les autochtones et les Portugais, consacrées strictement au Japon, sa terre et ses habitants. Les grandes gravures montrent des vues spectaculaires sur les villes d'Edo (Tokyo), Osaka, Kyoto et le règlement commercial néerlandais Deshima. Cette uvre monumentale très détaillée et illustrée sur le Japon a été compilé par le ministre néerlandais Arnold Montanus. Il a basé son travail sur les revues de l'ambassade Compagnie hollandaise des Indes de 1649 qui avait fait semblant d'être "une ambassade officielle du gouvernement néerlandais plutôt que de la VOC" ......Le livre décrit a.o. deux missions de COV. Andr. Frisius à l'empereur du Japon en 1649 et 1661 Arnoldus Montanus (1625-1683) était un missionnaire et éditeur du présent livre néerlandais. Le travail décrit «l'histoire du Japon ... de la hausse de Oda Nobunaga pour les premières années de l'Tokugawa Bakufu comme on le voit à travers les yeux des visiteurs européens dans le pays, et de fournir un aperçu des murs et les coutumes des différentes régions .. . Matériel proviennent de sources allant des registres de la Compagnie hollandaise des Indes à la rédaction de missionnaires espagnols et portugais »(Nipponalia, VIII). De toute rareté...!!!...en bon état malgré les petits défauts signalés (very good condition in spite of the smalls defects indicated). bon état ‎

Phone number : 06 81 28 61 70

EUR2,600.00 (€2,600.00 )

‎MENU-LES AMBASSADEURS. MARTIN (Charles), BRISSAUD (Pierre). ‎

Reference : 19677

(1926)

‎Deux tirés à part pour les Menus des Ambassadeurs. "Les Bijoux" - "Clair de Lune".‎

‎Paris LES AMBASSADEURS 1926 1 Estampes, deux compositions au pochoir, rehaussées à l'or ou à l'argent, à encadrer de Charles MARTIN et Pierre BRISSAUD. Paris, (1926), 19.5 x 19.5 cm. ‎


‎Le Restaurant "Les Ambassadeurs" confie, en 1926, à quatre illustrateurs en vogue : Georges LEPAPE, Charles MARTIN, André-E. MARTY et Pierre BRISSAUD, le soin de réaliser chacun, deux de ses menus. Nous vous proposons deux pochoirs de deux de ces artistes. Charles MARTIN compose "L'opéra des pierres précieuses" et Pierre BRISSAUD "Deux amoureux romantiques content fleurette". ‎

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EUR170.00 (€170.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110679264

(1989)

‎Photo n° 264 - Les ambassadeurs a Beyrouth, en plein coeur de l'actualité tragique, les ambassadeurs européens sont des otages en puissance dans la capitale de l'absurde, La revolucion, la grande épopée de la révolution cubaine, Cuba : trente ans après‎

‎Union des Editions Modernes. Septembre 1989. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 90 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 770-Photographie‎


‎Sommaire : Les ambassadeurs a Beyrouth, en plein coeur de l'actualité tragique, les ambassadeurs européens sont des otages en puissance dans la capitale de l'absurde, La revolucion, la grande épopée de la révolution cubaine, Cuba : trente ans après, Raphaël Gaillarde est parti a la recherche des survivants de la révolution cubaine, Un retour sur l'histoire des photoreporters a travers les images d'archives de l'agence Keystone Classification Dewey : 770-Photographie‎

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