Paris, Editions universitaires, classiques du XXe siècle, 1966, in-12 broché, 124 pp. BON ETAT.
Reference : 14599
LE SERPENT QUI PENSE
M. ERIC BIBAULT
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LIBRAIRIE PLON. NOVEMBRE 1960. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 239 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : MONTHERLANTPIERRE SIPRIOT : Avant-propos.GEORGES BORDONOVE : Les « tercios » de Montherlant.PHILIPPE DE SAINT-ROBERT : Montherlant et le catholicisme. MICHEL MOHRT : L'ordre de la guerre.MAURICE BRUEZIÈRE : Montherlant et le sport.MICHEL DÉON : Montherlant voyageur.HENRI HELL : Montherlant et l'Afrique du Nord.PIERRE MOREAU : Aspects romantiques.HENRI MASSIS, de l’Académie française : Filliations.GEORGES TRONQUART : Montherlant et Barrés.MICHEL ZERAFFA : « Les Célibataires » ou les ruses du réalisme. SERGE JOUHET : « Avec cynisme et innocence ».MARTINE CADIEU : Du côté de la tendresse.CHRISTIAN CAPRIER : « Au large de la nuit ».MICHEL RAIMOND : Montherlant et la crise du roman.YVES FLORENNE : Un auteur comique.PAUL SÉRANT : Note sur Montherlant moraliste.LÉON PIERRE-QUINT : Henry de Montherlant 1945.ARSÈNE CHASSANG : Montherlant critique de son œuvre.PIERRE JOBIT : Les moments mystiques dans le théâtre de Montherlant. PIERRE DESCAVES : Montherlant, homme de théâtre.PIERRE QUÉMENEUR : Le fou et le néant.JEAN ORCIBAL : Angélique de Saint-Jean devant « les portes de la nuit ». HENRI CLOUARD : Montherlant moraliste.GABRIEL MATZNEFF : Pessimisme et nihilisme chez Montherlant. PIERRE-AIMÉ TOUCHARD : Montherlant ou le combat sans la foi. EMMANUEL BERL : Montherlant et la liberté.ANDRÉ THÉRIVE : La langue et le style. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Henry de Montherlant Première Olympique Le Paradis à l'ombre des épées Paris, Librairie Grasset, Les Cahiers Verts — 31 —, 1924 190 p., broché, 19x12,5cm Bel exemplaire sur vergé bouffant (n°4024/6740) enrichi en page de garde d'une belle citation autographe manuscrite signée de Montherlant extraite du dernier chapitre de la Première Olympique, "la leçon de football" : "Dans la fatigue, sa bouche reste entrouverte, son regard est devenu terne et ses prunelles ont étrangement pâli / ici p. 153 / Montherlant". Après guerre, le sport est pour le jeune Montherlant un exutoire et un moyen de mettre en oeuvre ses idées de dépassement de soi et d'esthétisme de l'effort. Lui qui a pratiqué la tauromachie est désormais gardien de football et fréquente assidument les stades et leurs athlètes. L'approche des Jeux olympiques d'été de 1924, à Paris, accroît son intérêt. Il organise ses textes sur le sport en deux petits volumes publiés dans la collection "Les Cahiers Verts" dirigée par Daniel Halévy chez Bernard Grasset : en 1924, le numéro 31 regroupe "La Première Olympique" sous-titrée "Le Paradis à l'ombre des épées", puis quelque temps plus tard, numéro 41, "La Deuxième Olympique", "Les Onze devant la porte dorée". Avec La Première Olympique, Montherlant participe au concours de littérature des Jeux olympiques mais ne reçoit pas de médaille. Traitant de l'athlétisme, du football, de la boxe, ces volumes sont réunis en 1926 sous le titre Les Olympiques qui reparaîtra alors régulièrement chez divers éditeurs en éditions courantes ou de luxe, notamment illustrées. En 1929, Montherlant publie également en tirage limité "Earinus / Troisième Olympique" (éditions Émile Hazan) où l'on trouve, entre autres textes contemporains, ses "Notes sur le sentiment de la beauté chez les Grecs", écrits de 1915. Ce troisième volet des "Olympiques" ne sera pas repris dans les éditions ultérieures, sauf quelques textes comme "Les bras abaissés", "Incertitude", "Odeur du citron". Édition originale sur vergé bouffant enrichie d'une citation autographe manuscrite signée de Henry de Montherlant, en page de garde, sur le football. Couverture un peu passée, dos fripé, sinon bel exemplaire. Ex-libris sur la dernière page de garde du bibliophile Gérard Gully en Don Quichotte avec la devise parodique "samen aqua touça". Envoi soigné.
