Paris, René Julliard, 1962, in-8 broché sous jaquette illustrée, 220 pp, dessins humoristiques de Moisan dans le texte. Mention manuscrite d'appartenance sur la garde, sinon bon état général.
Reference : 11348
AUTRES TITRES DISPONIBLES du même auteur.
LE SERPENT QUI PENSE
M. ERIC BIBAULT
06 34 99 23 95
CONDITIONS DE VENTE conformes aux usages de la librairie ancienne et moderne. Retours acceptés après accord préalable. Pas de supplément de frais de port à partir du 2e livre commandé (une même commande). FRAIS DE PORT : FRANCE : à partir de 4 € (tarif ajusté en fonction du poids des livres), de 4 € à 7€ pour les envois en tarif lettre/écopli. Gros livres expédiés en colissimo (tarif en fonction du poids) ou, de préférence, en Mondial Relais (plus économique). FRAIS DE PORT : ETRANGER : en général 4€ (Europe), 5-6 € (autres pays), tarif économique, néanmoins assez rapide, le tarif est ajusté en fonction du poids des ouvrages et de la destination. Expédition par mondial relais pour les colis lourds (Europe). - Expédition rapide après réception du règlement. Paiement par CHEQUE bancaire ou postal (payable en France uniquement), par VIREMENT bancaire ou par PayPal. - Tous nos livres sont contrôlés et nettoyés. Tout défaut est signalé. Retour offert en cas d'erreur de la librairie.
Julliard, 1962-1963, 2 vol. in-8°, 212 et 223 pp, texte d'André Ribaud, nombreux dessins de Moisan, brochés, jaquettes illustrées, bon état
Par Roger Fressoz, alias André Ribaud (1921-1999), ces célèbres chroniques imitées de Saint-Simon, moquant les premières années de la présidence du général de Gaulle, parues de 1958 à 1962 dans le “Canard enchaîné”. – « La France n'a plus de Parlement. La France n'a plus de Gouvernement. Seuls comptent le roi et sa cour. » – Les dessinateurs, Roland Moisan (1907-1987) en tête, ont amplement contribué à populariser la formule imaginée par André Ribaud pour flétrir les moeurs de la Ve République. Voir par exemple son portrait de Michel Debré, alors Premier Ministre : « M. de Bré, qu'on appelait ordinairement M. le-Prince-qui-nous-gouverne, était un homme d'une taille médiocre, assez boudin de figure, l'œil enfoncé, la mine basse, le cheveu noir, fort garçon d'ordre, avec une sorte de raideur, pour qui des riens continuellement étaient des hydres, le propos moral et sentencieux, l'air plein de sévérité et à se faire craindre des plus humbles à proportion qu'il était lui-même plus bas devant le Roi (...) Il n'était au vrai qu'un cheval d'aucune race, prompt à tous les attelages, à être bâté de toute charge, à hâler n'importe quoi jusqu'à bout d'échine pourvu que le Roi, mais le Roi seul, lui fit sentir rudement le bridon et le fouet. M. le Prince était né sujet. » (“La Cour”). – Les auteurs ont publié un 3e volume (“Le Règne”) en 1967.
Julliard, 1962, 2 vol. in-8°, 212 et 223 pp, texte d'André Ribaud, nombreux dessins de Moisan, reliures pleine toile bleue de l’éditeur, dessins de Moisan en médaillon au 1er plat, rhodoïds (petites fentes), bon état
Par Roger Fressoz, alias André Ribaud (1921-1999), ces célèbres chroniques imitées de Saint-Simon, moquant les premières années de la présidence du général de Gaulle, parues de 1958 à 1962 dans le “Canard enchaîné”. – « La France n'a plus de Parlement. La France n 'a plus de Gouvernement. Seuls comptent le roi et sa cour. » – Les dessinateurs, Roland Moisan (1907-1987) en tête, ont amplement contribué à populariser la formule imaginée par André Ribaud pour flétrir les moeurs de la Ve République. Voir par exemple son portrait de Michel Debré, alors Premier Ministre : « M. de Bré, qu'on appelait ordinairement M. le-Prince-qui-nous-gouverne, était un homme d'une taille médiocre, assez boudin de figure, l'œil enfoncé, la mine basse, le cheveu noir, fort garçon d'ordre, avec une sorte de raideur, pour qui des riens continuellement étaient des hydres, le propos moral et sentencieux, l'air plein de sévérité et à se faire craindre des plus humbles à proportion qu'il était lui-même plus bas devant le Roi (...) Il n'était au vrai qu'un cheval d'aucune race, prompt à tous les attelages, à être bâté de toute charge, à hâler n'importe quoi jusqu'à bout d'échine pourvu que le Roi, mais le Roi seul, lui fit sentir rudement le bridon et le fouet. M. le Prince était né sujet. » (“La Cour”). – Les auteurs ont publié un 3e volume (“Le Règne”) en 1967.
Paris, René Julliard, 1962 14 x 20, 222 pp., dessins N/B, broché + jaquette, bon état
texte d'André Ribaud, dessins de Moisan
Paris, René Julliard, 20 octobre 1961/ 23 novembre 1962, 14,5x20cm, broché, 211, 220p. Edition originale. Non coupé. Très bon état.
Julliard, 1961-1962. 2 volumes in-8 brochés, couvertures imprimées en deux tons sous jaquette couleurs. Pastille collée au premier plat du second volume, pour le reste en belle condition, premier volume non coupé.
Abondamment illustré en noir par Moisan. Editions originales. Chroniques imitées de Saint-Simon, parues dans le Canard enchaîné. Le premier texte présente un portrait de de Gaulle à la manière du duc de Saint-Simon, pendant que le Moisan s'inspire du grand portrait de Louis XIV par Rigaud. * La librairie la Bergerie est sur le point de déménager - c'est la raison pour laquelle nous vous proposons jusqu'à la fin de l'année une remise de 10% sur tout le stock (pour les ouvrages encore en rayons) et de 20% sur ceux qui, déjà mis dans les cartons de déménagement, ne pourront être livrés qu'en début d'année prochaine. La remise sera déduite des prix affichés *