1787 Paris, Mérigot le jeune,1787, in-12 de VII-(2)-552 pp., reliure de l'époque de plein veau brun marbré, dos muet à nerfs (refait), coins très habilement restaurés, restaurations par un professionnel, bon exemplaire.
Reference : 20448
2e édition de cette importante étude littéraire, par un partisan des Anciens. "Dans la 1re partie de l'ouvrage l'auteur s'intéresse aux auteurs Anciens et classiques. Ensuite il s'attaque à ses contemporains, et en particulier à Voltaire, lequel dédaigna les traits satiriques de ce pygmée littéraire ." (Larousse).
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Paris Mérigot le jeune 1787
In-8 illustré d'une vignette au titre et d'un bandeau, vii et 508p.; et 2f. (approbation et privilège). Sans la Table de 19p. (chiffrée 513-531) que l'on retrouve dans certains exemplaires. :: Édition originale précédée de l'épître au Roi. Tirage sur bon vergé. :: Jean-Antoine Rigoley de Juvigny (1709-1788), avocat à Paris et membre de l'académie de Dijon, publia un an avant sa mort ce pamphlet contre les Philosophes responsables selon lui de la décadence "des lettres et des moeurs" par le relâchement des bonnes études, la manie du bel esprit, et surtout les principes philosophiques répandus par Voltaire. Cioranescu, 53214. :: Reliure de l'époque, veau blond, dos orné, 5 nerfs, pièce de titre rouge, triples filets encadrant les plats. Coins émoussés. Quelques notes marginales au crayon. Rares rousseurs. Ex-libris proprement découpé sur le premier contre plat. Bon exemplaire.
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Paris, Mérigot le Jeune, 1787 in-8, VII-508 pp., [2] ff. n. ch. de privilège, broché sous couverture d'attente de papier bleu.
Edition originale. Dissertation de l'avocat Juvigny (1709-1788) sur un thème déjà connu en Occident depuis longtemps, mais qui devait connaître ultérieurement un succès considérable, tout au long des crises de modernité des XIXe et XXe siècles ; ici, le grand corrupteur est Voltaire, sa manie du bel esprit corrosif, et ses principes "philosophiques". Cioranescu, 53214. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Merigot le jeune, 1787. In-8, VII-(1)-530-(2)-(1 f. bl.)-(4) pp., reliure veau, plats racinés (coiffe supérieure abîmée, tache claire sur les premiers feuillets).
* Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte sur rendez-vous.
A Paris, chez Mérigot le jeune, 1787. In-4 de VII-[5]-531 pages. plein veau brun, dos à nerfs orné de filets et fleurons dorés, pièce de titre bordeaux, roulette dorée encadrant les plats, tranches marbrées de bleu.
Illustré d'un portrait de l'auteur gravé en taille douce par Miger d'après Cochin fils. Édition originale, exemplaire en grand papier, sur un beau vélin fin. "Rigoley de Juvigny fut avocat au barreau de Paris et, en cette qualité, il défendit le violoniste Travenol, accusé d'avoir distribué des pamphlets contre Voltaire. Le succès de cette plaidoirie l'enrôla dans le parti opposé aux philosophes des Lumières, dont le rapprochait par ailleurs sa sincère piété. Pour rabaisser Voltaire, il appela Piron le plus grand poète du siècle, ce qui lui valut de vives attaques d'un côté et des louanges appuyées de l'autre. Il fut ensuite conseiller au parlement de Metz." wiki Reliure un peu frottée, petit manque à la coiffe supérieure, fente à un mors, coins émoussés.
Paris Mérigot le Jeune 1787 1 vol. Relié in-4, maroquin rouge, dos lisse orné de filets et fers spéciaux dorés avec pièce de titre olive, triple filet doré en encadrement des plats, roulette sur les coupes et en encadrement intérieur, tranches dorées sur marbrure, 5 ff. + 531 pp. Edition originale en grand papier sur vergé fin, ornée d'un beau portrait de l'auteur gravé en taille douce par Miger d'après Cochin fils. Rigoley de Juvigny (Dijon 1709 - Paris 1788) fut avocat au barreau de Paris et, en cette qualité, il défendit le violoniste Travenol, accusé d'avoir distribué des pamphlets contre Voltaire. Le succès de cette plaidoirie l'enrôla dans le parti opposé aux philosophes des Lumières, dont le rapprochait par ailleurs sa sincère piété. Pour rabaisser Voltaire, il appela Piron le plus grand poète du siècle, ce qui lui valut de vives attaques d'un côté et des louanges appuyées de l'autre. Il fut ensuite conseiller au parlement de Metz. Superbe exemplaire dans une fine reliure de l'époque.