1936 Paris : Impr. de Daragnès, 1936;In-fol., 147 p., fig.,en noir,en feuilles sous emboitage,
tirage total à 120 ex.,HC reservé pour l'imprimerie,rousseurs tranches et marges,rare.L'œuvre de Luc-Albert Moreau consacrée à la Grande Guerre se compose de peintures, de dessins et d'illustrations. Né à Paris en 1882, mort en 1948, l'artiste ne revendique pas une appartenance à un mouvement artistique du XXe siècle, mais, il demeure un artiste moderne. Son œuvre est singulier, en ce sens qu'il peut apparaître comme la synthèse des différentes problématiques posées par la première guerre moderne : guerre invisible, guerre indicible ? La question est étudiée, jusqu'alors sur le fondement de l'opposition entre les artistes avant-gardistes et les artistes "classiques". Luc-Albert Moreau transcende ce clivage et révèle d'autres oppositions aussi fondamentales comme la postérité ou la simultanéité de l'œuvre artistique au regard de l'événement historique, la rivalité entre l'esprit Ancien Combattant et les autres. Il est un artiste et un soldat de Verdun qui a peint la guerre, après son retour du front. Il dément ainsi la thèse jusqu'alors établie selon laquelle les artistes n'auraient pas représenté la Première Guerre mondiale. Il est également un excellent lithographe en illustrant un ouvrage majeur, Le Chant Funèbre pour les morts de Verdun d'Henry de Montherlant.The work of Luc-Albert Moreau dedicated to the Great War consists of paintings, drawings and pictures. Born in Paris in 1882, died in 1948, the artist does not claim any affiliation to an artistic movement of the XXth century, but he remains a modern artist. His work is singular, to the extent that it can appear as a synthesis between the different issues raised by the graphic representation of the first modern war : invisible war, or inexpressible war ? Hitherto, the question was analyzed on the basis of the opposition between the avant-garde artists and the classical ones. Luc-Albert Moreau goes beyond this divide and reveals other oppositions just as essential, such as the posterity and the simultaneity of the artistic work in the light of the historical event, the rivalry between the spirit of the Veteran and the others. He is an artist and a soldier of Verdun who painted the war, following his return from the front. He thus contradicts the thesis so far established that artists did not represent the First World War. He is also an excellent lithographer, for having illustrated a major book, the "Chant Funèbre pour les morts de Verdun", by henry de Montherlant.
Montherlant adresse à Grasset …larticle que jai voulu publier sur Clermont, d(ans) le Figaro, le jour même où a été annoncé mon Grand Prix des Lettres de lAcadémie. Quelques semaines après, jai fait une allocution sur lui aux « Amis de 1914 ». Vous voyez si la réédition de Amour Promis mest chère… note-t-il avant dajouter : …Noubliez pas de me dire votre opinion s/les Jeunes Filles…Joint : L. dactylographiée S. « Montherlant » (signée en lieu et place par une autre personne). Paris, le 20 avril 1967. 1 p.in-4.…Le sens de linvocation de Mariana, et je ne sais comment on peut sy prendre, elle sadressait à Jacinto, on le verrait par la seule phrase : « Ô cher entre tous les hommes !... » Sans doute le Christ est lhomme-Dieu , mais quand même !...Mobilisé et décoré en 1916, Henry de Montherlant tirera de cette expérience un roman autobiographique, Songe, et Son chant funèbre pour les morts de Verdun. Nombre des ouvrages publiés après-guerre, sont empreints de ce goût pour les valeurs viriles et fraternelles, jusquaux Jeunes Filles, roman en quatre volumes délibérément misogyne et qui lui valut une renommée internationale.A partir des années 1940, le théâtre occupe une place importante dans son œuvre : La Reine Morte, Fils de personne, Malatesta, Port-Royal …Émile Clermont est un romancier, ancien élève de lÉcole Normale, né en 1880 et mort sur le champ de bataille le 5 mars 1916. Il est lauteur notamment de Laure et Amour Promis. Sa mort prématurée la empêché de connaître une gloire durable. Henry de Montherlant écrira quÉmile Clermont fut « un des rares écrivains tués par la guerre ».
Hachette. 1957. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 40 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc, dans et hors texte. Rousseurs. Un tampon sur le 1er plat.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Humanité de Montherlant, par Henri Perruchot - Henry de Montherlant, homme de théâtre, par Pierre Descaves - Le Cardinal d'Espagne, extrait d'une pièce inédite, par Henry de Montherlant - etc Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues